Mon but, écrire des histoires sur les couches les plus qualitatives possibles.

Le principe du blog, la première partie de chaque histoire peut être lue gratuitement (voir dans les historiques), la seconde partie est payante (cliquer dans les liens histoires ci-contre).



Bonne lecture,



Etienne



mercredi 28 décembre 2011

Etudiante en couches, la suite

Bonjour à tous,

Suite à vos nombreuses demandes, je vous annonce que la suite des aventures de votre étudiante infirmière préférée est maintenant disponible.

Vous retrouver le lien ci-contre : Etudiante en couches, la suite.

Attention, il y aura une dernière partie à cette histoire. Elle sera offerte à tous ceux qui acheterons "Etudiante en couches, la suite". Pour cela, merci de conserver votre code Allopass et me l'envoyer par mail. Dès que la dernière partie de l'histoire sera achevée, je vous l'adresserai par mail, personnellement.

Bonne lecture,

Etienne
etienne.durtin@hotmail.fr

lundi 19 décembre 2011

Etudiante en couches, nouveaux chapitres

Nous préparons ensemble le dîner du soir, Emilie me propose de profiter de la journée de demain pour aller faire du shopping avec le budget du laboratoire afin de m’acheter des jupes adaptées aux couches ainsi que des culottes pour mettre par-dessus mes couches car je vais en avoir besoin quotidiennement.
J’adhère au projet afin de disposer d’un choix de vêtement suffisamment large pour ne pas trop attirer l’attention à l’école sur le fait de porter systématiquement les deux seules jupes que je possède aujourd’hui, capables de masquer les couches que je vais devoir porter. J’ai du mal avec le fait de reporter des couches, celle qu’Emilie m’a mise me semble de plus très serrée et ajustée et épaisse à l’entrejambe. Je demande à Emilie si elle est vraiment identique à celle que j’ai déjà testée. Celle-ci me réponds qu’elle a été effectivement renforcée en garniture à l’entrejambe et que les adhésifs sont beaucoup plus efficaces ce qui permet que la couche ne se détende pas avec les mouvements du corps et reste parfaitement positionnée sur les fesses de celle qui la porte. Elle ajoute qu’étant donné les gros pipis mesuré par le laboratoire de test sur les couches que j’ai porté, ces modifications devaient me rassurer sur l’efficacité anti fuite des couches que je vais porter de jour comme de nuit. Je n’avais pas fait la même analyse et c’est surtout l’épaisseur accrue des changes que je retiens et que ceux-ci vont gêner mes mouvements au quotidien.
 Le repas préparé, nous dînons de bon appétit puis nous discutons organisation de la maison pour nous répartir les tâches ménagères, les courses etc… Je vais être fidèle à ma réputation, réelle je dois dire, de grosse pisseuse car, déjà, j’envie envie de faire dans ma couche. Je me trémousse un peu sur le canapé ce qui n’échappe pas à Emilie qui me glisse malicieusement que ma couche est là pour cela. A ma grande surprise, elle me propose de voir en direct l’effet de que cela fait dans ma couche. Elle m’entraine devant la large glace de la salle de bain, et se plaçant dernière moi, elle relève ma jupe afin de découvrir entièrement ma couche puis me glisse à l’oreille que je peux maintenant faire pipi dans ma couche. Un peu surprise par cette initiative, j’obtempère cependant, ne pouvant pas me retenir de toute façon plus longtemps. Au fur et à mesure que je fais pipi dans ma couche je vois les témoins d’humidité sur le devant de la couche s’effacer progressivement marquant ainsi le fait que le change absorbe mon urine. Lorsque j’ai fini, force est de constaté que cela n’a pas réellement altérer la couche, toujours bien en place et ayant encore un gros pouvoir d’absorption. Aucune fuite, la couche est toujours très serrée à ma taille et à mes cuisses. Emilie tapote le devant de ma couche et se félicite de la qualité de ce change encore capable de contenir un autre pipi aussi important sans fléchir. Nous revenons ensuite au salon et je dois constater que la légère sensation d’humidité à l’entrejambe disparaît très vite, la garniture de la couche retenant parfaitement mon pipi même lorsque la couche est compressée dans la position assise qui est la mienne dans le canapé du salon. Dans le salon, nous préparons le programme de courses du lendemain. Emilie a des idées très précises des magasins que nous devons aller visiter pour trouver les vêtements qui me sont nécessaire, elle est beaucoup plus experte que moi dans ce domaine et je la laisse faire. Nous repérons sur internet un certain nombre de jupes, de culottes que je devrais essayer demain.
Déjà 22h00 et je ne peux refréner un bâillement. Emilie me propose de me changer pour la nuit et que nous allions nous coucher. Elle propose que je me déshabille et me mette en tenue de nuit et elle me rejoint dans quelques minutes pour me changer ma couche. Je me déshabille, enfile une chemise de nuit puis fait un détour par la salle de bain pour une rapide toilette et un brossage de dents. Je retourne dans ma chambre où Emilie toujours habillée, elle, m’attend avec une couche nuit ainsi qu’une sorte de culotte de plastique que je n’avais jamais vu. Elle me fait allonger sur le lit, retrousse ma chemise de nuit pour accéder à ma couche. Je la vois prendre une paire de ciseau, elle m’explique que les nouveaux adhésifs ne peuvent pas être défait à la main mais doivent être coupés tellement ils sont adhérents. Elle coupe les quatre adhésifs pour pouvoir ouvrir la couche et me l’enlever. Elle la place dans un sac plastique transparent fermé par un zip et destiné au laboratoire de test d’Hartmann. Elle glisse maintenant la couche nuit de couleur jaune pâle sous mes fesses après avoir nettoyé celle-ci et mon entrejambe à la lingette. Crème puis talc comme à l’accoutumé avant que la couche ne soit rabattue et fixée par les quatre puissants adhésifs. Elle glisse ensuite la protection de plastique épais sous ma couche, la rabat sur mon ventre et la fixe à l’aide de boutons pression. Emilie m’indique que c’est une protection supplémentaire de nuit sans doute pas indispensable étant donné la qualité de la couche mais qui est destiné à rassurer sur une éventuelle fuite de la couche. Cette protection plastique rajoute ou bruit fait par la couche lors des mouvements, heureusement qu’elle n’est destinée qu’à accompagner la couche de nuit et non celle de jour. Sur ce elle me souhaite une bonne nuit et quitte ma chambre.
Je suis gênée par la couche de nuit qui maintient mes jambes écartées par son épaisseur à l’entrejambe mais je trouve finalement le sommeil.
Au milieu de la nuit l’envie de faire pipi me réveille et je me résous à faire dans ma couche avant de me rendormir. Il est déjà 9h00 lorsque je me réveille le lendemain matin. Emilie plus matinale que moi est déjà habillée et a eu le temps de descendre dans la rue pour acheter pain frais et croissant. Elle me demande ce que je prends pour le petit déjeuner et je lui réponds qu’un thé sera parfait. Elle relève ma chemise de nuit pour inspecter l’état de ma couche. La culotte plastique transparente lui permet de voir ma couche nuit bien en place même si les témoins d’humidité trahissent le fait que je l’ai mouillée. Emilie décide qu’il n’y a pas péril et me propose de petit déjeuner avant qu’elle ne me change, ce que nous faisons. Le petit déjeuner pris Emilie m’escorte jusqu’à ma chambre, elle m’aide à enlever ma chemise de nuit et me fais allonger sur le lit. Je suis à nouveau nue, juste en couche devant elle et la situation me gêne mais pas Emilie manifestement. Elle détache ma culotte plastique puis coupe les adhésifs de la couche nuit avant de l’enlever. Ayant pris un bain hier soir, elle me propose juste de me nettoyer les fesses et de me mettre la couche de jour ce qu’elle fait avec des gestes rapides et précis. J’ai donc à peine le temps de savourer d’avoir les fesses libres qu’une nouvelle couche vient épouser mon anatomie intime. Emilie m’aide ensuite à m’habiller ce que je trouve prévenant mais presque trop, je n’ose lui en faire la remarque. Elle agrafe mon soutient gorge pendant que je mets ma jupe la plus longue dans la perspective d’aller faire des courses.

mercredi 7 décembre 2011

Etudiante en couches, suite de l'aventure

Quelques semaines se passent, je croise régulièrement Emilie à l’école et nous déjeunons assez souvent ensembles. C’est une fille que j’apprécie beaucoup et que je découvre petit à petit. Elle a la délicatesse de ne pas aborder le sujet des tests que j’ai effectué sauf lorsque c’est moi qui ait abordé le sujet à une ou deux reprises. J’ai toujours une certaine curiosité sur certains points, notamment sur l’autre fille de notre promo qui a elle aussi fait ces tests. La confidentialité d’Emilie sur cette fille me frustre dans ma curiosité mais me ravie sur le strict anonymat respecté par le laboratoire, pour moi comprise. Le port des couches ne me manque pas mais la rémunération des tests m’avait bien aidé à améliorer significativement mon budget mensuel alloué par mes parents pour ma vie sur Lyon. D’ailleurs en cette fin d’année les nouvelles de ce côté ne sont pas très bonnes, l’entreprise de mon père étant en difficulté financière depuis quelques mois connait une fin d’exercice très difficile. Je m’en ouvre à Emilie avec laquelle je parle de tout sans difficulté. Elle est d’autant plus à même de comprendre la situation que ses propres parents sont très justes financièrement ce qui l’a amené très tôt à travailler pour le laboratoire Hartmann dans le cadre de ses études. Emilie m’indique qu’elle a une idée pour m’aider et qu’elle m’en parlera dès demain. Je lui propose donc de venir dîner à la maison le lendemain soir.
A 19H30 comme convenu, Emilie arrive à mon appartement. Nous prenons l’apéritif et Emilie rentre directement dans le sujet du jour. Elle m’explique que depuis la première année d’école, elle est en contrat avec le laboratoire Hartmann et que celui-ci lui met à disposition l’appartement qu’elle occupe à titre gratuit. Comme elle me sait en difficulté financière, elle peut me proposer de partager son vaste appartement dans le cadre d’un test du laboratoire et cela jusqu’à la fin de notre dernière année d’école en Juin prochain. Emilie m’indique qu’ainsi je pourrai faire l’économie du loyer de mon propre appartement en plus d’une rémunération prévue pour le test. L’idée est séduisante mais comme je pouvais le craindre il s’agit à nouveau d’un test de couches, une des spécialités du laboratoire Hartmann. Emilie m’explique que les couches de jour et de nuits que j’ai testées sont maintenant techniquement finalisées. Il s’agit maintenant de les éprouver sur une période de six mois avant leur mise sur le marché, démarche obligatoire dans le cadre de la règlementation. Devant ma mine un peu déconfite, Emilie me rassure d’un large sourire. Elle me rappelle que personne n’a rien remarqué lors des tests précédents et qu’en plus, le laboratoire tenant beaucoup à ce que je puisse faire ce test longue durée, m’accorde des conditions financières particulièrement généreuses. Je serai donc logée et rémunérée mais Emilie me précise aussi que je disposerai d’un large budget pour acheter des vêtements, jupes notamment adaptés au port discret de couches. Je demande par curiosité en quoi ma candidature était si recherchée par le laboratoire. Emilie me réponds avec une grande franchise que physiologiquement je fais pipi régulièrement et abondamment, en tout cas plus que la moyenne et que cela est favorable aux tests menés. De plus je suis célibataire et sans petit copain en ce moment ce qui est nécessaire car ce ne serait pas franchement compatible avec un test de couche longue durée. Je ne sais pas si je dois prendre ces éléments comme un compliment mais je suis partagée à l’idée de faire un test sur une aussi longue période. Emilie sentant bien que j’hésite me rassure et m’indique qu’elle aussi aimerait bien que je sois volontaire étant donné que nous nous connaissons bien et nous apprécions. C’est une dimension non négligeable je dois bien en convenir mais je demande à réfléchir au moins jusqu’au lendemain. Emilie acquiesce et nous passons à table.

