Mon but, écrire des histoires sur les couches les plus qualitatives possibles.

Le principe du blog, la première partie de chaque histoire peut être lue gratuitement (voir dans les historiques), la seconde partie est payante (cliquer dans les liens histoires ci-contre).



Bonne lecture,



Etienne



mercredi 28 décembre 2011

Etudiante en couches, la suite

Bonjour à tous,

Suite à vos nombreuses demandes, je vous annonce que la suite des aventures de votre étudiante infirmière préférée est maintenant disponible.

Vous retrouver le lien ci-contre : Etudiante en couches, la suite.

Attention, il y aura une dernière partie à cette histoire. Elle sera offerte à tous ceux qui acheterons "Etudiante en couches, la suite". Pour cela, merci de conserver votre code Allopass et me l'envoyer par mail. Dès que la dernière partie de l'histoire sera achevée, je vous l'adresserai par mail, personnellement.

Bonne lecture,

Etienne
etienne.durtin@hotmail.fr

lundi 19 décembre 2011

Etudiante en couches, nouveaux chapitres

Nous préparons ensemble le dîner du soir, Emilie me propose de profiter de la journée de demain pour aller faire du shopping avec le budget du laboratoire afin de m’acheter des jupes adaptées aux couches ainsi que des culottes pour mettre par-dessus mes couches car je vais en avoir besoin quotidiennement.
J’adhère au projet afin de disposer d’un choix de vêtement suffisamment large pour ne pas trop attirer l’attention à l’école sur le fait de porter systématiquement les deux seules jupes que je possède aujourd’hui, capables de masquer les couches que je vais devoir porter. J’ai du mal avec le fait de reporter des couches, celle qu’Emilie m’a mise me semble de plus très serrée et ajustée et épaisse à l’entrejambe. Je demande à Emilie si elle est vraiment identique à celle que j’ai déjà testée. Celle-ci me réponds qu’elle a été effectivement renforcée en garniture à l’entrejambe et que les adhésifs sont beaucoup plus efficaces ce qui permet que la couche ne se détende pas avec les mouvements du corps et reste parfaitement positionnée sur les fesses de celle qui la porte. Elle ajoute qu’étant donné les gros pipis mesuré par le laboratoire de test sur les couches que j’ai porté, ces modifications devaient me rassurer sur l’efficacité anti fuite des couches que je vais porter de jour comme de nuit. Je n’avais pas fait la même analyse et c’est surtout l’épaisseur accrue des changes que je retiens et que ceux-ci vont gêner mes mouvements au quotidien.
 Le repas préparé, nous dînons de bon appétit puis nous discutons organisation de la maison pour nous répartir les tâches ménagères, les courses etc… Je vais être fidèle à ma réputation, réelle je dois dire, de grosse pisseuse car, déjà, j’envie envie de faire dans ma couche. Je me trémousse un peu sur le canapé ce qui n’échappe pas à Emilie qui me glisse malicieusement que ma couche est là pour cela. A ma grande surprise, elle me propose de voir en direct l’effet de que cela fait dans ma couche. Elle m’entraine devant la large glace de la salle de bain, et se plaçant dernière moi, elle relève ma jupe afin de découvrir entièrement ma couche puis me glisse à l’oreille que je peux maintenant faire pipi dans ma couche. Un peu surprise par cette initiative, j’obtempère cependant, ne pouvant pas me retenir de toute façon plus longtemps. Au fur et à mesure que je fais pipi dans ma couche je vois les témoins d’humidité sur le devant de la couche s’effacer progressivement marquant ainsi le fait que le change absorbe mon urine. Lorsque j’ai fini, force est de constaté que cela n’a pas réellement altérer la couche, toujours bien en place et ayant encore un gros pouvoir d’absorption. Aucune fuite, la couche est toujours très serrée à ma taille et à mes cuisses. Emilie tapote le devant de ma couche et se félicite de la qualité de ce change encore capable de contenir un autre pipi aussi important sans fléchir. Nous revenons ensuite au salon et je dois constater que la légère sensation d’humidité à l’entrejambe disparaît très vite, la garniture de la couche retenant parfaitement mon pipi même lorsque la couche est compressée dans la position assise qui est la mienne dans le canapé du salon. Dans le salon, nous préparons le programme de courses du lendemain. Emilie a des idées très précises des magasins que nous devons aller visiter pour trouver les vêtements qui me sont nécessaire, elle est beaucoup plus experte que moi dans ce domaine et je la laisse faire. Nous repérons sur internet un certain nombre de jupes, de culottes que je devrais essayer demain.
