Mon but, écrire des histoires sur les couches les plus qualitatives possibles.

Le principe du blog, la première partie de chaque histoire peut être lue gratuitement (voir dans les historiques), la seconde partie est payante (cliquer dans les liens histoires ci-contre).



Bonne lecture,



Etienne



vendredi 24 février 2012

L'histoire : "Mon ex piège ma petite amie en couches" est maintenant disponible, vous la trouvevez ci-contre dans les liens.

Bonne lecture.

samedi 11 février 2012

Mon ex piège ma petite amie en couches

Bonjour je m'appelle Étienne et je vous compter la mésaventure qui m'est arrivée récemment.
J'ai 23 ans et je suis en dernière année d'école de commerce à Lyon. J'ai réussi, après prépa à intégrer l'EM Lyon, l'Ecole de Management située précisément à Ecully en proche banlieue lyonnaise. Originaire de Bretagne, je loge à proximité de l'école avec d'autres étudiants de mon école et rentre rarement chez moi étant donné la distance qui me sépare de la maison de mes parents à Rennes.
Après deux années de prépa assez rude, la vie à l'école s'écoule studieusement mais sereinement, profitant de la proximité d Alpes en hivers pour faire du ski, ma passion.
La vie à l'école est riche d'activité divers et de fêtes joyeuses, bref la belle vie.
À la différence de nos voisins, l'école centrale de Lyon, nous avons la chance d'avoir une promotion avec une majorité de filles ce qui n'a rien de désagréable de mon point de vue.
Je suis sorti avec de nombreuses filles de ma promo depuis le début de mes études pour mon plus grand plaisir. La dernière que j'ai quittée Alice me fait certes un peu la gueule depuis que je l'ai remplacée par la divine Laura, une étudiante de première année. Celle-ci ne faisant pas partie de notre promo n'est pas au courant de ma liaison passée et récente avec Alice, ni de mon tableau de chasse au sein de ma promo. Par contre Alice est au courant de ma dernière conquête, m'ayant vu plusieurs fois à son bras.
Je ne m'en inquiète pas trop ayant toujours bien su gérer ce type de situation et peu préoccupe de ce qu'Alice peut en penser ou pas.

Ce matin, en arrivant à l'école je suis un peu étonné de découvrir Laura en grande discussion dans le hall de l'école avec Alice. Je ne savais pas qu'elle se connaissait et cela me contrarie un peu mais, Laura m'apercevant prends congé d'Alice qui part dans la direction opposée. Par curiosité je demande à Laura comment elle connaît Alice. Elle me répond qu'Alice l'a convaincue de rejoindre son projet humanitaire au Mali et qu'elle est très tentée par le fait d'effectuer ainsi son stage de second semestre. Cette nouvelle ne me réjouit par forcément car elle me rappelle que nous serons bientôt séparés par nos stages respectifs et le fait de savoir mon amie faire son stage avec une de mes ex ne me rassure pas franchement. Je chasse cette pensée négative en me disant que j'ai encore un peu de temps avant cette échéance.

Un mois est passé et Laura à confirmer sa participation au projet d'Alice malgré mes conseils contraires. Elle doit partir dans 15 jours pour une région reculée du Mali sur un projet de gestion et d'administration d'un dispensaire. Elle passera 6 semaines sur place, une éternité à mon goût ne pouvant la rejoindre la bas pendant mon propre stage qui se déroulera à Paris. Étant maintenant persuadé qu'elle ne changera pas d'avis malgré les alternatives que je lui avais trouvé, je fais contre mauvaise fortune bon cœur et me dit que ce sera aussi pour moi le vrai révélateur pour savoir si je suis attaché réellement à elle.

Quelques jours avant leur départ respectif je retrouve à l'école Alice et Laura en grande discussion. J'ai réussi à éviter de croiser Alice depuis que je l'ai quittée mais aujourd'hui impossible de ne pas rejoindre les deux filles, Laura me faisant signe de les rejoindre. Je salue Alice comme une copine de promo et elle fait de même ne laissant rien paraître de notre relation passée à mon grand soulagement. Laura me parle devant Alice des derniers préparatifs de leur départ maintenant imminent puis étant en retard à son cours nous quitte précipitamment dès qu'elle a vu l'heure. Je reste donc nez à nez avec Alice qui me sourit en coin. Elle me félicite sur le choix de ma nouvelle petite amie, je la remercie poliment et prend vite congés.