Le lendemain, je recroise Emilie en cours. Elle me propose de venir dîner à mon tour chez elle pour que je puisse visiter ce qui pourrait être notre appartement commun dès Janvier. J’accepte avec plaisir n’étant jamais allé chez elle pour l’instant. Le soir même je découvre un vaste et bel appartement moderne situé non loin de notre école ce qui est pratique. Emilie m’accueille chaleureusement en me souhaitant une bienvenue chez nous ! Je lui réponds qu’elle anticipe un peu mais je pense qu’elle a compris que l’idée me séduit tout de même. Nous dînons sans évoquer le test puis nous passons au salon pour prendre une tisane. Emilie va chercher quelque chose dans sa chambre, il s’agit du contrat de test que le laboratoire à préparer à mon attention. Comme les précédents il est très long et détaillé, je demande à Emilie de m’en faire un résumé. Il s’agit donc de tester la gamme appelée « teen » constituée de changes de jours et de nuits comme ceux que j’ai déjà porté. Ce test se fera en continue ce qui signifie que je porterai des couches le jour et la nuit et que je serai changée à horaires réguliers.
Emilie me détaille ensuite les détails de la rémunération qui est effectivement très importante ce qui est un aspect non négligeable. Je lui donne donc mon accord et signe le document m’engagement sur ce test qui va durer jusqu’à fin Juin de l’année prochaine. Emilie se déclare ravie que ce soit moi étant donné la proximité entre nous que ce test longue durée va automatiquement engendrer. Nous discutons ensuite de mon emménagement qui se fera juste avant Noël pour qu’en revenant de vacances mes affaires soient déjà transférées dans notre appartement commun.
Les fêtes de fin d’années se passent en famille, mes parents étant ravis que je prenne cette colocation avec Emilie ce qui diminue significativement le budget qu’ils avaient besoin de m’allouer. Le Vendredi 2 Janvier je reprends le chemin de Lyon et de mon nouvel appartement, les cours reprenant le Lundi suivant. Arrivée Vendredi en fin d’après-midi sur Lyon je suis accueillie à la gare par Emilie venue à ma rencontre. Nous regagnons en bus notre appartement. Une fois arrivées, Emilie me remet un double des clefs et m’explique les détails de fonctionnement du chauffage, l’accès au sous-sol etc….
Mes affaires sont déjà rangées dans le vaste placard de ma chambre, dans la partie gauche là où je les avais disposées. En ouvrant la partie droite, je découvre que l’ensemble des rayonnages sont occupés par des couches. Des couches de couleur jaune pour la nuit, des roses pour les couches de jour. J’en avais presque oublié ce « détail » et la véritablement raison de ma présence ici. Emilie à mes côtés me souris et explique que le laboratoire a livré les changes nécessaires au test pour les deux premières semaines et que d’autres livraisons viendront nous réapprovisionner. Emilie referme la porte du placard et me suggère d’aller prendre un bon bain après avoir passé une partie de la journée dans le train. L’idée est bonne, je prends mon peignoir dans la penderie et gagne la vaste salle de bain. Je me fais couler un grand bain chaud et je m’y prélasse longuement. C’est avec regret que je sors du bain après une bonne demi-heure de barbotage mais je me dis qu’il est temps car je dois aider Emilie à préparer le dîner. Je me sèche et j’enfile mon peignoir pour regagner ma chambre et me rhabiller. Lorsque j’arrive dans ma chambre Emilie s’y trouve toujours. Elle semble m’attendre et jetant un coup d’œil sur le lit je vois qu’elle à préparer une couche, du talc, de la crème, bref le nécessaire pour me mettre en couche. Naïvement je lui demande si le test  commence tout de suite et Emilie me réponds que oui. Elle me demande de m’allonger sur le lit ce que je fais. Elle défait la ceinture de mon peignoir et en écarte les pans me découvrant largement. Constatant ma toison pubienne, elle se propose de me raser afin de prévenir toute irritation due aux couches que je vais porter. Me laissant ainsi allongée sur le lit, elle part en direction de la salle de bain. Elle revient avec une petite bassine d’eau, de la mousse à raser et un rasoir. Elle glisse une serviette éponge sous mes fesses et m’humidifie le pubis puis me dépose de la mousse qu’elle applique largement. Avec dextérité, elle commence à me raser méthodiquement. Elle termine l’opération en passant une lingette pour effacer les dernières traces de mousse. Mon peignoir est maintenant complètement ouvert découvrant non seulement mon entrejambe mais ne cachant plus rien de ma poitrine aux yeux d’Emilie. Celle-ci n’y prête pas vraiment attention, retirant la serviette sous mes fesses pour la remplacer par la couche de jour couleur rose qui m’est destinée. Je ne sais pas si c’est le fait de n’en avoir plus porté depuis la fin du dernier test mais elle me parait encore plus épaisse que dans mes souvenirs. Emilie me talc largement avant de m’appliquer de la crème sur le sexe et de refermer la couche. L’opération terminée, elle m’aide à me lever et m’enlève définitivement mon peignoir, se proposant de choisir avec moi les vêtements à me mettre dans ma garde-robe. Elle choisit pour moi un soutien-gorge de coton blanc, puis un tee-shirt, une jupe courte et un pull à col roulé. La jupe peine à masquer la large couche que je porte mais Emilie m’indique que cela n’a pas d’importance car il n’est pas prévu que nous ressortions ce soir. Emilie m’observe et se déclare satisfaite du « résultat ». Je suis pour ma part un peu plus circonspecte car la couche se devine sous ma jupe mais comme il n’est pas question de sortir ainsi c’est un moindre mal. Une fois debout, Emilie juge du résultat et relève ma jupe pour passer un doigt le long des élastiques de mes cuisses pour s’assurer qu’ils sont bien en place pour assurer l’étanchéité de la couche.

jeudi 1 décembre 2011

Etudiante en couches, la suite arrive

Devant le succès de cette histoire et vos nombreux mails sur le sujet, je vous prépare la suite de cette histoire.
Toujours le même principe, la première partie gratuite, la suite payante.
Mise en ligne dès demain pour la partie gratuite.

Je vous invite aussi à découvrir les photos d'illustration de cette jeune étudiante infirmière ainsi que les autres histoires bien sûr.

Bonne lecture,

Etienne

mardi 6 septembre 2011

Découvrez la première série de photos de la jeune Isabelle en cliquant sur l'image ci-contre.

samedi 3 septembre 2011

Série photos Isabelle en couches 2

Je vous propose de découvrir 50 photos d'une jeune étudiante infirmière en couche dans son appartement.
Pour cela cliquer sur le lien ci-contre.

mardi 30 août 2011

Les photos arrivent !

A la demande de nombreux et nombreuses d'entre vous, vous trouverez ci contre le lien vers la version illustrée de l'histoire : "Etudiante en couche".

mardi 9 août 2011

Trahison intime (suite)

Je m’appelle Ludivine, J’ai 22 ans, j’ai passé l’année dernière un concours pour rentrer dans l’armée et j’appartiens depuis au 22ème régiment d’infanterie de Lyon. Petite brune d’1 mètre 60, j’ai le grade de caporal et je travaille comme secrétaire dans la cellule achats du régiment.  Je ne suis pas rentrée dans l’armée par vocation comme certains mais plus pour la sécurité de l’emploi que cela procure encore. Les débuts, et notamment les classes, n’ont pas été évidents mais depuis que je suis affectée à mon poste je n’ai pas à me plaindre. J’ai également la chance d’être dans un régiment dit de services et donc largement féminisé ce qui a rendu mon intégration plus facile je pense que dans d’autres régiments.
Mais aujourd’hui, je mets l’armée entre parenthèses car je profite de mes premières permissions pour partir, en ce début de printemps, faire un stage d’escalade d’une semaine  dans les calanques de Sormiou près de Marseille. J’ai retenu une semaine à l’UCPA, organisme réputé pour le sport et les rencontres car étant célibataire, rien n’interdit de joindre l’utile à l’agréable.
Mes affaires ont prêtes depuis hier car je pars très tôt ce matin pour prendre mon train à la gare de la Part Dieu. Je termine mon petit déjeuner, vérifie une dernière fois que je n’ai rien oublié et prends mon sac à dos. Il est 5H30, il est temps de partir pour ne pas rater mon train de 6H20. Je referme la porte de mon appartement et prend l’ascenseur. Arrivée au rendez de chaussé la porte s’ouvre. Etonnamment l’éclairage du hall de l’immeuble ne se met pas en marche automatiquement mais cela lui arrive de dysfonctionner. Je me dis qu’il sera bien réparé à mon retour lorsque brusquement des mains me saisissent et avant que je n’aie pu faire quoi que soit un chiffon est appliqué sur mon visage.  En quelques instants c’est le trou noir.
Lorsque je reviens à moi je suis assise sur une chaise, les mains menottées dans le dos et attachées à la chaise dans une large pièce aveugle avec une table au centre. Devant moi, le mur est recouvert d’une large glace. J’ai m’impression de me retrouver dans une salle d’interrogatoire de la série américaine NCIS.  La pièce est éclairée et me tournant sur ma gauche, j’aperçois une porte. Je suis maintenant bien réveillée et me souviens de mon agression dans le hall de mon immeuble. Les pensées se bousculent dans ma tête et je me demande bien ce que je peux faire ici. La pensée la plus rassurante serait qu’il s’agit d’une mise à l’épreuve de la police militaire mais ne travaillant pas dans un domaine sensible, ils n’ont pas vraiment de raison de tester mes réactions en cas de tentative de m’extorquer des renseignements militaires. Du coup, je me demande si mon enlèvement n’est pas le fait de terroristes qui voudrait avoir des renseignements sur le régiment dans lequel je travaille car il dispose d’une armurerie très importante. Bref mes premières idées tournent autour de mon métier.