Déjà 22h00 et je ne peux refréner un bâillement. Emilie me propose de me changer pour la nuit et que nous allions nous coucher. Elle propose que je me déshabille et me mette en tenue de nuit et elle me rejoint dans quelques minutes pour me changer ma couche. Je me déshabille, enfile une chemise de nuit puis fait un détour par la salle de bain pour une rapide toilette et un brossage de dents. Je retourne dans ma chambre où Emilie toujours habillée, elle, m’attend avec une couche nuit ainsi qu’une sorte de culotte de plastique que je n’avais jamais vu. Elle me fait allonger sur le lit, retrousse ma chemise de nuit pour accéder à ma couche. Je la vois prendre une paire de ciseau, elle m’explique que les nouveaux adhésifs ne peuvent pas être défait à la main mais doivent être coupés tellement ils sont adhérents. Elle coupe les quatre adhésifs pour pouvoir ouvrir la couche et me l’enlever. Elle la place dans un sac plastique transparent fermé par un zip et destiné au laboratoire de test d’Hartmann. Elle glisse maintenant la couche nuit de couleur jaune pâle sous mes fesses après avoir nettoyé celle-ci et mon entrejambe à la lingette. Crème puis talc comme à l’accoutumé avant que la couche ne soit rabattue et fixée par les quatre puissants adhésifs. Elle glisse ensuite la protection de plastique épais sous ma couche, la rabat sur mon ventre et la fixe à l’aide de boutons pression. Emilie m’indique que c’est une protection supplémentaire de nuit sans doute pas indispensable étant donné la qualité de la couche mais qui est destiné à rassurer sur une éventuelle fuite de la couche. Cette protection plastique rajoute ou bruit fait par la couche lors des mouvements, heureusement qu’elle n’est destinée qu’à accompagner la couche de nuit et non celle de jour. Sur ce elle me souhaite une bonne nuit et quitte ma chambre.
Je suis gênée par la couche de nuit qui maintient mes jambes écartées par son épaisseur à l’entrejambe mais je trouve finalement le sommeil.
Au milieu de la nuit l’envie de faire pipi me réveille et je me résous à faire dans ma couche avant de me rendormir. Il est déjà 9h00 lorsque je me réveille le lendemain matin. Emilie plus matinale que moi est déjà habillée et a eu le temps de descendre dans la rue pour acheter pain frais et croissant. Elle me demande ce que je prends pour le petit déjeuner et je lui réponds qu’un thé sera parfait. Elle relève ma chemise de nuit pour inspecter l’état de ma couche. La culotte plastique transparente lui permet de voir ma couche nuit bien en place même si les témoins d’humidité trahissent le fait que je l’ai mouillée. Emilie décide qu’il n’y a pas péril et me propose de petit déjeuner avant qu’elle ne me change, ce que nous faisons. Le petit déjeuner pris Emilie m’escorte jusqu’à ma chambre, elle m’aide à enlever ma chemise de nuit et me fais allonger sur le lit. Je suis à nouveau nue, juste en couche devant elle et la situation me gêne mais pas Emilie manifestement. Elle détache ma culotte plastique puis coupe les adhésifs de la couche nuit avant de l’enlever. Ayant pris un bain hier soir, elle me propose juste de me nettoyer les fesses et de me mettre la couche de jour ce qu’elle fait avec des gestes rapides et précis. J’ai donc à peine le temps de savourer d’avoir les fesses libres qu’une nouvelle couche vient épouser mon anatomie intime. Emilie m’aide ensuite à m’habiller ce que je trouve prévenant mais presque trop, je n’ose lui en faire la remarque. Elle agrafe mon soutient gorge pendant que je mets ma jupe la plus longue dans la perspective d’aller faire des courses.