Laura est partie hier, je l'ai accompagnée à l'aéroport de St Exupéry avec un petit pincement au cœur je dois dire. Ce matin j'ouvre mon courrier et je trouve une lettre postée la veille de Lyon. Je suis intrigué et me demande qui peut bien m'écrire papier à l'heure du mail.
Je trouve une lettre manuscrite d'Alice à ma grande surprise. Cette lettre est énigmatique et ne mentionne qu'une adresse internet, un login, un mot de passe et une date correspondant au sur lendemain.

Intrigue par cette étrange missive je vais sur internet pour vous a quoi correspond cette adresse internet. Je tombe sur une page d'accueil mentionnant que le spectacle commence à la date indiquée sur la lettre et l'invitant à me reconnecter à ce moment-là.
Je reste dubitatif et me demande à quoi peut bien jouer Alice et, sans plus m'en inquiéter, je me propose de me reconnecter le jour J pour voir quel est ce spectacle auquel elle m'invite. Je me dis que cela doit correspondre à son projet au Mali car il s'agit de la date d'arrivée d'elle et Laura sur place.

Deux jours plus tard, à l'heure indique sur le fameux site, je le connecte avec le login et le mot de passe donné par Alice et une fenêtre Skype s'ouvre automatiquement me mettant en relation avec un interlocuteur au pseudo étrange : abkingdom.
C'est le visage d'Alice qui apparaît dans la fenêtre me souhaitant un bonjour sonore accompagné d'un large sourire. Je suis un peu étonné de la voir ayant compris que le dispensaire ou se trouvent les deux filles est tellement éloigné de toute ville qu'il ne dispose pas d'Internet. Je réponds d'un bonjour poli mais moins enthousiaste même si cette connexion internet inespérée me laisse voir la possibilité d'avoir des nouvelles de Laura et de la voir sur Skype.

Alice toujours très bavarde entame la conversation tambour battant, me disant que Laure et elle ont fait bon voyage et qu'elles sont bien arrivées. Elle poursuit en me disant qu'elles ont profité de son long voyage pour faire mieux connaissance et qu'elles ont longuement discuté. Cette dernière information résonne comme une alerte à mes oreilles craignant quelques révélations sur mon compte de la part d'Alice. Celle-ci, comme si elle lisait dans mes pensées, me parle longuement de Laura, me disant qu'elle la trouve vraiment sympa et que j'étais décidément bien chanceux de sortir avec elle. S'en suit une longue description de ses qualités qui ne me laisse pas placer un mot dans ce long monologue.

Je la laissé dire un peu interloqué jusqu'à ce qu'Alice, voyant certainement sur mon visage un certain étonnement double d'un début d'agacement, stoppe finalement cette longue louange et se propose de me montrer Laura dont je dois plus apprécier la présence en ligne qu'elle-même. Je sors et oui pas trop enthousiaste pour ne pas contrarier mon ex et celle-ci toujours tout sourire me demande un instant et me prévient qu'elle va couper la liaison et revenir avec Laura. Effectivement la liaison coupe quelques instants qui me paraissent bien long.

Enfin la connexion est rétablie et la web cam au Mali n'est plus dans la même pièce que précédemment, elle semble située en hauteur dans une pièce plongée dans l'obscurité, je ne distingue rien de précis au début. Puis, petit à petit la pièce s'éclaircit à moins que ce ne soit la web cam que l'on règle je ne saurai le dire. Le spectacle qui m'apparaît me saisit d'effroi. La pièce maintenant largement éclairée ressemble à une chambre de dispensaire, les murs et le sol immaculés. Je ne vois pas toute la pièce mais la web cam est orientée vers un large lit à barreaux très dépouillé. Allongée sur ce lit, je découvre Laura, chevilles et poignets attachés aux barreaux du lit, la bouche entravée d'un bâillon, nue, à l'exception d'une large couche-culotte de taille adulte. Elle tire désespérément sur ces liens cherchant à se dégager sans succès, de même que ses paroles sont étouffées par le bâillon et inaudibles.
J'ai à peine de réaliser ce que je vois que la caméra pivote vers la gauche me privant de la vue sur Laura et laissant apparaître Alice que je venais de quitter, son large sourire toujours accroché au visage. Totalement interdit parce que je viens de voir, je dois faire une tête d'ahuris qui fait maintenant franchement rire Alice. Celle-ci brusquement redevient sérieuse et me demande de l'écouter très attentivement sans la couper si je ne veux pas qu'elle coupe justement la liaison.

