Mon but, écrire des histoires sur les couches les plus qualitatives possibles.

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Bonne lecture,



Etienne



mercredi 7 décembre 2011

Etudiante en couches, suite de l'aventure

Quelques semaines se passent, je croise régulièrement Emilie à l’école et nous déjeunons assez souvent ensembles. C’est une fille que j’apprécie beaucoup et que je découvre petit à petit. Elle a la délicatesse de ne pas aborder le sujet des tests que j’ai effectué sauf lorsque c’est moi qui ait abordé le sujet à une ou deux reprises. J’ai toujours une certaine curiosité sur certains points, notamment sur l’autre fille de notre promo qui a elle aussi fait ces tests. La confidentialité d’Emilie sur cette fille me frustre dans ma curiosité mais me ravie sur le strict anonymat respecté par le laboratoire, pour moi comprise. Le port des couches ne me manque pas mais la rémunération des tests m’avait bien aidé à améliorer significativement mon budget mensuel alloué par mes parents pour ma vie sur Lyon. D’ailleurs en cette fin d’année les nouvelles de ce côté ne sont pas très bonnes, l’entreprise de mon père étant en difficulté financière depuis quelques mois connait une fin d’exercice très difficile. Je m’en ouvre à Emilie avec laquelle je parle de tout sans difficulté. Elle est d’autant plus à même de comprendre la situation que ses propres parents sont très justes financièrement ce qui l’a amené très tôt à travailler pour le laboratoire Hartmann dans le cadre de ses études. Emilie m’indique qu’elle a une idée pour m’aider et qu’elle m’en parlera dès demain. Je lui propose donc de venir dîner à la maison le lendemain soir.
A 19H30 comme convenu, Emilie arrive à mon appartement. Nous prenons l’apéritif et Emilie rentre directement dans le sujet du jour. Elle m’explique que depuis la première année d’école, elle est en contrat avec le laboratoire Hartmann et que celui-ci lui met à disposition l’appartement qu’elle occupe à titre gratuit. Comme elle me sait en difficulté financière, elle peut me proposer de partager son vaste appartement dans le cadre d’un test du laboratoire et cela jusqu’à la fin de notre dernière année d’école en Juin prochain. Emilie m’indique qu’ainsi je pourrai faire l’économie du loyer de mon propre appartement en plus d’une rémunération prévue pour le test. L’idée est séduisante mais comme je pouvais le craindre il s’agit à nouveau d’un test de couches, une des spécialités du laboratoire Hartmann. Emilie m’explique que les couches de jour et de nuits que j’ai testées sont maintenant techniquement finalisées. Il s’agit maintenant de les éprouver sur une période de six mois avant leur mise sur le marché, démarche obligatoire dans le cadre de la règlementation. Devant ma mine un peu déconfite, Emilie me rassure d’un large sourire. Elle me rappelle que personne n’a rien remarqué lors des tests précédents et qu’en plus, le laboratoire tenant beaucoup à ce que je puisse faire ce test longue durée, m’accorde des conditions financières particulièrement généreuses. Je serai donc logée et rémunérée mais Emilie me précise aussi que je disposerai d’un large budget pour acheter des vêtements, jupes notamment adaptés au port discret de couches. Je demande par curiosité en quoi ma candidature était si recherchée par le laboratoire. Emilie me réponds avec une grande franchise que physiologiquement je fais pipi régulièrement et abondamment, en tout cas plus que la moyenne et que cela est favorable aux tests menés. De plus je suis célibataire et sans petit copain en ce moment ce qui est nécessaire car ce ne serait pas franchement compatible avec un test de couche longue durée. Je ne sais pas si je dois prendre ces éléments comme un compliment mais je suis partagée à l’idée de faire un test sur une aussi longue période. Emilie sentant bien que j’hésite me rassure et m’indique qu’elle aussi aimerait bien que je sois volontaire étant donné que nous nous connaissons bien et nous apprécions. C’est une dimension non négligeable je dois bien en convenir mais je demande à réfléchir au moins jusqu’au lendemain. Emilie acquiesce et nous passons à table.

