Mon but, écrire des histoires sur les couches les plus qualitatives possibles.

Le principe du blog, la première partie de chaque histoire peut être lue gratuitement (voir dans les historiques), la seconde partie est payante (cliquer dans les liens histoires ci-contre).



Bonne lecture,



Etienne



mercredi 20 juillet 2011

Retraite particulière (première partie)

Je m'appelle Alice, j'ai 20 ans et je suis étudiante en droit. Avec Lucie, une amie de droit, nous avons décidé sur les conseils de madame Poux, notre professeur de droit du travail, de réviser nos partiels de fin d'année dans un couvent qu'elle nous a recommandée dans le Sud de la France. Lucie et moi sommes bonnes élèves mais nous visons une mention pour se donner toutes les chances d'avoir un bon dossier pour pouvoir intégrer la maîtrise de droit privé que nous visons. Madame Poux nous a prévenues que l'abbaye reculée et le style de vie austère seraient parfaits pour se concentrer sur notre travail. Pas de distractions pour ces 3 semaines de Juin qui précèdent les partiels.
Partant en train de Paris à l'aube, nous arrivons en fin de matinée dans une petite gare perdue des Alpes Maritimes. Une sœur nous attend sur le quai de la gare comme indiquée par courrier par la mère supérieure du couvent. Malgré la chaleur bien présente déjà en ce printemps, la sœur Marie porte une large aube qui nous semble bien chaude pour la saison. Elle nous explique que le couvent est situé dans la montagne à 10 kms de là et qu'avec l'altitude il fait quelques degrés de moins que dans la plaine. Comme dans les films, nous montons à bord d'une antique 2CV dont sœur Marie prend le volant. Il nous faut une bonne demi-heure de routes en lacets bien pentues pour atteindre enfin le couvent perché sur un piton rocheux. L'endroit est effectivement isolé et semble propice au recueillement ou au travail ce qui est notre programme.

Nous pénétrons à l'intérieur du couvent qui ressemble plus à une place forte qu'à un couvent traditionnel. Sœur Marie nous éclaire sur ce sujet en nous précisant que sa congrégation avait repris cet ancien château fort au début du siècle dernier. Nous déposons nos affaires dans une pièce à l'entrée et nous suivons sœur Marie dans un dédale de couloirs et d'escaliers, le bâtiment est immense. Nous arrivons devant une porte. Sœur Marie toque et à l'invitation d'une voix féminine nous entrons dans le bureau de la mère supérieure. La mère supérieure est elle aussi en habit traditionnel, et comme tout le décor de la pièce, donne l'impression que l'on se trouve quelques siècles plus tôt. Aucun objet actuel dans cette pièce, meublée comme au moyen âge, pas de téléphone, encore moins d'ordinateur. Elle nous demande de nous asseoir et nous indique que nous allons devoir respecter le règlement de la congrégation durant notre séjour. Cela nous semble une évidence à Lucie et moi donc nous approuvons sans restrictions. La mère supérieure sort donc deux documents, l'un pour Lucie, l'autre pour moi. Les deux documents sont magnifiques, écrits en pleins et en déliés sur des parchemins. En me penchant sur celui qui m'est destiné, à part mon nom et mon prénom qui figurent en haut, le reste est écrit en latin, langue que je ne maîtrise pas du tout. Les règles sont manifestement nombreuses car le document fait trois pages, mais impossible pour moi, comme pour Lucie de le comprendre. Nous ne nous voyons pas demander la traduction à la mère supérieure et décidons de le signer toutes les deux. Cette formalité faite la mère supérieure nous indique que nous allons être conduites au réfectoire pour prendre notre repas avant d'être conduites à nos cellules respectives. On est tout de suite plongées dans l'ambiance mais nous sommes curieuses de voir comment vivent ces sœurs à "l'ancienne".