J'obtempère et l'écoute religieusement. Elle se lance dans un long récit des souffrances que je lui ai fait subir en la quittant sans explications il y a quelques mois, me traite de salaud et d'égoïste, bref se défoule. J'aurai moi-même mis fin à ce déballage si je ne m'inquiétais du sors de Laura et suis donc obliger d'écouter ce long flot de complaintes.
Visiblement soulagée d'avoir pu me dire mes quatre vérités, le sourire revient sur le visage d'Alice en m'expliquant qu'elle avait trouvé un bon moyen de me faire payer ses souffrances en retour. Je commence à comprendre que Laura sera l'instrument de cette vengeance.

Alice me confirme que l'idée à germer en elle lorsqu'elle a vu que je l'avais très vite remplacée par Laura. Elle a donc patiemment tisse sa toile pour la faire tomber dans le piège qu'elle souhaitait lui tendre. Alice m'explique ainsi que sa première démarche fu d'approcher Laura en vue de la sensibiliser à son projet humanitaire au Mali. Par chance Laura à très vite accrocher, le plus dur était fait. Comme elle s'interrompt dans son récit j'ose une question sur ce qu'elle a fait à Laura.

Alice me sourit à nouveau et se lance à nouveau dans un long monologue, me détaillant tout leur voyage, leurs longues conversations, le fait que Laura semble très attachée à moi, que d'après Laura, je semble très amoureux aussi. Je sens bien que tous ses détails ne me sont pas livres par hasard et écouté donc patiemment ses explications. On arrive enfin à leur arrivée hier soir tard dans la nuit au dispensaire, à la chaleur qui règne sur place et au fait que Laura était passablement assoiffée en arrivant. Alice, tout en me parlant me montre un verre d'eau et y verse le contenu d'un sachet non identifie, mimant manifestement la scène de la veille.

Ton amie a eu un brusque coup de fatigue et je l'ai accompagnée jusqu'à sa chambre, elle était en nage, je l'ai donc déshabillé, me dit-elle. Alice perfide ajoute que j'ai vraiment bon goût car Laura à un très joli corps, de belles formes. Elle poursuit en me disant faussement naïve qu'elle a préféré l'attacher à son lit avant de lui parler ce matin du programme de stage qu'elle lui a concocter, ayant peur d'une réaction négative de la part de Laura.

Sentant qu'il ne me faut pas couper Alice dans sa description je la laissé poursuivre. Elle m'indique avoir mis une couche à Laura pour ne pas qu'elle mouille son lit ce qui ne serait pas confortable. J'ai bien fait me dit-elle car lorsque je l'ai retrouvée ce matin, elle avait mouillé sa couche, elle faisait pipi au lit en France me demande-t-elle faussement. Elle poursuite en le disant que bien évidemment elle lui avait remis une couche propre pour que son confort soit pleinement assuré. Joignant le geste à la parole elle fait pivoter la caméra qui revient sur l'infortunée Laura toujours en train de se débattre avec ses liens et zoom sur la couche de cette dernière. La couche en gros plan prends tout le champ de la caméra et je peux lire le chiffre 2 marque en haut à gauche sur le devant de la couche. Alice se remet maintenant en face de la caméra et m'indique que le chiffre que j'ai lu correspond au numéro de la couche, en l'occurrence la deuxième que porte Laura. Elle croit bon d'ajouter que ce chiffre encore faible ne devrait pas s'arrêter en si bon chemin.

Elle poursuit qu'elle ne peut pas me passer Laura qui n'est pas d'humeur en ce moment. Alice, l'air faussement déçue me dit qu'au réveille elle l'a traite de tous les noms d'oiseaux, un langage très imagé qui lui a valu d'avoir sa petite culotte dans la bouche avec un sparadrap pour l'y maintenir. Elle poursuit en me disant qu'elle a des dessous très mignon ma petite amie et que cela doit me ravir.