Au bout d’un temps difficile à déterminer mais très long à mes yeux, la porte de la pièce s’ouvre laissant le passage à 3 femmes en blouses blanches. L’une d’elle s’approche de moi et m’observe en silence. Les deux autres sont restées devant la porte qu’elles referment. La femme qui s’est avancée vers moi, va chercher une chaise dans l’angle opposé de la pièce et viens d’asseoir devant la table, en face de moi. Elle me détaille sans un mot, au moment où l’une des deux femmes restées à la porte s’avance à son tour et tend un dossier à la femme assise en face de moi. Comme dans un film celle-ci l’ouvre sur la table et commence à en détaillé le contenu. Sans me regarder elle commence à lire le premier document : « Ludivine Saulnier, 22 ans, habitant à Lyon, célibataire, caporal dans l’armée de terre, part en vacances à l’UCPA pour un stage d’escalade ». A ces mots je comprends que cette femme dispose de nombreux renseignements sur moi car le reste du dossier semble particulièrement épais et elle n’a lu manifestement que les premières informations qu’il contient. Elle relève la tête vers moi et ajoute : « partait pour un stage d’escalade UCPA ».
Sans se présenter, elle m’indique qu’il va y avoir un petit changement dans mon programme de vacances. Je commence à protester vigoureusement, demander des explications et exiger d’être détachée quand l’une des deux femmes restée à la porte passe dans mon dos et m’applique un large morceau de sparadrap sur la bouche coupant court à mes protestations. Imperturbable la femme assise en face de moi m’explique que quelqu’un dans mon entourage a jugé nécessaire de changer le programme de mes vacances. Comme si elle devinait mes pensées, elle poursuit en m’expliquant que l’UCPA avait été prévenu que j’avais eu un empêchement de dernière minute et que l’on se s’inquièterait donc pas de mon absence. Pour ce qui est de mon téléphone portable, il a été coupé, renvoyant à ma messagerie. Elle termine en se disant prête à répondre à mes questions à partir du moment où je ne crie ni ne proteste comme j’ai commencé à le faire tout à l’heure. Je fais un oui de la tête et le sparadrap est enlevé, libérant ma bouche.
Je demande immédiatement où je suis et qui a bien pu demander à faire changer mes vacances. La femme me répond que je suis dans un établissement qui s’appelle « les Cèdres » appartenant à une société de divertissement pour adultes qui s’appelle « Game ». Pour ce qui est de savoir qui m’a fait envoyer ici, la réponse est confidentielle me dit-elle. La préservation de l’anonymat des clients de « Game » est garantie. La femme me précise que tout l’enjeu pour moi va être de tenter de découvrir la personne qui m’a envoyé aux Cèdres d’ici à la fin de mon séjour. Les réponses apportées me laissent avec encore plus de questions. La première qui me vient alors à l’esprit est de demandé en quoi consiste justement ce séjour et les divertissements pour adultes de la société « Game ». La femme me sourit et note que la question est pertinente. Elle m’invite à la suivre pour que je puisse me faire une idée. Déjà les deux femmes restées en retrait m’encadrent. L’une d’elle détache un de mes poignets pour libérer les menottes des barreaux de la chaise mais referment à nouveau celles-ci sur mon poignet, maintenant mes bras attachés dans le dos. Je suis levée et escortée des deux femmes, je suis celle qui semble être la chef  dans un long couloir blanc. Il y a de nombreuses portes de part et d’autre du couloir qui fait plusieurs coudes, mais sans aucune fenêtre, nous devons être en sous-sol. Finalement nous arrivons devant une porte sur laquelle figure juste un numéro, le 42. Nous entrons dans une vaste pièce plongée dans une quasi obscurité. Plusieurs chaises sont placées au centre de la pièce dont le mur du fond et les murs latéraux sont masqués par des rideaux. On me fait asseoir sur l’une des chaises et on me remet un sparadrap pour me bâillonner à nouveau. Les trois femmes s’assoient derrière moi et celle que je surnomme la chef me glisse à l’oreille que pour goûter au spectacle mes yeux suffiront. Le faible éclairage de la pièce s’éteints, j’ai l’impression d’être au cinéma. Le rideau s’ouvre et le spectacle me laisse sans voix.
Ce n’est pas un écran de cinéma mais une vitre qui apparaît derrière le rideau. Nous avons ainsi une vision directe sur la pièce qui jouxte la nôtre. Il s’agit d’une vaste pièce d’une trentaine de m2 environ, entièrement décorée comme une chambre d’enfant. La seule différence troublante c’est que tous les meubles sont à taille adulte. D’ailleurs, au fond de la pièce une femme en blouse blanche, comme celles présentes dans la pièce, assise sur un canapé rose est en train de donner le biberon à une femme allongée sur ces genou. Celle-ci est vêtue comme un bébé avec une grenouillère de couleur jaune pâle. Je ne vois sa tête que de profil mais elle semble être âgée d’une petite quarantaine d’année ce qui rend la scène encore plus incongrue. Outre le canapé, la pièce dispose d’un parc avec des jouets, d’une large armoire, d’un lit à barreau ainsi que d’une large table à langée surplombée par des étagères garnies de couches elles aussi de taille adulte.

Déjà le rideau se referme au même moment ou celui sur le mur à ma droite s’ouvre. Une pièce très semblable à la première apparaît mais dans des tons à dominante bleu, la précédente étant rose. Ici point de femme en blouse blanche mais un homme, lui aussi habillé d’une grenouillère de couleur bleu ciel en train de dormir dans le lit à barreaux avec une sucette dans la bouche. Difficile là aussi de lui donner un âge ainsi accoutré mais il doit être dans la trentaine. Le rideau se referme lui aussi et c’est le rideau du mur de gauche qui s’ouvre à son tour. Je me retourne pour voir une troisième pièce, dans la même ligne que les deux précédentes, de couleur majoritairement rose. Dans cette troisième pièce, une femme en blouse blanche est en train de changer la couche d’une jeune femme, elle aussi en grenouillère, allongée sur la table à langer. Elles sont de profil par rapport à la vitre qui nous sépare de leur pièce ce qui nous permet de bien les voir. Même si la tenue doit rajeunir cette jeune femme, je lui donne mon âge environ. Elle aussi a une sucette dans la bouche. Elle se laisse faire pendant que la femme en blouse blanche déboutonne sa grenouillère au niveau des fesses et enlève les jambes de celle-ci découvrant une grosse couche blanche. Un système de micro et haut-parleurs doit nous relier à cette pièce car j’entends maintenant distinctement la femme en blouse blanche parler à son « bébé ». Le terme bébé est approprié car la femme en blouse parle à la jeune femme comme à un bébé, commentant ses gestes et félicitant son « bébé » pour le beau pipi fait dans sa couche. Le rideau se ferme sur la fin du lange de la jeune femme.

La « séance » terminée, je suis entraînée par les trois femmes en dehors de la pièce et poursuivrons notre route dans ce couloir interminable jusqu’à une nouvelle porte au numéro 28. Nous entrons dans une chambre, style chambre d’hôpital, vaste pièce avec deux lits jumeaux, une table avec deux chaises, deux grandes armoires de part et d’autre de la pièce. Au fond de la pièce, une porte ouverte qui donne sur une salle de bain d’après ce que je peux voir. Mon sac à dos est posé sur la table. Les deux femmes qui m’escortent me font asseoir sur le lit de gauche et m’enlève les menottes et le bâillon  avant de se positionner de part et d’autre de la porte d’entrée. La chef prend une chaise et s’assoit à côté du lit. Elle m’explique que ce que je viens de voir n’est qu’un exemple des nombreux jeux au catalogue de la société « Game », mais que c’est celui-ci qui a été choisi par la personne qui  a payé mon séjour ici. Il répond au nom de « retour en enfance » et c’est le programme qui m’est destiné cette semaine. Echaudée par le port du sparadrap et sentant que mon avis n’est pas demandé je la laisse poursuivre son explication. Elle poursuit en me disant que je suis ici dans ma chambre pour la nuit que je partagerai avec une autre pensionnaire et que je passerai mes journées dans ma chambre de bébé. J’écoute ses informations en notant maintenant que deux grandes télés sont accrochées au mur en face de chacun des lits, je ne les avais pas notées en entrant. La femme me ramène à la réalité en me disant que j’ai quartier libre pour m’installer avant que ma voisine de chambre ne revienne et que notre dîner ne soit servi. Avant que je n’aie pu poser une seule question, les trois femmes quittent la pièce et me laissent seule. Je me précipite sur la porte mais celle-ci est fermée à clef, pas moyen de sortir pour l’instant.
J’explore du coup cette vaste chambre. La salle de bain attenante est grande, dispose de deux lavabos et d’une douche. Je remarque des affaires de toilettes, surement ceux de la femme partageant ma chambre. En ouvrant l’armoire de droite je trouve également les habits de ma compagne de chambre. Je referme sans rien déranger et j’en profite pour vider également mon sac dans mon armoire. Mon sac à dos a été manifestement fouillé. Seul mon téléphone portable manque à l’appel. Mes affaires rangées, je m’allonge sur le lit pour tenter de mettre de l’ordre dans mes pensées et essayer de raisonner pour comprendre ce qui m’arrive. La question qui me taraude est bien évidemment de savoir qui a bien pu m’envoyer ici. C’est manifestement quelqu’un de proche, qui me connait bien pour avoir transmis de nombreuses informations à la société « Game ». Si je résume, c’est quelqu’un qui connait mon adresse, ma profession et qui savait que je partais en stage à l’UCPA. Réfléchissant longuement, je me rends compte que c’est insuffisant pour trouver le ou la responsable car ce sont des informations partagées avec non seulement de nombreux membres de ma famille ou amis mais également pas mal de collègues de travail.

Je suis tirée de mes réflexions par la porte de la chambre qui s’ouvre. Une jeune femme en blouse apparaît suivie par une femme en grenouillère. Je reconnais facilement la femme d’une quarantaine d’année que j’ai vu boire au biberon tout à l’heure. La femme en blouse blanche me sourit et se présente comme Lucie la Maman de bébé Caroline. Le paradoxe c’est qu’elle ne semble pas âgée de plus de 30 ans alors que son « bébé » en a manifestement au moins 10 de plus. Celle-ci marche vers son lit et à la demande de Lucie s’y allonge. J’observe son comportement et je constate qu’elle doit être sous l’emprise d’une drogue pour obéir ainsi. Mes pensées reviennent sur la porte ouverte mais tout espoir de fuite est douché par la présence dans l’ouverture de la porte de deux femmes en blouse que je ne connais pas mais qui empêchent par leur présence toute tentative de sortir de la chambre. Lucie s’approche de Caroline et, retroussant sa manche gauche, lui pratique une injection avec une seringue sortie de la poche de sa blouse. Ceci fait elle m’informe que Caroline retrouvera ses esprits dans quelques minutes puis quitte la pièce.  Assise sur mon lit j’observe cette belle femme brune aux yeux bleus.  Elle porte la grenouillère jaune pâle que je lui ai vu tout à l’heure avec manifestement une épaisse couche en dessous étant donné la bosse qui marque son entrejambe. Je suis en train de la détailler quand je sens à son regard qu’elle retrouve ses esprits. Elle se redresse comme endolorie et me regarde étonnée. Je me présente à  elle. Elle se présente à son tour.
J’apprends rapidement qu’elle s’appelle Caroline Estier, qu’elle a  42 ans, divorcée sans enfants et avocate de profession. Son aventure est proche de la mienne, kidnappée à son domicile à son départ en vacances pour les Maldives où elle devait rejoindre des amies. Interrompant son récit elle me demande si je peux l’aider à déboutonner sa grenouillère dans le dos pour qu’elle puisse se changer. Je lui réponds par l’affirmative et déboutonne sa grenouillère et l’aide à l’enlever. Elle n’est plus vêtue que de sa grosse couche et part dans la salle de bain en ayant pris des vêtements dans son armoire. J’entends le bruit des adhésifs de la couche qu’elle défait puis l’eau couler à flot. Lorsqu’elle ressort de la salle de bain elle est métamorphosée, portant des habits chics de belles marques. Qui a dit que l’habit ne fait pas le moine ! De retour dans la chambre, elle me pose à son tour plein de questions, bref nous échangeons nos expériences. Je ne peux malheureusement pas lui dire grand-chose, si ce n’est mon incompréhension de me retrouver là. Je lui demande des détails sur le programme qui m’attend, ayant appris que Caroline est là depuis une semaine et pour une semaine encore. Sa description me fait froid dans le dos.