mercredi 7 décembre 2011

Etudiante en couches, suite de l'aventure

Quelques semaines se passent, je croise régulièrement Emilie à l’école et nous déjeunons assez souvent ensembles. C’est une fille que j’apprécie beaucoup et que je découvre petit à petit. Elle a la délicatesse de ne pas aborder le sujet des tests que j’ai effectué sauf lorsque c’est moi qui ait abordé le sujet à une ou deux reprises. J’ai toujours une certaine curiosité sur certains points, notamment sur l’autre fille de notre promo qui a elle aussi fait ces tests. La confidentialité d’Emilie sur cette fille me frustre dans ma curiosité mais me ravie sur le strict anonymat respecté par le laboratoire, pour moi comprise. Le port des couches ne me manque pas mais la rémunération des tests m’avait bien aidé à améliorer significativement mon budget mensuel alloué par mes parents pour ma vie sur Lyon. D’ailleurs en cette fin d’année les nouvelles de ce côté ne sont pas très bonnes, l’entreprise de mon père étant en difficulté financière depuis quelques mois connait une fin d’exercice très difficile. Je m’en ouvre à Emilie avec laquelle je parle de tout sans difficulté. Elle est d’autant plus à même de comprendre la situation que ses propres parents sont très justes financièrement ce qui l’a amené très tôt à travailler pour le laboratoire Hartmann dans le cadre de ses études. Emilie m’indique qu’elle a une idée pour m’aider et qu’elle m’en parlera dès demain. Je lui propose donc de venir dîner à la maison le lendemain soir.
A 19H30 comme convenu, Emilie arrive à mon appartement. Nous prenons l’apéritif et Emilie rentre directement dans le sujet du jour. Elle m’explique que depuis la première année d’école, elle est en contrat avec le laboratoire Hartmann et que celui-ci lui met à disposition l’appartement qu’elle occupe à titre gratuit. Comme elle me sait en difficulté financière, elle peut me proposer de partager son vaste appartement dans le cadre d’un test du laboratoire et cela jusqu’à la fin de notre dernière année d’école en Juin prochain. Emilie m’indique qu’ainsi je pourrai faire l’économie du loyer de mon propre appartement en plus d’une rémunération prévue pour le test. L’idée est séduisante mais comme je pouvais le craindre il s’agit à nouveau d’un test de couches, une des spécialités du laboratoire Hartmann. Emilie m’explique que les couches de jour et de nuits que j’ai testées sont maintenant techniquement finalisées. Il s’agit maintenant de les éprouver sur une période de six mois avant leur mise sur le marché, démarche obligatoire dans le cadre de la règlementation. Devant ma mine un peu déconfite, Emilie me rassure d’un large sourire. Elle me rappelle que personne n’a rien remarqué lors des tests précédents et qu’en plus, le laboratoire tenant beaucoup à ce que je puisse faire ce test longue durée, m’accorde des conditions financières particulièrement généreuses. Je serai donc logée et rémunérée mais Emilie me précise aussi que je disposerai d’un large budget pour acheter des vêtements, jupes notamment adaptés au port discret de couches. Je demande par curiosité en quoi ma candidature était si recherchée par le laboratoire. Emilie me réponds avec une grande franchise que physiologiquement je fais pipi régulièrement et abondamment, en tout cas plus que la moyenne et que cela est favorable aux tests menés. De plus je suis célibataire et sans petit copain en ce moment ce qui est nécessaire car ce ne serait pas franchement compatible avec un test de couche longue durée. Je ne sais pas si je dois prendre ces éléments comme un compliment mais je suis partagée à l’idée de faire un test sur une aussi longue période. Emilie sentant bien que j’hésite me rassure et m’indique qu’elle aussi aimerait bien que je sois volontaire étant donné que nous nous connaissons bien et nous apprécions. C’est une dimension non négligeable je dois bien en convenir mais je demande à réfléchir au moins jusqu’au lendemain. Emilie acquiesce et nous passons à table.