Comme si mon supplice ne devait pas devoir prendre fin, Alice se décalé et me montre le sac de voyage de Laura que je reconnais pour l'avoir porté à l'aéroport. Le contenu est étalé soigneusement sur une large table et Alice manifestement tient à m'en faire l'inventaire en tout de cas de ce qui l'intéresse. Ainsi elle me montre d'abord les sous-vêtements de Laura avec force commentaires. Elle est partie en Afrique avec des dessous sobres mais soignés de coton blanc et pastels que j'avais remarqué déjà sur elle bien que nous ne nous connaissions intimement depuis peu de temps finalement. Alice ayant fort bonne mémoire me fait remarque que c'est précisément le type de dessous que j'aime, elle-même en ayant acheté de ce type pour renouveler une partie de sa garde-robe plutôt orienté boxer du temps où nous sortions ensemble. Elle passe sur les vêtements courant puis prend une large trousse de toilette. Devant moi, au fur et à mesure elle la vide sur la table. Cet inventaire à la Prévert commence car une classique brosse à dent, du dentifrice, un peigne, un déodorant etc....

Elle marque en temps d'arrêt, aborde ce fameux sourire un peu narquois en me regardant puis lentement sort de la trousse de toilette un paquet de Tampax qu'elle présente à la caméra. Je trouve cela un peu glauque mais manifestement de fouiller dans l'intimité de Laura la ravie. Elle sort ensuite un paquet qu'elle présente à la caméra, il s'agit de serviette Vania Maxi de ce que je lis sur l'emballage. Alice me fait le commentaire que Laura doit bien avoir des fuites la nuit comme elle le présentait car elle a amené ce paquet de petites couches. Devant autant de bêtise, je sors de mon silence pour lui dire calmement que cela n'a rien à voir à mon avis. Elle me regarde fixement et avec cet air bête qu'elle se force à jouer elle me demande alors pourquoi elle a également trouve des Tampax dans les affaires de Laura, en général c'est l'un ou l'autre me dit-elle. Je ne réponds pas n'ayant pas du tout envie de m'aventurer sur ce terrain.

La trousse de toilette n'est pas encore vide car curieusement qu'Alice en sort un pack de 8 piles format AAA. Elle marque une mine étonnée et le pose sur la table avec les autres affaires. Un large sourire éclairé son visage en découvrant manifestement un ultime objet dans cette vaste trousse. Avec une lenteur mesurée pour ménager l'effet de surprise, elle sort lentement un objet que n'identifie immédiatement comme un godemiché. Alice le détail devant moi puis trouve à la base de l'objet un interrupteur, l'actionnant nous découvrons ensemble qu'il s'agit d'un vibromasseur. Alice me délaissant un instant retourne vers l'infortunée Laura toujours attachée sur son lit. La caméra pivote et Alice tenant en main le vibro en route s'adresse à Laura en se déclarant surprise de trouver un tel objet dans les affaire d'une si sage jeune fille en apparence. Laura toujours incapable de parler fixé Alice avec des yeux ronds semblant marque la surprise puis tire à nouveau sur ces liens de désespoir manifestement. Elle regarde dans la direction de la caméra comme si elle me voyait et ses grognements étouffés par le bâillon semblent l'être destinés. La caméra pivote à nouveau et j'aperçois un large écran de télévision fixe sur le mur en face du lit de Laura, télé sur laquelle mon visage apparaît en grand, me faisant reculer de surprise.

La caméra, comme téléguidée reviens maintenant sur Alice toujours debout  derrière la table ou sont alignées les affaires de Laura. Sans plus de commentaires, elle tient le vibro toujours en marche d'une main et de l'autre le pack de piles neuves avec une expression du visage toujours marquée par ce sourire mi étonné mi narquois. Regardant encore le vibro elle me dit qu'elle n'est pas experte dans ce type d'objet mais qu'il lui semble que sa taille et surtout son diamètre paraissent nettement supérieurs à la taille de mon propre sexe dans ses souvenirs. Je ne relève pas cette pique, les idées se bousculant maintenant dans la tête. Alice, manifestement satisfaite de son petit numéro redevient tout à coup très sérieuse et cadrant la caméra sur elle en gros plan me dicte maintenant ses volontés.