Elle m’indique qu’elle est droguée chaque matin afin de passer la journée dans la chambre que j’ai découverte avec sa « Maman » Lucie. Elle ne se rend compte de rien et du coup je m’étonne qu’elle puisse me donner autant de détails. C’est là que je tombe littéralement des nues car Caroline m’indique que la chambre de bébé est bardée de cameras. Elle poursuit en m’expliquant que la personne qui a commandité son séjour ici dispose d’un code d’accès sur un site internet qui lui permet de voir en direct ce qui se passe dans la chambre de bébé. Cette personne peut passer d’une caméra à l’autre et même les diriger à distance, zoomer etc…. Caroline m’indique alors la vocation des télés présentent dans la chambre. Celles-ci retransmettent chaque soir l’exact reflet de ce que le commanditaire de notre séjour à visionner dans la journée depuis internet. C’est programme unique et la télé n’est pas branchée sur une antenne extérieure donc aucun moyen de suivre les actualités pour savoir si on s’inquiète éventuellement de notre sort finit-elle. C’est donc pas le biais de la télé qu’elle découvre le soir ce qu’on lui a fait faire dans la journée à son insu.

Nous sommes interrompues par le bruit de la porte qui s’ouvre, une femme que je ne connais pas vêtue de l’uniforme blanc « maison » pousse devant elle une desserte avec deux plateaux repas pendant que deux autres femmes  surveillent la porte. Elle pose les plateaux sur la table et repart avec sa desserte roulante. C’est donc l’heure du repas. Je prends place à table en face de Caroline et nous mangeons de bon appétit, la nourriture étant raffinée. Caroline prend un carnet et un stylo dans son armoire et note scrupuleusement le détail du menu. Elle m’explique que depuis qu’elle est ici, elle note tous les détails qui pourront l’aider, une fois sortie, à essayer de localiser ce lieu, les responsable de cette société « Game » et bien sûr la personne qui lui a organisé ce maudit séjour. Je suis impressionnée par son organisation et sa détermination ne pouvant, moi aussi, m’empêcher de penser à la personne qui m’a envoyée ici et dont j’ignore le nom. Le repas terminé, on vient nous enlever les plateaux et Caroline m’indique que la télé va bientôt se mettre en route avec le détail de ce qu’a visionné son ou sa commanditaire.

Effectivement quelques minutes plus tard, l’image de Caroline apparaît sur l’écran de la télé en face de son lit. Elle est dans la chambre de bébé en compagnie de Lucie. L’image et le son sont très net et on a vraiment l’impression de se trouver dans la pièce. Caroline m’explique que c’est douloureux pour elle de voir ces images mais qu’elle regarde attentivement pour essayer là encore de découvrir des indices. Je regarde aussi avec attention les images, ayant du mal à imaginer que je serai dans la même situation dès demain. On voit successivement Caroline prendre le biberon, dormir dans son lit à barreau et être changée par Lucie d’une couche largement mouillée. Lors du change la caméra zoome justement sur la couche mouillée et sur le sexe de l’infortunée Caroline nettoyée à la lingette par Lucie puis crémée avant qu’une nouvelle et épaisse couche ne recouvre à nouveau ses fesses. Je suis captivée par le spectacle et honteuse en même temps de mon voyeurisme. Caroline me rassure et m’excuse complètement, nous sommes toutes les deux victimes de ce jeu odieux. La télé diffuse pendant plus d’une heure des images avant de s’éteindre d’elle-même. Caroline et moi nous déshabillons et nous couchons.

lundi 8 août 2011

Trahison intime (première partie)

Je m’appelle Ludivine, J’ai 22 ans, j’ai passé l’année dernière un concours pour rentrer dans l’armée et j’appartiens depuis au 22ème régiment d’infanterie de Lyon. Petite brune d’1 mètre 60, j’ai le grade de caporal et je travaille comme secrétaire dans la cellule achats du régiment.  Je ne suis pas rentrée dans l’armée par vocation comme certains mais plus pour la sécurité de l’emploi que cela procure encore. Les débuts, et notamment les classes, n’ont pas été évidents mais depuis que je suis affectée à mon poste je n’ai pas à me plaindre. J’ai également la chance d’être dans un régiment dit de services et donc largement féminisé ce qui a rendu mon intégration plus facile je pense que dans d’autres régiments.
Mais aujourd’hui, je mets l’armée entre parenthèses car je profite de mes premières permissions pour partir, en ce début de printemps, faire un stage d’escalade d’une semaine  dans les calanques de Sormiou près de Marseille. J’ai retenu une semaine à l’UCPA, organisme réputé pour le sport et les rencontres car étant célibataire, rien n’interdit de joindre l’utile à l’agréable.
Mes affaires ont prêtes depuis hier car je pars très tôt ce matin pour prendre mon train à la gare de la Part Dieu. Je termine mon petit déjeuner, vérifie une dernière fois que je n’ai rien oublié et prends mon sac à dos. Il est 5H30, il est temps de partir pour ne pas rater mon train de 6H20. Je referme la porte de mon appartement et prend l’ascenseur. Arrivée au rendez de chaussé la porte s’ouvre. Etonnamment l’éclairage du hall de l’immeuble ne se met pas en marche automatiquement mais cela lui arrive de dysfonctionner. Je me dis qu’il sera bien réparé à mon retour lorsque brusquement des mains me saisissent et avant que je n’aie pu faire quoi que soit un chiffon est appliqué sur mon visage.  En quelques instants c’est le trou noir.
Lorsque je reviens à moi je suis assise sur une chaise, les mains menottées dans le dos et attachées à la chaise dans une large pièce aveugle avec une table au centre. Devant moi, le mur est recouvert d’une large glace. J’ai m’impression de me retrouver dans une salle d’interrogatoire de la série américaine NCIS.  La pièce est éclairée et me tournant sur ma gauche, j’aperçois une porte. Je suis maintenant bien réveillée et me souviens de mon agression dans le hall de mon immeuble. Les pensées se bousculent dans ma tête et je me demande bien ce que je peux faire ici. La pensée la plus rassurante serait qu’il s’agit d’une mise à l’épreuve de la police militaire mais ne travaillant pas dans un domaine sensible, ils n’ont pas vraiment de raison de tester mes réactions en cas de tentative de m’extorquer des renseignements militaires. Du coup, je me demande si mon enlèvement n’est pas le fait de terroristes qui voudrait avoir des renseignements sur le régiment dans lequel je travaille car il dispose d’une armurerie très importante. Bref mes premières idées tournent autour de mon métier.

Au bout d’un temps difficile à déterminer mais très long à mes yeux, la porte de la pièce s’ouvre laissant le passage à 3 femmes en blouses blanches. L’une d’elle s’approche de moi et m’observe en silence. Les deux autres sont restées devant la porte qu’elles referment. La femme qui s’est avancée vers moi, va chercher une chaise dans l’angle opposé de la pièce et viens d’asseoir devant la table, en face de moi. Elle me détaille sans un mot, au moment où l’une des deux femmes restées à la porte s’avance à son tour et tend un dossier à la femme assise en face de moi. Comme dans un film celle-ci l’ouvre sur la table et commence à en détaillé le contenu. Sans me regarder elle commence à lire le premier document : « Ludivine Saulnier, 22 ans, habitant à Lyon, célibataire, caporal dans l’armée de terre, part en vacances à l’UCPA pour un stage d’escalade ». A ces mots je comprends que cette femme dispose de nombreux renseignements sur moi car le reste du dossier semble particulièrement épais et elle n’a lu manifestement que les premières informations qu’il contient. Elle relève la tête vers moi et ajoute : « partait pour un stage d’escalade UCPA ».
Sans se présenter, elle m’indique qu’il va y avoir un petit changement dans mon programme de vacances. Je commence à protester vigoureusement, demander des explications et exiger d’être détachée quand l’une des deux femmes restée à la porte passe dans mon dos et m’applique un large morceau de sparadrap sur la bouche coupant court à mes protestations. Imperturbable la femme assise en face de moi m’explique que quelqu’un dans mon entourage a jugé nécessaire de changer le programme de mes vacances. Comme si elle devinait mes pensées, elle poursuit en m’expliquant que l’UCPA avait été prévenu que j’avais eu un empêchement de dernière minute et que l’on se s’inquièterait donc pas de mon absence. Pour ce qui est de mon téléphone portable, il a été coupé, renvoyant à ma messagerie. Elle termine en se disant prête à répondre à mes questions à partir du moment où je ne crie ni ne proteste comme j’ai commencé à le faire tout à l’heure. Je fais un oui de la tête et le sparadrap est enlevé, libérant ma bouche.
Je demande immédiatement où je suis et qui a bien pu demander à faire changer mes vacances. La femme me répond que je suis dans un établissement qui s’appelle « les Cèdres » appartenant à une société de divertissement pour adultes qui s’appelle « Game ». Pour ce qui est de savoir qui m’a fait envoyer ici, la réponse est confidentielle me dit-elle. La préservation de l’anonymat des clients de « Game » est garantie. La femme me précise que tout l’enjeu pour moi va être de tenter de découvrir la personne qui m’a envoyé aux Cèdres d’ici à la fin de mon séjour. Les réponses apportées me laissent avec encore plus de questions. La première qui me vient alors à l’esprit est de demandé en quoi consiste justement ce séjour et les divertissements pour adultes de la société « Game ». La femme me sourit et note que la question est pertinente. Elle m’invite à la suivre pour que je puisse me faire une idée. Déjà les deux femmes restées en retrait m’encadrent. L’une d’elle détache un de mes poignets pour libérer les menottes des barreaux de la chaise mais referment à nouveau celles-ci sur mon poignet, maintenant mes bras attachés dans le dos. Je suis levée et escortée des deux femmes, je suis celle qui semble être la chef  dans un long couloir blanc. Il y a de nombreuses portes de part et d’autre du couloir qui fait plusieurs coudes, mais sans aucune fenêtre, nous devons être en sous-sol. Finalement nous arrivons devant une porte sur laquelle figure juste un numéro, le 42. Nous entrons dans une vaste pièce plongée dans une quasi obscurité. Plusieurs chaises sont placées au centre de la pièce dont le mur du fond et les murs latéraux sont masqués par des rideaux. On me fait asseoir sur l’une des chaises et on me remet un sparadrap pour me bâillonner à nouveau. Les trois femmes s’assoient derrière moi et celle que je surnomme la chef me glisse à l’oreille que pour goûter au spectacle mes yeux suffiront. Le faible éclairage de la pièce s’éteints, j’ai l’impression d’être au cinéma. Le rideau s’ouvre et le spectacle me laisse sans voix.
Ce n’est pas un écran de cinéma mais une vitre qui apparaît derrière le rideau. Nous avons ainsi une vision directe sur la pièce qui jouxte la nôtre. Il s’agit d’une vaste pièce d’une trentaine de m2 environ, entièrement décorée comme une chambre d’enfant. La seule différence troublante c’est que tous les meubles sont à taille adulte. D’ailleurs, au fond de la pièce une femme en blouse blanche, comme celles présentes dans la pièce, assise sur un canapé rose est en train de donner le biberon à une femme allongée sur ces genou. Celle-ci est vêtue comme un bébé avec une grenouillère de couleur jaune pâle. Je ne vois sa tête que de profil mais elle semble être âgée d’une petite quarantaine d’année ce qui rend la scène encore plus incongrue. Outre le canapé, la pièce dispose d’un parc avec des jouets, d’une large armoire, d’un lit à barreau ainsi que d’une large table à langée surplombée par des étagères garnies de couches elles aussi de taille adulte.