Le lendemain, je recroise Emilie en cours. Elle me propose de venir dîner à mon tour chez elle pour que je puisse visiter ce qui pourrait être notre appartement commun dès Janvier. J’accepte avec plaisir n’étant jamais allé chez elle pour l’instant. Le soir même je découvre un vaste et bel appartement moderne situé non loin de notre école ce qui est pratique. Emilie m’accueille chaleureusement en me souhaitant une bienvenue chez nous ! Je lui réponds qu’elle anticipe un peu mais je pense qu’elle a compris que l’idée me séduit tout de même. Nous dînons sans évoquer le test puis nous passons au salon pour prendre une tisane. Emilie va chercher quelque chose dans sa chambre, il s’agit du contrat de test que le laboratoire à préparer à mon attention. Comme les précédents il est très long et détaillé, je demande à Emilie de m’en faire un résumé. Il s’agit donc de tester la gamme appelée « teen » constituée de changes de jours et de nuits comme ceux que j’ai déjà porté. Ce test se fera en continue ce qui signifie que je porterai des couches le jour et la nuit et que je serai changée à horaires réguliers.
Emilie me détaille ensuite les détails de la rémunération qui est effectivement très importante ce qui est un aspect non négligeable. Je lui donne donc mon accord et signe le document m’engagement sur ce test qui va durer jusqu’à fin Juin de l’année prochaine. Emilie se déclare ravie que ce soit moi étant donné la proximité entre nous que ce test longue durée va automatiquement engendrer. Nous discutons ensuite de mon emménagement qui se fera juste avant Noël pour qu’en revenant de vacances mes affaires soient déjà transférées dans notre appartement commun.
Les fêtes de fin d’années se passent en famille, mes parents étant ravis que je prenne cette colocation avec Emilie ce qui diminue significativement le budget qu’ils avaient besoin de m’allouer. Le Vendredi 2 Janvier je reprends le chemin de Lyon et de mon nouvel appartement, les cours reprenant le Lundi suivant. Arrivée Vendredi en fin d’après-midi sur Lyon je suis accueillie à la gare par Emilie venue à ma rencontre. Nous regagnons en bus notre appartement. Une fois arrivées, Emilie me remet un double des clefs et m’explique les détails de fonctionnement du chauffage, l’accès au sous-sol etc….
Mes affaires sont déjà rangées dans le vaste placard de ma chambre, dans la partie gauche là où je les avais disposées. En ouvrant la partie droite, je découvre que l’ensemble des rayonnages sont occupés par des couches. Des couches de couleur jaune pour la nuit, des roses pour les couches de jour. J’en avais presque oublié ce « détail » et la véritablement raison de ma présence ici. Emilie à mes côtés me souris et explique que le laboratoire a livré les changes nécessaires au test pour les deux premières semaines et que d’autres livraisons viendront nous réapprovisionner. Emilie referme la porte du placard et me suggère d’aller prendre un bon bain après avoir passé une partie de la journée dans le train. L’idée est bonne, je prends mon peignoir dans la penderie et gagne la vaste salle de bain. Je me fais couler un grand bain chaud et je m’y prélasse longuement. C’est avec regret que je sors du bain après une bonne demi-heure de barbotage mais je me dis qu’il est temps car je dois aider Emilie à préparer le dîner. Je me sèche et j’enfile mon peignoir pour regagner ma chambre et me rhabiller. Lorsque j’arrive dans ma chambre Emilie s’y trouve toujours. Elle semble m’attendre et jetant un coup d’œil sur le lit je vois qu’elle à préparer une couche, du talc, de la crème, bref le nécessaire pour me mettre en couche. Naïvement je lui demande si le test  commence tout de suite et Emilie me réponds que oui. Elle me demande de m’allonger sur le lit ce que je fais. Elle défait la ceinture de mon peignoir et en écarte les pans me découvrant largement. Constatant ma toison pubienne, elle se propose de me raser afin de prévenir toute irritation due aux couches que je vais porter. Me laissant ainsi allongée sur le lit, elle part en direction de la salle de bain. Elle revient avec une petite bassine d’eau, de la mousse à raser et un rasoir. Elle glisse une serviette éponge sous mes fesses et m’humidifie le pubis puis me dépose de la mousse qu’elle applique largement. Avec dextérité, elle commence à me raser méthodiquement. Elle termine l’opération en passant une lingette pour effacer les dernières traces de mousse. Mon peignoir est maintenant complètement ouvert découvrant non seulement mon entrejambe mais ne cachant plus rien de ma poitrine aux yeux d’Emilie. Celle-ci n’y prête pas vraiment attention, retirant la serviette sous mes fesses pour la remplacer par la couche de jour couleur rose qui m’est destinée. Je ne sais pas si c’est le fait de n’en avoir plus porté depuis la fin du dernier test mais elle me parait encore plus épaisse que dans mes souvenirs. Emilie me talc largement avant de m’appliquer de la crème sur le sexe et de refermer la couche. L’opération terminée, elle m’aide à me lever et m’enlève définitivement mon peignoir, se proposant de choisir avec moi les vêtements à me mettre dans ma garde-robe. Elle choisit pour moi un soutien-gorge de coton blanc, puis un tee-shirt, une jupe courte et un pull à col roulé. La jupe peine à masquer la large couche que je porte mais Emilie m’indique que cela n’a pas d’importance car il n’est pas prévu que nous ressortions ce soir. Emilie m’observe et se déclare satisfaite du « résultat ». Je suis pour ma part un peu plus circonspecte car la couche se devine sous ma jupe mais comme il n’est pas question de sortir ainsi c’est un moindre mal. Une fois debout, Emilie juge du résultat et relève ma jupe pour passer un doigt le long des élastiques de mes cuisses pour s’assurer qu’ils sont bien en place pour assurer l’étanchéité de la couche.

jeudi 1 décembre 2011

Etudiante en couches, la suite arrive

Devant le succès de cette histoire et vos nombreux mails sur le sujet, je vous prépare la suite de cette histoire.
Toujours le même principe, la première partie gratuite, la suite payante.
Mise en ligne dès demain pour la partie gratuite.

Je vous invite aussi à découvrir les photos d'illustration de cette jeune étudiante infirmière ainsi que les autres histoires bien sûr.

Bonne lecture,

Etienne