Elle m'informe tout d'abord que pour la sécurité et l'intégrité de Laura, je ne dois en aucun cas prévenir qui que ce soit de sa situation au Mali. Ensuite, prenant un papier sur lequel elle prit apparemment des notes elle me donne le programme des jours et des semaines à venir. Je mesure à cette écouté toute l'ampleur et la préparation de ce plan diabolique. Laura se sera pas la seule à souffrir de quelques désagrément me dit-elle, elle l'a mérité en me remplaçant auprès de toi mais toi aussi Étienne tu vas souffrir de ma vengeance précise-t-elle. Nous sommes aujourd'hui Mercredi, Alice sait que mon stage à Paris ne commence que Lundi prochain, elle m'annonce donc que j'aurai tout loisir de jouer avec elle au petit jeu de la vengeance jusqu'à Dimanche, date de mon départ sur la capitale.

Elle me donne force détail en me précisant que le site spécialement créé pour moi fonctionnera 24h/24 pendant les 6 semaines du séjour de Laura au Mali, je peux donc à tout moment me connecter pour avoir de ses nouvelles. C'est inespéré n'est-ce pas me dit-elle faussement. Par contre ma présence devant l'ordinateur web cam allumée est requise  selon des horaires précis communiqués chaque soir par mail pour le lendemain. La phrase est à peine achevée que par un synchronisme parfait ma messagerie sonne m'annonçant un mail de l'expéditeur abkingdom.

Dans la même veine je dois revenir à Lyon chaque week-end durant mon stage, des surprises m'y attendront sans plus de précisions. Alice me précise également que lorsque je suis en ligne web cal allumée, Laura a non seulement l'image mais également le son et pourra donc m'entendre. Elle ajoute cependant que cette dernière ne se verra enlève son bâillon que lorsqu'elle sera devenue sage et arrêtera d'injurier toute personne passant à proximité. C'est désolant un tel langage dans une si jolie bouche me dit-elle presque navrée. Se retournant vers Laura elle l'interpelle en lui demandant telle une Maman envers sa jeune fille si celle-ci sera sage. Laura qui ne doit rien perdre des paroles d'Alice fait un oui énergique de la tête pour marquer son assentiment. Alice d'un ton t'es professoral maintenant met bien en garde Laura contre toute rechute sur les propos désagréable qu'elle a tenu manifestement avant d'être bâillonnée et lui indique que tout manquements à cette règle ou tout mensonge dans une conversation serait à nouveau sanctionné par un bâillon. Alice demande à Laura si les règles sont claires. À nouveau je vois mon amie faire un hochement de tête positif.

Je suis toujours rive à mon écran depuis une bonne heure maintenant. Alice se penche sur Laura afin d'enlever le sparadrap qui lui barre la bouche ainsi que sa fine culotte de coton blanc enfoncée dans cette même bouche. Les premières paroles de Laura sont pour demander à boire, on sent au son de sa voix un peu enrouée qu'elle à la gorge sèche. Alice s'éloigne et revient avec un biberon d'eau. L'étonnement se lit sur le visage de Laura mais elle ne fait pas de remarque pour le pas retarder ou pire compromettre la possibilité d'étancher sa soif manifestement. Elle tête maladroitement le biberon tenu par Alice et s'étouffe même un peu au début. Elle le boit cependant d'un trait, ayant eu clairement très soif.

Ce biberon d'eau lui fait manifestement du bien. Une fois achevé, Alice se relève du lit ou elle s'était assise au côté de Laura, elle fixe la caméra et m'indique qu'elle nous laisse en tête à tête, nous vous sûrement plein de choses à échanger termine-t-elle d'un air malicieux. La caméra la suit jusqu'à une porte sur le côté de cette vaste pièce par laquelle Alice disparaît. La caméra revient sur Laura qui la fixe, ou plutôt l'écran de télé situe dans le même axe. Je lui demande un peu bêtement comment elle va. Laura avec une certaine lassitude me dit qu'elle a L'impression de vivre un cauchemar éveillé depuis qu'elle a ouvert les yeux ce matin. Très posément je trouve elle me décrit son voyage depuis que nous nous sommes quittés l'avant veille. Un vol sans histoire jusqu'à Bamako, puis un long trajet en car jusqu'au chef-lieu du canton, enfin un non moins long trajet en 4x4 du dispensaire jusqu'à celui-ci. Elle ne l'imaginait pas d'ailleurs aussi isolé. Elle me raconte une impression très favorable cependant à son arrivée avec des locaux très vastes et étonnamment moderne pour un coin aussi reculé de l'Afrique, l'accueil chaleureux hier soir du personnel local. Elle a vite vu que l'établissement disposait de la télévision par satellite et aussi d'une liaison internet contrairement à ce que lui avait dit Alice avant son départ. Celle-ci lui a fait part d'une installation récente qui n'existait pas lors de son précédent séjour et financée par une ONG canadienne également partenaire du projet. Bref une arrivée sous les meilleurs hospices selon elle. Comme me l'a décrit Alice, elle a ressentie un brusque coup de fatigue hier soir qui ne l'a pas alarmée étant donné leur long périple et la chaleur étouffante en cette saison sèche, elle a bu pas mal d'eau et est allé se coucher mais ses souvenirs sont très vagues à ce niveau-là et pour cause, Alice lui ayant confirmé ce matin qu'elle avait été droguée.