Déjà le rideau se referme au même moment ou celui sur le mur à ma droite s’ouvre. Une pièce très semblable à la première apparaît mais dans des tons à dominante bleu, la précédente étant rose. Ici point de femme en blouse blanche mais un homme, lui aussi habillé d’une grenouillère de couleur bleu ciel en train de dormir dans le lit à barreaux avec une sucette dans la bouche. Difficile là aussi de lui donner un âge ainsi accoutré mais il doit être dans la trentaine. Le rideau se referme lui aussi et c’est le rideau du mur de gauche qui s’ouvre à son tour. Je me retourne pour voir une troisième pièce, dans la même ligne que les deux précédentes, de couleur majoritairement rose. Dans cette troisième pièce, une femme en blouse blanche est en train de changer la couche d’une jeune femme, elle aussi en grenouillère, allongée sur la table à langer. Elles sont de profil par rapport à la vitre qui nous sépare de leur pièce ce qui nous permet de bien les voir. Même si la tenue doit rajeunir cette jeune femme, je lui donne mon âge environ. Elle aussi a une sucette dans la bouche. Elle se laisse faire pendant que la femme en blouse blanche déboutonne sa grenouillère au niveau des fesses et enlève les jambes de celle-ci découvrant une grosse couche blanche. Un système de micro et haut-parleurs doit nous relier à cette pièce car j’entends maintenant distinctement la femme en blouse blanche parler à son « bébé ». Le terme bébé est approprié car la femme en blouse parle à la jeune femme comme à un bébé, commentant ses gestes et félicitant son « bébé » pour le beau pipi fait dans sa couche. Le rideau se ferme sur la fin du lange de la jeune femme.
A suivre…

vendredi 5 août 2011

Histoires

Deux histoires sont maintenant achevées :

1. Retraite particulière

2. Etudiante en couches

Prochaine histoire : "Trahison intime"
Bonne lecture,

Etienne

Etudiante en couches suite et fin

L'histoire est maintenant achevée et disponible par un code Allopass.

Pour y acceder cliquer sur le lien ci-contre : "Etudiante en couches"
Bonne lecture,

Etienne

mercredi 3 août 2011

Etudiante en couches (Suite)


Le protocole de test est beaucoup plus sophistiqué que cela. Béatrice, en charge de cette gamme m’indique qu’elle va prendre mes mensurations et qu’elle va déterminer la taille de couche que je vais porter. Elle se munie d’un mettre ruban et me demande de me mettre debout afin de prendre les mesures que Sylvie va rentrer dans son ordinateur. Elle me demande d’ôter mon pantalon pour que les mesures soient justes. Je m’exécute et me retrouve en culotte pendant que Béatrice mesure mon tour de taille, mon tour de hanches, de cuisses etc… Ceci fait, Béatrice m’indique qu’elle a amené différentes tailles des nouvelles couches qu’elle doit tester pour choisir celle qui sera le plus adaptée à ma morphologie. Elle me demande si on peut passer dans ma chambre pour les essayer. Je réponds par l’affirmative. Je précède Béatrice et Sylvie que je conduis vers ma chambre.

 Béatrice pose sa large valise au pied de mon lit et l’ouvre, découvrant une grande quantité de couches bien rangées. Je ne suis pas experte en couches, même si j’en ai souvent vues lors de mes stages en hôpitaux pendant mes deux premières années d’école. Béatrice prend une couche et me la montre. Il s’agit d’un modèle entièrement blanc sans marques, ni motifs. Ce modèle me parait relativement épais par rapport aux changes que je vois souvent alignés pliés sur les dessertes dans les hôpitaux. J’en fais la remarque à Béatrice qui m’indique que c’est voulu. Comme il s’agit de couches de nuit, la finesse et la discrétion ne sont pas des critères discriminant, au contraire m’explique-t-elle, on a fait des couches volontairement épaisses qui ont un côté rassurant pour les utilisatrices occasionnelles de ce type de produit. Elle utilise le terme couche alors que je pensais que l’on parlait plus de changes, ou de protections. Sylvie m’explique effectivement que ces appellations sont destinées à rendre plus acceptable socialement ces produits mais que dans le milieu des labos on parlait plus simplement de couches même si cela a une connotation plus infantile.

Par rapport à mes mensurations, Béatrice a fait une sélection de trois couches différentes et se propose maintenant de les essayer. Je les aurais bien mises seules mais les deux femmes ne semblent pas vouloir quitter ma chambre. Béatrice me demande de m’allonger sur le lit ce que je fais, toujours en petite culotte. Elle me demande de lever les fesses et glisse une première couche. Elle ajuste sa position avant de la rabattre sur mon ventre et d’en fixer les adhésifs. La couche est assez épaisse effectivement, la sensation est particulière même si j’ai gardé ma culotte en dessous. Les deux femmes observent la couche, me demande de me relever et de faire quelques pas dans le couloir pour vérifier l’ajustement de la couche. Béatrice me demande de me rallonger sur le lit, enlève cette première couche puis en teste deux autres de tailles et de formes légèrement différentes. C’est la deuxième qui semble retenir leur adhésion et Sylvie note la référence du modèle dans son ordinateur resté sur la table du salon. Les tests effectués, je renfile mon pantalon et nous regagnons le salon. Béatrice me demande quand je suis prête à commencer le test. Je lui réponds que je suis disponible immédiatement. Parfait me fait-elle, voilà comment le protocole va se dérouler.

A partir de ce soir donc et pour un mois consécutif, je vais porter une couche chaque nuit. Pour la validité du test, une infirmière du laboratoire passera chaque soir me mettre ma couche et chaque matin me l’enlever et la récupérer pour analyse. Je suis particulièrement surprise par cette information imaginant être tout à fait capable de mettre cette couche moi-même. Béatrice enchaîne en m’indiquant que le test s’effectuant sur 12 heures, je serai mise en couche à 19H00 précise chaque soir et la couche enlevée le lendemain matin à 7H00. Je commence seulement à réaliser ce que ce test implique, j’ai une multitude de questions qui me viennent du coup à l’esprit comme le fait de savoir si je vais devoir  « utiliser » ces couches et « comment ». Béatrice m’indique que l’infirmière me donnera chaque soir un sédatif léger qui m’empêchera d’être réveillée la nuit en cas d’envie pressante et permettra du coup de simuler parfaitement une incontinence nocturne. Charmante perspective, je vais donc mouiller ma couche sans même m’en rendre compte.

Mon enthousiasme du début est un peu relativisé par ses propos mais je me raccroche à ce que ce test va me rapporter pour positiver la situation. Béatrice et Sylvie me demandent maintenant si j’ai d’autres questions, elles me laissent leurs cartes de visite respective en me disant qu’elles sont à ma disposition pour toutes questions complémentaires. Béatrice conclu en me disant que l’infirmière sera là ce soir un peu avant 19H00.
Je passe le reste de l’après-midi à travailler mes cours à la maison. Je prends un thé à 17H00 et ne vois pas le temps passé lorsque l’on sonne à ma porte à 18H30. C’est un peu tôt pour être l’infirmière des laboratoires Hartmann. Lorsque j’ouvre la porte, je découvre sur le palier Emilie, une fille de ma promo avec laquelle je travaille de temps en temps mes travaux dirigés. Je suis un peu surprise de la voir, nous n’avions pas rendez-vous. Elle me demande si elle ne me dérange pas, je réponds que non machinalement en la faisant entrée. Je réalise quand même la proximité avec mon rendez-vous de 19H00 et je préviens Emilie que je n’ai pas beaucoup de temps à lui consacrer car j’ai rendez-vous à 19H00. Emilie me sourit et m’explique que c’est avec elle  que j’ai rendez-vous. Je ne comprends pas immédiatement le sens de sa phrase mais elle poursuit en m’indiquant qu’elle travaille pour les laboratoires Hartmann pendant ses études car elle a été pré-embauchée en attendant son diplôme en fin d’année. C’est une pratique courante devant la pénurie d’infirmière, j’ai moi-même été sollicitée par des hôpitaux et des cliniques mais sans donner suites pour l’instant.

Elle m’explique qu’elle est venue volontairement en avance pour ce premier jour de test. Le doute n’est plus permis, c’est Emilie qui est missionnée par le laboratoire pour me mettre mes couches. Je dois tirer une tête de 3 mètres de long car Emilie, assise dans le canapé à côté de moi, me pose sa main sur l’avant-bras et me dis que cela se passera très bien et qu’elle est tenue par une stricte confidentialité professionnelle. J’ai du mal à réaliser d’être mise en couche par une collègue de promo.

Pour dédramatiser la situation Emilie m’explique qu’elle travaille depuis l’année dernière pour le laboratoire dans la division produit d’incontinence et qu’elle n’en est pas à son premier test y compris avec, comme moi, des élèves infirmières. Comme je n’en ai  jamais entendu parler à l’école, cela me rassure effectivement sur la confidentialité de ces tests sans pour autant enlever ma gêne. Emilie regarde sa montre et m’indique qu’il est temps de commencer. Elle me demande d’aller me mettre en pyjama ou en chemise de nuit pour qu’elle puisse mettre ma couche à 19H00 précise. Elle me demande ensuite où est la salle de bain pour aller se laver les mains. A contrecœur je gagne ma chambre pour aller me déshabiller et me mettre en pyjama. Quelques minutes plus tard Emilie toque à ma porte pour savoir si je suis prête. Je réponds par l’affirmative et elle entre dans ma chambre avec son sac qu’elle pose sur la chaise à côté du lit. Elle l’ouvre et en sort une boîte de gants jetables, une couche comme celle essayée ce matin, un pot de talc. Elle enfile des gants de latex et me demande de m’allonger sur le lit. Une fois allongée, elle retire le bas de mon pyjama, puis dépliant la couche, elle la glisse sous mes fesses. Elle prend ensuite le pot de talc et en saupoudre sur mon pubis avant de refermer la couche et fixer les adhésifs. La manœuvre a été rapide, les gestes d’Emilie étant précis, fruit d’une habitude certaine. On sent bien que ce sont des gestes maîtrisés. C’est lorsqu’elle renfile mon pantalon de pyjama que je réalise que la couche est épaisse car il passe juste. Je me relève du lit maladroitement pas habituée à porter une couche pendant qu’Emilie enlève ses gants et range ses affaires dans son sac.

 Elle regagne le salon et je la suis dans le bruit léger mais perceptible du plastique froissé de ma couche. Je m’assoie dans le fauteuil en face du canapé où s’est assise Emilie qui me demande mes impressions. Je lui réponds que c’est assez déconcertant comme sensation et assez gênant en ce qui concerne la mobilité. Emilie acquiesce en me rappelant que c'est une couche nuit que l’on ne porte pas par définition en journée. Elle me tend maintenant une gélule. Il s’agit du sédatif évoqué par Béatrice tout à l’heure. Emilie me demande de l’avaler tout de suite en me précisant que l’effet est différé et que la sensation de fatigue n’interviendra que vers 10H00, me permettant d’avoir du temps pour moi en soirée. Ceci fait, Emilie remplit une fiche de suivi dans un carnet qu’elle a sorti de son sac puis range celui-ci.