Toujours sous la conduite de sœur Marie, nous nous dirigeons vers le réfectoire au rez de chaussé. Deux couverts nous attendent, avec de la vaisselle qui elle aussi semble venir tout droit du moyen-âge. Sœur Marie nous indique que nous serons les seules retraitantes au couvent et que les autres sœurs avaient déjà déjeuné. Deux autres sœurs font leur apparition et sans un mot nous servent un repas très savoureux. J'indique à Lucie que c'est plutôt une agréable surprise car les couvents ne sont pas toujours réputés pour leur gastronomie. Gourmande comme moi elle approuve. Le repas fini, sœur Marie nous indique que nous serons dans deux cellules séparées pour l'efficacité de nos révisions et que nous nous retrouverions pour les prières et les repas. Lucie part avec une des deux sœurs qui nous ont servis notre repas pendant que je suis sœur Marie. Je la suis de prêt pour ne pas me perdre dans cette immense forteresse faite de dédales, de petites portes et d'escaliers étroits. Nous arrivons enfin devant une porte de bois munie d'une petite grille. On dirait une porte de prison et le terme cellule prend ici tout son sens. Nous rentrons dans la pièce et contrairement à ce que j'aurai pensé, celle-ci est plutôt grande, la pièce dois bien faire une trentaine de mètres carrés. Une autre sœur nous y attend en silence ce qui semble aussi être une des règles du couvent. La pièce comprend un lit assez large sans être double, une grande armoire ancienne, un coffre, une table de travail et une chaise. Le mobilier est d'époque et spartiate.
Mon sac se trouve sur la table à côté de la sœur. Sur le lit est posé une tenue identique à celle que porte les sœurs, au pied du lit, une paire de sabot de bois eux aussi identiques à ceux portés par les sœurs du couvent. Sœur Marie malicieusement me demande si je parle bien le latin. Je lui avoue que non. Elle m'indique donc les principales règles du couvent que je vais devoir respecter. Elle m'énumère des règles classiques de silence et recueillement que j'imaginais, le fait que j'allais devoir porter également leur habit et que les objets non essentiels à mon séjour me serait retirés et rendus à mon départ. Joignant le geste à la parole, elle ouvre mon sac posé sur la table et commence à en détailler le contenu. L'autre sœur grâce à une clef a ouvert la serrure du coffre en bois et sœur Marie commence à triller mes affaires, mettant dans le coffre ce qu'elle juge inutile. A part mes cours, toutes mes affaires finissent dans le coffre. Je ne suis pas surprise de ne pas voir le droit à mon I pod ni à mon téléphone portable, n'étant pas sûr que de toutes façons je puisse capter dans ce coin reculé. Par contre tous mes vêtements me sont aussi confisqués, dessous compris ce qui m'inquiète un peu plus. Viens le tour de ma trousse de toilette. Je ne peux conserver que ma brosse à dent et mon dentifrice, tout le reste part dans le coffre. Le tri fait, sœur Marie m'indique de me déshabiller afin d'enfiler ma tenue. Je commence à trouver la situation peu confortable mais je m'exécute. J'ôte mon pull, mon chemisier et mon pantalon, mes chaussures et mes chaussettes. Je suis maintenant uniquement vêtue de ma culotte et mon soutien-gorge devant ses deux sœurs. Sœur Marie sourie de ma gêne et me demande si de tels dessous existaient au moyen-âge. Devant mon ignorance, elle me fait un geste négatif de la tête et me demande de les enlever. Je commence à ne plus sourire de ce folklore médiéval mais je m'exécute. Mes dessous rejoignent le reste de mes affaires dans le coffre que la deuxième sœur dont j'ignore le nom referme à clef. J'enfile avec un certain soulagement ma robe de sœur qui cache enfin ma nudité aux yeux de ses deux jeunes sœurs. Sœur Marie me demande de m'asseoir sur le lit et me fait un petit rappel historique. Elle m'explique que de tous temps les sœurs de sa congrégation ont accueillis de nombreuses novices, mon statut pour les trois semaines à venir. La plupart étaient issues de bonnes familles afin de pouvoir apporter une dotation financière, source de revenus pour l'ordre. Sœur Marie malicieusement poursuit en m'expliquant que toutes n'étaient pas forcément enchantées à l'idée de cette vie de solitude et de prière. Je ne comprends pas vraiment où elle veut en venir puisque pour ma part je suis "volontaire" pour cette retraite de travail.

 Pendant qu'elle me parle, la deuxième sœur a ouvert l'armoire et semble chercher quelque chose. Sœur Marie détourne mon attention en me montrant un anneau d'acier scellé dans le mur à la tête de mon lit. Elle m'interroge en me demandant à quoi sert cet anneau? Ne voyant pas l'usage de cet anneau je donne ma langue au chat et sœur Marie m'indique qu'il servait à attacher les novices à leur lit lorsque celle-ci étaient intégrées au couvent contre leur volonté. Au moment où elle me donne cette réponse, la deuxième sœur, dans mon dos, referme sur mon poignet gauche une sorte de menotte médiévale reliée à une chaîne qu'elle accroche prestement à un deuxième anneau placé de façon symétrique, en tête de lit, à celui que venait de me montrer sœur Marie. Je suis surprise par cette manœuvre mais déjà sœur Marie m'immobile l'autre poignet et sa consœur place une chaine identique qu'elle attache à l'autre anneau. Les deux chaînes sont courtes et tiennent mes bras écartées et je suis maintenant allongée sur le lit. Je proteste contre ce traitement et rappelle à sœur Marie que je suis ici de mon plein gré et qu'un tel traitement n'est vraiment pas nécessaire me concernant. Sœur Marie m'indique que j'aurai dû être plus assidue aux cours de latin car dans le règlement il est précisé plusieurs règles dont je n'ai pas forcément mesuré la portée. Interloquée par cette remarque j'observe que la deuxième sœur farfouille à nouveau dans l'armoire. Elle en ressort un objet que je n'ai aucun mal à identifier : une ceinture de chasteté. Elle sort également un pot de chambre qu'elle dépose au pied du lit. Sœur Marie m'indique que la ceinture est portée par les novices jusqu'à ce qu'elles prononcent leurs vœux définitifs, soit pendant une bonne dizaine d'année. Elle me rappelle les règles de l'ordre : travail, prière, silence et chasteté. La ceinture qu'elle me présente sous les yeux semble d'époque et je n'ose imaginer devoir porter un tel objet. Sœur Marie m'indique que le couvent a ces dernières années fait deux concessions à la modernité. Il dispose aujourd'hui de l'électricité et les novices portent désormais des couches sous leur ceinture de chasteté pour éviter les infections très fréquences lors du port permanent de cet accessoire. Dans un synchronisme parfait, la deuxième sœur sort de l'armoire une large couche-culotte. Cet objet est doublement incongru, de par sa nature en ce lieu d'abord et par sa modernité qui tranche avec l'environnement entièrement médiéval. Sœur Marie sans perdre de temps retrousse largement ma robe. Elle détaille longuement mon entrejambe en passant son doigt dans la toison de mon pubis. Elle glisse maintenant l'épaisse couche sous mes fesses et avec précision et dextérité rabat cette dernière avant de fixer les adhésifs. Déjà les deux sœurs s'activent afin de placer sur ma couche la ceinture de chasteté avant de la verrouiller par un cadenas au niveau de mon nombril. Les mains attachées, je ne peux rien faire pour les empêcher de me faire subir cette double humiliation de devoir porter une couche et une ceinture de chasteté.
A suivre...

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