Laura m'informe donc s’être réveillée ainsi nue et attachée sur son lit telle qu’à l’ instant. Elle a appelé au secours et a vu arriver une Alice tout sourire dans sa chambre quelques minutes plus tard. La suite a été marque par un long récit d'Alice l'informant de sa liaison passée avec moi et du fait que je l'ai plaquée notamment. À ce moment je me sens extrêmement fautif vis à vis de Laura de lui avoir au moins menti par omission en ne lui parlant pas de ma liaison avec Alice. Cependant Laura, charmante, me dit tout de suite que je n'y suis pour rien et qu'elle n'avait pas demandé à savoir avec qui j'avais pu sortir auparavant et réciproquement d'ailleurs. Ces propos me réconfortent tout en me faisant penser que c'est vraiment une fille bien. Laura va même plus loin en me trouvant de très bonnes raisons d'avoir plaque cette malade, car il faut être tordue pour se venger de la sorte. Bref, le réveil fu douloureux et marque, comme pour moi, par un long discours d'Alice sur la nécessité pour elle de faire payer Laura et moi-même pour ses soit disant souffrances morales. Par pudeur elle ne s'étend pas sur l'épisode de la couche mouillée ce matin ni moi sur l'épisode du vibro masseur, ce n'est pas le cœur du sujet ni notre préoccupation immédiate. Je demande à Laura si elle sait ce qu'Alice compte maintenant faire.

Elle me réponds qu'elle l'ignore n'ayant eu aucun détails, qu'elle avait également écouté notre échange et qu'elle était inquiète d'un plan manifestement prépare de longue date par Alice avec beaucoup de moyens et de complicité, le personnel du dispensaire devant manifestement être au courant étant donné la logistique déployée pour sa séquestration et les moyens vidéos et internet notamment. J'ai le même raisonnement que Laura et je lui fais part aussi de mes craintes devant cette débauche de moyen pour se venger ainsi.
Je lui demande ce qu'elle en pense. Laura très réfléchie et assez sereine je trouve par rapport à la situation ne s'alarme pas et me donne quelques pistes de réflexion. Tout d'abord elle me demande de ne pas prévenir les autorités car elle craint que cela lui soit préjudiciable, elle sent Alice prête à tout pour assouvir sa vengeance à sa guise. Je suis d'accord avec son analyse et lui promet de ne pas la mettre en danger en révélant sa situation. Ensuite Laura me dit à voix plus basse au cas où on écouterait à la porte qu'elle va "jouer le jeu" pour ne pas rendre son séjour plus inconfortable encore, rapport au bâillon notamment, et que nous chercherions ensemble au fur et à mesure un moyen de la tirer de la sans risques.
J'approuve le plan et je loue le courage et la lucidité de mon amie. Nous échangeons maintenant des mots doux à voix basses, moi cherchant à la soutenir de mon mieux par des paroles réconfortantes, elle me rassurant sur le fait que tout se finirait bien.