Elle se lève en me disant que son travail est achevé pour ce soir et qu’elle reviendra demain matin à 7H00 pour me retirer la couche. Je suis quelque part soulagée de la voir partir, peu à l’aise d’être en sa présence avec cette couche sur mes fesses dont la forme est bien visible sous mon pantalon de pyjama. Lorsque je referme la porte je prends conscience qu’un mois ainsi cela risque d’être long. Un coup de fil me tire de mes pensées. Il s’agit de Laure, une amie de promo, elle aussi, qui m’appelle en me proposant d’aller au cinéma.  L’idée d’ordinaire m’aurait séduite mais pas dans les circonstances présentes. Je décline donc la proposition en me disant que je n’avais pas forcément prise en compte cet aspect d’être ainsi bloquée à la maison à partir de 19H00 le soir, me voyant mal sortir avec une couche à l’extérieur. Je dîne rapidement avant de regarder la télé. A la moitié du film, je commence à avoir sérieusement sommeil et je réalise que le somnifère doit faire son effet. Je coupe la télé et décide de me coucher alors qu’une envie de pipi se fait présente. Je décide de me retenir, préférant faire pendant la nuit sans m’en rendre compte.  Je règle mon réveil pour 6H45, histoire d’être réveillée quand Emilie sonnera à ma porte. Ce faisant je me couche et j’éteins la lumière.

Lorsque le réveil sonne le lendemain matin, j’ai un peu de mal à émerger. En tendant le bras pour éteindre le réveil placé sur ma table de chevet, je me rappelle porter une couche que je ressens bien entre mes jambes. Une légère humidité au contact de ma peau ne laisse pas de doute sur le fait que j’ai fait pipi dans ma couche durant mon sommeil. La sensation est étrange, la couche est moins serrée que la veille « victime » des mouvements de la nuit et plus lourde du fait du pipi absorbé assurément. Je prends quelques minutes pour émerger réellement quand déjà on sonne à ma porte. Je vais ouvrir à Emilie, bien réveillée elle, qui me suis pour un retour dans ma chambre. Elle me demande de m’allonger sur le lit et déjà, m’enlève le bas de pyjama découvrant ma couche. Elle prend dans son sac un appareil photo et prends ma couche en photo avant de reposer l’appareil. Elle me demande ensuite comment c’est passé cette première nuit. Je lui réponds que je me suis endormie comme une masse mais en ayant déjà envie de faire pipi et que je venais juste de me réveiller avec la couche mouillée. Emilie sort de son sac un paquet de lingette, des gants et une boite, type Tupperware, qu’elle m’explique destinée à recevoir ma couche pour que celle-ci soit ensuite analysée en laboratoire. Elle enfile les gants puis détache ma couche et me l’enlève pour la mettre dans la boîte. Ceci fait elle prend une lingette et me nettoie l’entrejambe avant de me remettre mon bas de pyjama. J’apprécie sa rapidité et sa sobriété pour ne pas prolonger le moment de honte d’être ainsi nu devant une fille de ma promo. Son travail effectué, Emilie range ses affaires et je la raccompagne jusqu’à la porte. Elle me dit à tout à l’heure car nous devons nous croiser en cours aujourd’hui avant qu’elle ne revienne à la maison ce soir.


mardi 2 août 2011

Etudiante en couches (Première partie)

Je m’appelle Isabelle, j’ai 21 ans et je suis étudiante en école d’infirmière à Lyon.  Cherchant un petit boulot pour financer mes loisirs et ne voulant pas compromettre mes études par un job trop dévoreur de temps, je me renseigne auprès du secrétariat de mon école sur les possibilités qui me sont offertes. La secrétaire, à laquelle je m’adresse m’indique qu’un certains nombres de laboratoires font des offres de services, notamment pour des tests de nouveaux produits, ou de nouveaux médicaments.  Cela semble correspondre à mes attentes et je lui demande de m’inscrire sur la liste qu’elle tient à jour des étudiantes infirmières intéressées par ces jobs.
Deux semaines s’écoulent lorsque je reçois un appel téléphonique sur mon portable.  Il s’agit d’une responsable des laboratoires Hartmann qui m’indique avoir eu mes coordonnées par l’école. Elle me demande si  je suis toujours intéressée par des tests produits, je réponds par l’affirmative. J’ai dans l’idée de lui demander quels produits je vais être amenée à tester mais déjà elle enchaîne en me proposant un rendez-vous. Etonnamment, elle me propose de se retrouver à mon appartement, alors que j’imaginais devoir me rendre dans leurs locaux mais finalement, ne disposant pas de voiture, cela m’arrange. Rendez-vous est pris pour le Mercredi après-midi suivant, n’ayant pas cours à ce moment-là.
A 14H00 précise, on sonne à ma porte. J’ouvre à deux jeunes femmes qui se présentent comme représentes du laboratoire Hartmann et venant de la part de Madame Sudre que j’ai eu au téléphone. La première porte une sacoche en bandoulière, la seconde tire une valise assez volumineuse. Je les fais entrer dans ma pièce à vivre,  salon avec cuisine à l’américaine. Comme il s’agit d’un vrai deux pièces, je dispose également d’une chambre séparée ce qui est un luxe pour une étudiante de nos jours, merci mes parents ! Je leur indique le canapé où elles s’assoient pendant que je prendre place dans le fauteuil opposé. Les deux jeunes femmes se présentent par leurs prénoms de façon très décontractées. Il s’agit de Béatrice et Sylvie. Cette dernière sort un ordinateur portable de sa sacoche et l’ouvre en le posant sur la table basse.  Sylvie me propose le tutoiement, m’indiquant que Béatrice et elle sont infirmières comme moi. J’accepte et elle enchaîne en me demandant si Madame Sudre m’a indiqué quel produit dans leur gamme je suis sensée testé. A ma réponse négative, les deux femmes se regardent et sourient. Sylvie me dit que c’est assez classique lorsqu’il s’agit des produits de la gamme incontinence, le siège du laboratoire restant volontiers évasif. En fait il s’agit de tester des couches adultes me précise-t-elle. Je suis un peu décontenancée par cette annonce. Sylvie me précise qu’il s’agit de tests de nuit à mon domicile, avec très peu de contraintes horaires et largement rémunérés. Je n’imaginais pas tester de tels produits mais réfléchissant rapidement j’analyse que je vais avoir sans doute le ratio souhaité à savoir un job rémunérateur mais peu dévoreur de temps. J’accepte donc le principe en m’interrogeant cependant sur le choix d’une élève infirmière pour tester des produits plus largement utilisés par les seniors. Béatrice intervient alors pour m’expliquer qu’il s’agit d’une nouvelle gamme dédiée aux femmes actives dans des moments particuliers comme le retour de couches notamment. Sylvie poursuit en m’indiquant que ces tests dureront un mois dans un premier temps, susceptibles d’être prolongés par la suite. La rémunération est effectivement attractive et enlève mes derniers doutes. Sylvie, sur la base des informations confiées par l’école a rédigé un contrat qu’elle me fait signer en double exemplaires. Puis elle sort de sa sacoche un deuxième document comprenant le protocole du test. Naïvement j’imaginais qu’elles allaient me laisser des échantillons que je devrais porter la nuit avant de répondre à un questionnaire sur le produit, en fait pas du tout. 

lundi 25 juillet 2011

Première histoire

Retraite particulière est désormais disponible.

Pour cela cliquer ci-dessous à droite dans l'historique du blog : "Retraite particulière suite et fin".

D'autres histoires à suivre....

Retraite particulière suite et fin

L'histoire est maintenant disponible avec un code Allopass.

Pour retrouver l'histoire "Retraite particulière" cliquer sur le lien ci-contre.
Bonne lecture,
Etienne

vendredi 22 juillet 2011

Retraite particulière (suite 2)

La porte de ma cellule s'ouvre de nouveau et sœurs Marie et Aline entrent dans ma chambre. Sœur Alice apporte un réveil afin, me dit-elle, que je puisse savoir l'heure, ayant été privée de mon portable qui me donne l'heure habituellement. Il est 19h00. Sœur Marie ne me donne pas le détail des horaires du couvent mais m'indique qu'il est l'heure d'aller dîner. Avant que nous ne quittions la pièce, elle poursuit en me disant que je dois exclure toute idée de m'échapper du couvent car il n'existe qu'elle porte d'entrée et donc de sortie et que celle-ci est fermée à clef et sous bonne garde. Autre précision, je vais prendre mes repas dans une salle à manger particulière et donc je ne mangerai pas en compagnie des autres sœurs, ceci pour "échapper" aux prières et aux lectures rituelles qui allonge la durée du service, je suis ici pour optimiser mon temps de révision me rappelle-t-elle. Par contre, je mangerai en compagnie de Lucie ce qui est un soulagement pour moi, vite douché par la précision que le repas doit être pris en silence et qu'il nous sera interdit de communiquer. Sœur Marie précise que si l'une ou l'autre de nous deux ne respecte pas cette règle absolue, nous devrions ensuite prendre nos repas dans notre cellule. Elle poursuit en me disant qu'à partir de demain, j'aurai une interrogation écrite sur mes révisions du jour à 18h30 précise préparée par madame Poux. Ceci fait je pars vers le dîner en suivant sœur Marie, sœur Aline fermant la marche. Je tente de me concentrer durant le trajet pour mémoriser par où nous passons et me disant que cela me permettra peut-être à terme de m'orienter dans ce vaste couvent. J'ai un peu de mal à marcher normalement, gênée par l'épaisseur de la couche que je porte. Nous arrivons dans une large salle à manger ou deux couverts ont été préparés. J'arrive la première mais quelques instants après notre entrée, sœurs Anne et Aude arrivent en compagnie de mon amie Lucie. A sa démarche hésitante, je comprends sans mal qu'elle porte le même type de couche que moi avec sûrement la même ceinture de chasteté. Nous échangeons un long regard mais n'échangeons pas un mot comme cela nous a été ordonné. Nous sommes maintenant assises face à face et commençant notre repas dans un silence uniquement troublé par les bruits de vaisselle. Impossible de se parler car nous sommes en permanence surveillées par au moins deux sœurs, pendant que les deux autres apportent les plats et débarrassent les assiettes vides. Le repas est très bon comme celui qui nous a été servis ce midi mais la frustration en grande de ne pas pouvoir échanger avec Lucie. A son regard, je comprends bien qu'elle partage aussi cette envie mais qu'elle ne veut pas transgresser la règle de silence qui nous est imposée au risque de ne plus pourvoir quitter sa cellule. Au milieu du repas, j'ai une autre préoccupation. Ma vessie me rappelle ce que j'avais déjà ressenti depuis quelques temps, à savoir l'envie pressante de faire pipi. J'ai réussi à me contenir jusqu'à présent mais je commence à douter de pouvoir tenir jusqu'au pot qui devrait m'être proposé avant de me coucher si j'ai bien compris. C'est assurément le thé du goûter qui fait son effet.