Le lendemain, je recroise Emilie en cours. Elle me propose de venir dîner à mon tour chez elle pour que je puisse visiter ce qui pourrait être notre appartement commun dès Janvier. J’accepte avec plaisir n’étant jamais allé chez elle pour l’instant. Le soir même je découvre un vaste et bel appartement moderne situé non loin de notre école ce qui est pratique. Emilie m’accueille chaleureusement en me souhaitant une bienvenue chez nous ! Je lui réponds qu’elle anticipe un peu mais je pense qu’elle a compris que l’idée me séduit tout de même. Nous dînons sans évoquer le test puis nous passons au salon pour prendre une tisane. Emilie va chercher quelque chose dans sa chambre, il s’agit du contrat de test que le laboratoire à préparer à mon attention. Comme les précédents il est très long et détaillé, je demande à Emilie de m’en faire un résumé. Il s’agit donc de tester la gamme appelée « teen » constituée de changes de jours et de nuits comme ceux que j’ai déjà porté. Ce test se fera en continue ce qui signifie que je porterai des couches le jour et la nuit et que je serai changée à horaires réguliers.
Emilie me détaille ensuite les détails de la rémunération qui est effectivement très importante ce qui est un aspect non négligeable. Je lui donne donc mon accord et signe le document m’engagement sur ce test qui va durer jusqu’à fin Juin de l’année prochaine. Emilie se déclare ravie que ce soit moi étant donné la proximité entre nous que ce test longue durée va automatiquement engendrer. Nous discutons ensuite de mon emménagement qui se fera juste avant Noël pour qu’en revenant de vacances mes affaires soient déjà transférées dans notre appartement commun.
Les fêtes de fin d’années se passent en famille, mes parents étant ravis que je prenne cette colocation avec Emilie ce qui diminue significativement le budget qu’ils avaient besoin de m’allouer. Le Vendredi 2 Janvier je reprends le chemin de Lyon et de mon nouvel appartement, les cours reprenant le Lundi suivant. Arrivée Vendredi en fin d’après-midi sur Lyon je suis accueillie à la gare par Emilie venue à ma rencontre. Nous regagnons en bus notre appartement. Une fois arrivées, Emilie me remet un double des clefs et m’explique les détails de fonctionnement du chauffage, l’accès au sous-sol etc….
Mes affaires sont déjà rangées dans le vaste placard de ma chambre, dans la partie gauche là où je les avais disposées. En ouvrant la partie droite, je découvre que l’ensemble des rayonnages sont occupés par des couches. Des couches de couleur jaune pour la nuit, des roses pour les couches de jour. J’en avais presque oublié ce « détail » et la véritablement raison de ma présence ici. Emilie à mes côtés me souris et explique que le laboratoire a livré les changes nécessaires au test pour les deux premières semaines et que d’autres livraisons viendront nous réapprovisionner. Emilie referme la porte du placard et me suggère d’aller prendre un bon bain après avoir passé une partie de la journée dans le train. L’idée est bonne, je prends mon peignoir dans la penderie et gagne la vaste salle de bain. Je me fais couler un grand bain chaud et je m’y prélasse longuement. C’est avec regret que je sors du bain après une bonne demi-heure de barbotage mais je me dis qu’il est temps car je dois aider Emilie à préparer le dîner. Je me sèche et j’enfile mon peignoir pour regagner ma chambre et me rhabiller. Lorsque j’arrive dans ma chambre Emilie s’y trouve toujours. Elle semble m’attendre et jetant un coup d’œil sur le lit je vois qu’elle à préparer une couche, du talc, de la crème, bref le nécessaire pour me mettre en couche. Naïvement je lui demande si le test  commence tout de suite et Emilie me réponds que oui. Elle me demande de m’allonger sur le lit ce que je fais. Elle défait la ceinture de mon peignoir et en écarte les pans me découvrant largement. Constatant ma toison pubienne, elle se propose de me raser afin de prévenir toute irritation due aux couches que je vais porter. Me laissant ainsi allongée sur le lit, elle part en direction de la salle de bain. Elle revient avec une petite bassine d’eau, de la mousse à raser et un rasoir. Elle glisse une serviette éponge sous mes fesses et m’humidifie le pubis puis me dépose de la mousse qu’elle applique largement. Avec dextérité, elle commence à me raser méthodiquement. Elle termine l’opération en passant une lingette pour effacer les dernières traces de mousse. Mon peignoir est maintenant complètement ouvert découvrant non seulement mon entrejambe mais ne cachant plus rien de ma poitrine aux yeux d’Emilie. Celle-ci n’y prête pas vraiment attention, retirant la serviette sous mes fesses pour la remplacer par la couche de jour couleur rose qui m’est destinée. Je ne sais pas si c’est le fait de n’en avoir plus porté depuis la fin du dernier test mais elle me parait encore plus épaisse que dans mes souvenirs. Emilie me talc largement avant de m’appliquer de la crème sur le sexe et de refermer la couche. L’opération terminée, elle m’aide à me lever et m’enlève définitivement mon peignoir, se proposant de choisir avec moi les vêtements à me mettre dans ma garde-robe. Elle choisit pour moi un soutien-gorge de coton blanc, puis un tee-shirt, une jupe courte et un pull à col roulé. La jupe peine à masquer la large couche que je porte mais Emilie m’indique que cela n’a pas d’importance car il n’est pas prévu que nous ressortions ce soir. Emilie m’observe et se déclare satisfaite du « résultat ». Je suis pour ma part un peu plus circonspecte car la couche se devine sous ma jupe mais comme il n’est pas question de sortir ainsi c’est un moindre mal. Une fois debout, Emilie juge du résultat et relève ma jupe pour passer un doigt le long des élastiques de mes cuisses pour s’assurer qu’ils sont bien en place pour assurer l’étanchéité de la couche.

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