Nous sommes coupés dans notre échange par la porte de la chambre de Laura que j'entends s'ouvrir, celle-ci tourne aussi la tête pour voir qui entre dans la pièce. C'est Alice qui revient, la caméra pivote sur elle et elle m'indique que je peux rester, la caméra filme en permanence mais que le son de mon côté est maintenant coupé, ne me permettant plus de me faire entendre par les deux filles. Laura que je ne vois plus m'adresse un "ne t'inquiète pas Étienne, cela va aller" auquel je ne peux plus répondre. Alice me précise aussi que la télé de Laura est maintenant éteinte et qu'elle ne voit plus mon image.
Ceci dit, elle regarde sa montre et indique qu'il est déjà midi heure locale et que c'est l'heure du déjeuner de Laura. Une jeune malienne en tenue d'infirmière rentre dans la pièce et tends a Alice un grand biberon manifestement rempli de lait. Celle-ci la remercie avant qu'elle ne reparte, puis s'adressant à Laura elle lui indique que son biberon de midi est juste à bonne température. Je vois cette dernière prête à dire quelque chose puis elle se ravise. Alice, comme tout à l'heure s'assoit sur le côté du lit et présente maintenant la tétine aux lèvres de Laura, elle prend bien soin de ne pas la masquer a l'œil de la caméra qui filme la scène. Laura ouvre la bouche et commence à téter. Alice la félicité en lui disant que c'est un bébé qui ne fait pas de caprices pour manger ce qui est plus facile.

Le regard de Laura ne quitte pas la caméra comme pour me parler de ses yeux, j'enrage  d'être impuissant devant le traitement humiliant que subie mon amie.
Elle boit lentement mais régulièrement son biberon sans doute par soif et peut être aussi par faim, on dit toujours que les émotions creuse. Le biberon me paraît énorme, j'ai du mal à en évaluer la contenance mais il doit bien faire un litre au bas mot. J'observe attentivement la scène et il me semble que le rythme de téter ralenti et que Laura semble s'assoupir petit à petit. J'en ai la confirmation au 3/4 du biberon lorsqu'Alice la secoue un peu pour la maintenir éveillée et elle insiste pour que Laura finisse son biberon. Celle-ci à maintenant les yeux clos et ne tête plus le biberon que par réflexe quand Alice tourne la tétine dans sa bouche. Finalement elle s'endort définitivement sur le biberon vide au 4/5 ème. À ce moment une autre malienne en tenue blanche entre dans la pièce et se positionne sur le côté gauche du lit, Alice étant toujours assise sur le bord du lit de l'autre côté. Cette malienne est plus âgée manifestement que la petite jeune de tout à l'heure, une bonne trentaine d'années.

Alice s'adresse à elle en l'appelant Kimia. Elle lui montre le biberon pas tout à fait fini et lui demande si cela suffit. Kimia lui réponds de façon très sûre que c'est très bien et qu'avec ce que Laura a bu, elle dormira sans problème pendant 3 à 4 heures sans se réveiller. Sans tenir compte de ma présence via la caméra, les deux femmes détachent les liens maintenant Laura à son lit, celle-ci dort maintenant profondément. Ceci fait Kimia demande à Alice si elle peut rallumer la télé souhaitant voir à quoi je ressemble. Celle-ci s'exécute et je vois les deux femmes délaisser Laura pour se retourner vers moi. Les deux femmes me sourit ce qui ne le dit rien qui vaille. Kimia d'un ton enjoué indiqué à Alice qu'elle me trouve plutôt mignon, celle-ci lui réponds que c'est bien pour cela que je tombe les filles les unes après les autres. Kimia parlant très bien le français mais avec un accent africain redevient plus sérieuse et s'adressant à moi m'indique la suite du programme.

Elle se présente comme le médecin du dispensaire et spécialiste des plantes médicinales africaines. Très fièrement, elle m'indique que la pharmacopée locale est très riche. Alice craignant une explication trop longue et impatiente de la suite poursuit en le disant que mon comportement ainsi que celui de Laura montre bien notre immaturité. Partant de ce constat, elle se propose de mettre nos corps en adéquation avec notre âge mental. J'avoue ne pas très bien saisir. Alice me précise tout de suite sa pensée. Elle compte faire de Laura un vrai bébé faisant dans sa couche et buvant au biberon et lui offrir ainsi une deuxième éducation en repartant du début. Tu ne seras pas en reste me dit-elle dans un registre un peu différent, patience. Je suis stupéfait par ses propos, cette fille est vraiment folle et cette fois ci je n'hésite pas à lui dire. Pour toute réponse, un grand sourire sur son visage et un air de triomphe qui me glace. Les deux femmes quittent la pièce laissant Laura seule allongée sur son lit profondément endormie.