Le repas n'est pas achevé que je dois me résoudre à faire pipi dans ma couche. J'enrage de cette situation mais l'envie était trop forte. Je perçois le changement au niveau de la couche que je ressens un peu humide au niveau de mon sexe mais l'épaisse couche semble avoir absorbé sans difficulté mon large pipi très longtemps retenu. Le repas terminé j'échange un dernier regard que je veux encourageant à l'adresse de Lucie qui déjà repart vers sa cellule avec Sœur Anne et sœur Aude, pendant que sœur Marie me fait signe de son côté de la suivre pour regagner ma propre cellule, sœur Aline toujours sur mes talons. Lorsque nous entrons dans ma cellule, sœur Alice derrière moi me prend par les épaules et me pousse doucement mais fermement vers mon lit. Elle m'y allonge sur le dos et déjà, prenant les chaînes restées accrochées aux anneaux, me les verrouille sur les poignets pour m'immobiliser sur mon lit. Les gestes sont précis fruit d'une pratique régulière certainement ce qui me trouble encore un peu plus. Elle rabat maintenant ma robe pour découvrir ma ceinture et ma couche. Elle n'a pas besoin de commenter manifestement car sœur Marie et elle ont bien remarqué cette fois-ci que ma couche est mouillée. Je ne peux, pour ma part, rien voir dans ma position et par rapport à ma robe retroussée au niveau de mes seins. Sœur Aline attrape la clef de ma ceinture de chasteté, accroché à une chaine qu'elle porte à son cou. Elle déverrouille le cadenas puis écarte les branches de métal avant de retirer complément la ceinture. Elle la pose sur la table, à côté de mon lit. Elle détache maintenant les adhésifs de ma couche et l'ouvre mais sans la retirer, découvrant ainsi mon pubis au regard des deux sœurs. Sœur Marie glisse quelques mots à l'oreille de sœur Aline qui quitte maintenant la cellule. Sœur Marie vient s'assoir sur le lit à côté de moi. Elle me demande si je veux passer sur le pot avant d'être changée pour la nuit. Venant juste de faire pipi dans ma couche je réponds par la négative et enchaîne en demandant ce qui me vaut ce traitement n'étant pas membre de ce couvent. Sœur Marie me rappelle que j'ai signé le règlement intérieur et qu'elle ne fait que le respecter. Elle poursuit en me disant que je suis ici dans la perspective de mes examens de fin d'année et que tout sera fait pour que je puisse réviser dans les meilleures conditions, à savoir calme, nourriture de qualité, sommeil réparateur et pas de distractions parasites. Je lui indique que tout cela serait également possible sans forcément porter ni couches ni ceinture de chasteté. Sœur Marie s'amuse de ma remarque et sans répondre directement me demande si je connais l'origine de la ceinture de chasteté. Sans être spécialiste de la question, j'ai lu des romans ou des récits historiques qui décrivent cet objet destiné à s'assurer de la fidélité des épouses des seigneurs partant à la guerre pour de longues campagnes. Ma définition de l'origine de la ceinture de chasteté ne semble pas convaincre sœur Marie mais elle n'en dit pas plus pour l'instant, tandis que sœur Aline refait son entrée dans la chambre. Elle pousse devant elle une desserte sur laquelle j'aperçois de ma position une bassine. Sœur Marie, toujours assise sur le lit à côté de moi, pose sa main droite sur mon pubis tout en me fixant du regard et m'informe que pour mon confort, sœur Aline allait devoir me raser ma toison intime. Je proteste et replis instinctivement mes jambes en les serrant pour tenter de protéger mon intimité. Sœur Marie en profite tout en se levant du lit pour retirer la couche restée sous mes fesses. Elle me présente l'intérieur de la couche sur lequel ressort la large tache jaune faite par mon pipi. Elle m'explique posément que mes poils vont gênés l'application de la crème et du talc qui me protègerons des irritations. Sans cela la couche n'assurerait pas son rôle de protection par rapport à la ceinture de chasteté poursuit-elle. Déjà, sœur Aline a pris sur la desserte une cordelette. Avec l'aide de sœur Marie, elle l'attache à ma cheville gauche puis au pied du lit. Elles font de même avec ma deuxième cheville pour que mes deux jambes soient largement écartées et immobilisées. Sœur Aline positionnée au pied du lit approche la desserte. Elle prend un gant, le trempe dans la bassine d'eau et le passe sur mon pubis pour le nettoyer et l'humidifié. Elle se saisit maintenant d'une bombe de gel à raser. Elle pose une noisette de gel sur ces doigts et entreprend de l'appliqué sur ma toison en massant pour en faire de la mousse. La sensation est froide et peu agréable. Ceci fait, elle prend un rasoir et commence à le passer sur mon pubis. Je retiens mon souffle et me fige de peur qu'elle ne me coupe si je venais à bouger. A chaque passage, elle rince le rasoir dans la bassine et sans le voir, je sens que mes poils sont rasés lentement mais sûrement. Son travail terminé, elle prend une lingette et me la passe pour essayer les dernières traces de mousse je pense. Elle se dirige maintenant vers l'armoire et prend une nouvelle couche-culotte ainsi que deux couches droites. Elle me fait lever les fesses d'une petite tape et me glisse le change-complet garni des deux couches droites. Sœur Marie m'explique que c'est nécessaire la nuit d'augmenter la capacité d'absorbtion pour éviter toute fuite. Pendant ces explications, sœur Aline me talc largement l'entrejambe, rabat la couche et fixe les adhésifs de façon très ajustés. Etonnamment, la ceinture de chasteté ne m'est pas remise ce qui est plutôt une bonne nouvelle. Les jambes toujours attachées, les deux sœurs me détachent les bras et me font asseoir dans le lit. Elles me retirent ma robe de sœur et m'enfilent une chemise de nuit. Immédiatement après, mes poignets sont à nouveau attachés par les chaînes aux anneaux et pour finir, les cordelettes sont dénouées, libérant mes jambes. Je comprends maintenant pourquoi je ne porterai pas de ceinture cette nuit, tout simplement parce que je resterai attachée à mon lit par les bras. La chemise de nuit est très courte et ne couvre que mon ventre mais pas la grosse couche que j'aperçois en relevant la tête. Sœur Alice se rassoit sur le lit à mes côtés et posant sa main sur ma couche, me souhaite une bonne nuit en me rappelant ironiquement que grâce à ma couche je n’aurai même pas à me lever en cas d’envie pressante durant la nuit. Elle quitte ensuite ma chambre en compagnie de sœur Aline qui pousse la desserte vers la sortie. La porte fermée j’entends encore le bruit de la clef actionnant le verrou.

jeudi 21 juillet 2011

Retraite particulière (suite)

Sa mission sans doute accomplie, la deuxième sœur sort de la pièce me laissant en tête à tête avec sœur Marie. Celle-ci m'observe en silence s'amusant manifestement de la mine dépitée que je dois lui renvoyer. Elle teste une dernière fois le bon ajustement de la ceinture de chasteté avant de rabattre ma robe restée largement retroussée sur ma poitrine. La ceinture est particulièrement serrée et plaque littéralement la couche sur mes fesses. Je profite aussi de la situation pour détailler cette jeune sœur. Elle ne me semble pas être âgée de plus de 30 ans, grande fille brune aux yeux bleus. Je suis d'ailleurs étonnée de constater qu’à l'exception de la mère supérieure, les sœurs que j'ai pour l'instant croisées sont plutôt jeunes, toute dans la trentaine environ. Je suis tirée de mes réflexions par sœur Marie qui m'expose le programme. Prenant le pot de chambre, elle m'indique que je serai autorisée à l'utiliser deux fois par jour, matin et soir. Elle ajoute très sérieusement que pour le reste ma couche est là pour cela. C'est une chose à laquelle je n'avais pas pensé ou voulu pensé, mais sœur Marie par ses propos m'indique clairement qu'à défaut de pouvoir me retenir pendant 12 heures environs, je vais devoir faire dans ma couche. J'ai à peine le temps d'imaginer cette situation aussi inattendue qu'inconfortable que sœur Marie enchaîne. Je serai changée le matin au lever, avant le déjeuner, après la sieste et le soir avant de me coucher. Madame Poux à ma grande surprise à adresser notre programme de révisions au couvent et sœur Marie m'indique que je serai interrogée chaque soir sur le programme de révision du jour. Elle me conseille de travailler sérieusement car sinon je serai punie. C'est décidément de mieux en mieux, je n'avais pourtant pas du tout imaginé mon séjour comme cela et si j'en avais eu connaissance, je n'aurai jamais accepté de venir. Je maudis madame Poux de nous avoir conseillé ce lieu. Dans mes pensées, j'ai complètement oublié mon amie Lucie et naïvement je demande de ces nouvelles à sœur Marie. Celle-ci m'indique que sœur Anne assistée de sœur Aude ont déjà dû lui mettre, comme à moi, sa couche et sa ceinture de chasteté. Elle me laisse ainsi pour le temps de la sieste me promettant de revenir m'apporter mon goûter. Lorsqu'elle quitte la pièce et referme la porte j'entends très distinctement le bruit d'une clef dans la serrure. En plus d'être attachée aux anneaux de la tête de lit, me voilà en plus enfermée dans ma cellule. Je suis dans une drôle de situation. Je teste à nouveau les chaînes de mes poignets mais je réalise d'après les propos de sœur Marie que je ne suis sûrement pas la première novice à être attachée ainsi et que les anneaux et les chaînes sont solides. Je bouge maintenant les jambes et je mesure maintenant l'épaisseur de la couche qui m'a été mise. Entre la couche et la ceinture qui passe entre mes jambes, impossible de joindre mes cuisses. Outre le côté peu confortable c'est surtout le sentiment d'être enfermée et privée de mon intimité qui me pèse dans cette situation. Je n'ai pas trop la notion du temps ne portant pas de montre mais j'estime qu'il doit être 14H00 environ. Les idées se bousculent dans ma tête, impossible de me reposer malgré une certaine fatigue due au levé matinal et au voyage. Je me demande surtout quel peut bien être la motivation de notre prof de droit de nous avoir envoyé dans un tel endroit. Impossible de croire qu'elle ne connaît pas ces pratiques du moyen âge que Lucie et moi subissons et cela ne semble être qu'un début. Au bout d'une éternité me semble-t-il les deux sœurs font leur retour dans la chambre. Celle que j'appelle la deuxième sœur et dont je ne connais ni le nom ni le son de sa voix, porte un plateau avec un bol et des biscuits. Elle le pose sur la table puis sans un mot s'approche du lit et retrousse ma robe sur ma poitrine. Elle se penche sur mon entrejambe et inspecte ma couche. J'entends pour la première fois sa voix lorsqu'elle annonce à sœur Marie que je n'ai pas mouillée ma couche et donc que ne n'ai pas besoin d'être changée. Celle-ci m'indique que je vais donc être détachée et que je dois me mettre au travail après avoir goûté, selon le plan de révision posée sur ma table de travail. Sœur Aline va maintenant te libérer. Je sais enfin comment se nomme la sœur qui me libère de mes chaînes. Je me frotte les poignets puis me redresse. Debout, je sens encore plus la double pression exercée par la couche et la ceinture sur mes fesses et mon entrejambe. Alors que les sœurs se retirent, j'entends à nouveau le verrou de la porte m'indiquant que je suis enfermée. Par acquis de conscience j'essaie cependant d'actionner la poignée de la porte mais en vain. Je retourne à la table pour découvrir le goûter. Il s'agit d'un bol de thé et de biscuits. Ayant un petit creux, j'attaque le goûter. Ceci fait, et maintenant que je ne suis plus immobilisée sur le lit, j'inspecte l'ensemble de la chambre dont je n'ai un peu vu que le plafond lors des dernières heures. La seule fenêtre est placée haut et est relativement étroite. Elle est décorée de vitraux. En l'ouvrant je découvre derrière des barreaux de fer interdisant toute fuite par cette voie. De plus, la fenêtre donne sur le piton rocheux et il doit bien y avoir une dizaine de mètres de hauteur par rapport au sol. Le coffre contenant mes affaires est fermé à clef et donc inaccessible par contre l'armoire, elle, n'est pas fermée à clef. Ouvrant la porte droite, je découvre sur les différents rayonnages des chaînes et des fers. Ouvrant la porte droite, je constate que toute cette partie de l'armoire est garnie de nombreux paquets de couches, de lingettes, d'alaises. Il y a des couches de tailles et de formes différentes, des changes-complets, des couches droites. Je n'arrive toujours pas  réaliser ce qui m'attends sur ces trois prochaines semaines mais en tout cas, les sœurs ne risquent pas de manquer de couches à me mettre. Je referme l'armoire un peu plus dépitée et mon regard tombe sur le pot de chambre au pied du lit. J'imagine bien qu'il me va falloir l'utiliser en présence des sœurs mais je pense que c'est de toute façon moins pire que de devoir faire dans ma couche. Finalement n'ayant rien d'autre à faire je me plonge dans mes révisions, le but de mon séjour ici même si cela me parait loin en raison des évènements inattendus depuis mon arrivée.(en cours)

mercredi 20 juillet 2011

Retraite particulière (première partie)

Je m'appelle Alice, j'ai 20 ans et je suis étudiante en droit. Avec Lucie, une amie de droit, nous avons décidé sur les conseils de madame Poux, notre professeur de droit du travail, de réviser nos partiels de fin d'année dans un couvent qu'elle nous a recommandée dans le Sud de la France. Lucie et moi sommes bonnes élèves mais nous visons une mention pour se donner toutes les chances d'avoir un bon dossier pour pouvoir intégrer la maîtrise de droit privé que nous visons. Madame Poux nous a prévenues que l'abbaye reculée et le style de vie austère seraient parfaits pour se concentrer sur notre travail. Pas de distractions pour ces 3 semaines de Juin qui précèdent les partiels.
Partant en train de Paris à l'aube, nous arrivons en fin de matinée dans une petite gare perdue des Alpes Maritimes. Une sœur nous attend sur le quai de la gare comme indiquée par courrier par la mère supérieure du couvent. Malgré la chaleur bien présente déjà en ce printemps, la sœur Marie porte une large aube qui nous semble bien chaude pour la saison. Elle nous explique que le couvent est situé dans la montagne à 10 kms de là et qu'avec l'altitude il fait quelques degrés de moins que dans la plaine. Comme dans les films, nous montons à bord d'une antique 2CV dont sœur Marie prend le volant. Il nous faut une bonne demi-heure de routes en lacets bien pentues pour atteindre enfin le couvent perché sur un piton rocheux. L'endroit est effectivement isolé et semble propice au recueillement ou au travail ce qui est notre programme.

Nous pénétrons à l'intérieur du couvent qui ressemble plus à une place forte qu'à un couvent traditionnel. Sœur Marie nous éclaire sur ce sujet en nous précisant que sa congrégation avait repris cet ancien château fort au début du siècle dernier. Nous déposons nos affaires dans une pièce à l'entrée et nous suivons sœur Marie dans un dédale de couloirs et d'escaliers, le bâtiment est immense. Nous arrivons devant une porte. Sœur Marie toque et à l'invitation d'une voix féminine nous entrons dans le bureau de la mère supérieure. La mère supérieure est elle aussi en habit traditionnel, et comme tout le décor de la pièce, donne l'impression que l'on se trouve quelques siècles plus tôt. Aucun objet actuel dans cette pièce, meublée comme au moyen âge, pas de téléphone, encore moins d'ordinateur. Elle nous demande de nous asseoir et nous indique que nous allons devoir respecter le règlement de la congrégation durant notre séjour. Cela nous semble une évidence à Lucie et moi donc nous approuvons sans restrictions. La mère supérieure sort donc deux documents, l'un pour Lucie, l'autre pour moi. Les deux documents sont magnifiques, écrits en pleins et en déliés sur des parchemins. En me penchant sur celui qui m'est destiné, à part mon nom et mon prénom qui figurent en haut, le reste est écrit en latin, langue que je ne maîtrise pas du tout. Les règles sont manifestement nombreuses car le document fait trois pages, mais impossible pour moi, comme pour Lucie de le comprendre. Nous ne nous voyons pas demander la traduction à la mère supérieure et décidons de le signer toutes les deux. Cette formalité faite la mère supérieure nous indique que nous allons être conduites au réfectoire pour prendre notre repas avant d'être conduites à nos cellules respectives. On est tout de suite plongées dans l'ambiance mais nous sommes curieuses de voir comment vivent ces sœurs à "l'ancienne".

Toujours sous la conduite de sœur Marie, nous nous dirigeons vers le réfectoire au rez de chaussé. Deux couverts nous attendent, avec de la vaisselle qui elle aussi semble venir tout droit du moyen-âge. Sœur Marie nous indique que nous serons les seules retraitantes au couvent et que les autres sœurs avaient déjà déjeuné. Deux autres sœurs font leur apparition et sans un mot nous servent un repas très savoureux. J'indique à Lucie que c'est plutôt une agréable surprise car les couvents ne sont pas toujours réputés pour leur gastronomie. Gourmande comme moi elle approuve. Le repas fini, sœur Marie nous indique que nous serons dans deux cellules séparées pour l'efficacité de nos révisions et que nous nous retrouverions pour les prières et les repas. Lucie part avec une des deux sœurs qui nous ont servis notre repas pendant que je suis sœur Marie. Je la suis de prêt pour ne pas me perdre dans cette immense forteresse faite de dédales, de petites portes et d'escaliers étroits. Nous arrivons enfin devant une porte de bois munie d'une petite grille. On dirait une porte de prison et le terme cellule prend ici tout son sens. Nous rentrons dans la pièce et contrairement à ce que j'aurai pensé, celle-ci est plutôt grande, la pièce dois bien faire une trentaine de mètres carrés. Une autre sœur nous y attend en silence ce qui semble aussi être une des règles du couvent. La pièce comprend un lit assez large sans être double, une grande armoire ancienne, un coffre, une table de travail et une chaise. Le mobilier est d'époque et spartiate.
Mon sac se trouve sur la table à côté de la sœur. Sur le lit est posé une tenue identique à celle que porte les sœurs, au pied du lit, une paire de sabot de bois eux aussi identiques à ceux portés par les sœurs du couvent. Sœur Marie malicieusement me demande si je parle bien le latin. Je lui avoue que non. Elle m'indique donc les principales règles du couvent que je vais devoir respecter. Elle m'énumère des règles classiques de silence et recueillement que j'imaginais, le fait que j'allais devoir porter également leur habit et que les objets non essentiels à mon séjour me serait retirés et rendus à mon départ. Joignant le geste à la parole, elle ouvre mon sac posé sur la table et commence à en détailler le contenu. L'autre sœur grâce à une clef a ouvert la serrure du coffre en bois et sœur Marie commence à triller mes affaires, mettant dans le coffre ce qu'elle juge inutile. A part mes cours, toutes mes affaires finissent dans le coffre. Je ne suis pas surprise de ne pas voir le droit à mon I pod ni à mon téléphone portable, n'étant pas sûr que de toutes façons je puisse capter dans ce coin reculé. Par contre tous mes vêtements me sont aussi confisqués, dessous compris ce qui m'inquiète un peu plus. Viens le tour de ma trousse de toilette. Je ne peux conserver que ma brosse à dent et mon dentifrice, tout le reste part dans le coffre. Le tri fait, sœur Marie m'indique de me déshabiller afin d'enfiler ma tenue. Je commence à trouver la situation peu confortable mais je m'exécute. J'ôte mon pull, mon chemisier et mon pantalon, mes chaussures et mes chaussettes. Je suis maintenant uniquement vêtue de ma culotte et mon soutien-gorge devant ses deux sœurs. Sœur Marie sourie de ma gêne et me demande si de tels dessous existaient au moyen-âge. Devant mon ignorance, elle me fait un geste négatif de la tête et me demande de les enlever. Je commence à ne plus sourire de ce folklore médiéval mais je m'exécute. Mes dessous rejoignent le reste de mes affaires dans le coffre que la deuxième sœur dont j'ignore le nom referme à clef. J'enfile avec un certain soulagement ma robe de sœur qui cache enfin ma nudité aux yeux de ses deux jeunes sœurs. Sœur Marie me demande de m'asseoir sur le lit et me fait un petit rappel historique. Elle m'explique que de tous temps les sœurs de sa congrégation ont accueillis de nombreuses novices, mon statut pour les trois semaines à venir. La plupart étaient issues de bonnes familles afin de pouvoir apporter une dotation financière, source de revenus pour l'ordre. Sœur Marie malicieusement poursuit en m'expliquant que toutes n'étaient pas forcément enchantées à l'idée de cette vie de solitude et de prière. Je ne comprends pas vraiment où elle veut en venir puisque pour ma part je suis "volontaire" pour cette retraite de travail.

 Pendant qu'elle me parle, la deuxième sœur a ouvert l'armoire et semble chercher quelque chose. Sœur Marie détourne mon attention en me montrant un anneau d'acier scellé dans le mur à la tête de mon lit. Elle m'interroge en me demandant à quoi sert cet anneau? Ne voyant pas l'usage de cet anneau je donne ma langue au chat et sœur Marie m'indique qu'il servait à attacher les novices à leur lit lorsque celle-ci étaient intégrées au couvent contre leur volonté. Au moment où elle me donne cette réponse, la deuxième sœur, dans mon dos, referme sur mon poignet gauche une sorte de menotte médiévale reliée à une chaîne qu'elle accroche prestement à un deuxième anneau placé de façon symétrique, en tête de lit, à celui que venait de me montrer sœur Marie. Je suis surprise par cette manœuvre mais déjà sœur Marie m'immobile l'autre poignet et sa consœur place une chaine identique qu'elle attache à l'autre anneau. Les deux chaînes sont courtes et tiennent mes bras écartées et je suis maintenant allongée sur le lit. Je proteste contre ce traitement et rappelle à sœur Marie que je suis ici de mon plein gré et qu'un tel traitement n'est vraiment pas nécessaire me concernant. Sœur Marie m'indique que j'aurai dû être plus assidue aux cours de latin car dans le règlement il est précisé plusieurs règles dont je n'ai pas forcément mesuré la portée. Interloquée par cette remarque j'observe que la deuxième sœur farfouille à nouveau dans l'armoire. Elle en ressort un objet que je n'ai aucun mal à identifier : une ceinture de chasteté. Elle sort également un pot de chambre qu'elle dépose au pied du lit. Sœur Marie m'indique que la ceinture est portée par les novices jusqu'à ce qu'elles prononcent leurs vœux définitifs, soit pendant une bonne dizaine d'année. Elle me rappelle les règles de l'ordre : travail, prière, silence et chasteté. La ceinture qu'elle me présente sous les yeux semble d'époque et je n'ose imaginer devoir porter un tel objet. Sœur Marie m'indique que le couvent a ces dernières années fait deux concessions à la modernité. Il dispose aujourd'hui de l'électricité et les novices portent désormais des couches sous leur ceinture de chasteté pour éviter les infections très fréquences lors du port permanent de cet accessoire. Dans un synchronisme parfait, la deuxième sœur sort de l'armoire une large couche-culotte. Cet objet est doublement incongru, de par sa nature en ce lieu d'abord et par sa modernité qui tranche avec l'environnement entièrement médiéval. Sœur Marie sans perdre de temps retrousse largement ma robe. Elle détaille longuement mon entrejambe en passant son doigt dans la toison de mon pubis. Elle glisse maintenant l'épaisse couche sous mes fesses et avec précision et dextérité rabat cette dernière avant de fixer les adhésifs. Déjà les deux sœurs s'activent afin de placer sur ma couche la ceinture de chasteté avant de la verrouiller par un cadenas au niveau de mon nombril. Les mains attachées, je ne peux rien faire pour les empêcher de me faire subir cette double humiliation de devoir porter une couche et une ceinture de chasteté.
A suivre...