Mon but, écrire des histoires sur les couches les plus qualitatives possibles.

Le principe du blog, la première partie de chaque histoire peut être lue gratuitement (voir dans les historiques), la seconde partie est payante (cliquer dans les liens histoires ci-contre).



Bonne lecture,



Etienne



lundi 25 juillet 2011

Première histoire

Retraite particulière est désormais disponible.

Pour cela cliquer ci-dessous à droite dans l'historique du blog : "Retraite particulière suite et fin".

D'autres histoires à suivre....

Retraite particulière suite et fin

L'histoire est maintenant disponible avec un code Allopass.

Pour retrouver l'histoire "Retraite particulière" cliquer sur le lien ci-contre.
Bonne lecture,
Etienne

vendredi 22 juillet 2011

Retraite particulière (suite 2)

La porte de ma cellule s'ouvre de nouveau et sœurs Marie et Aline entrent dans ma chambre. Sœur Alice apporte un réveil afin, me dit-elle, que je puisse savoir l'heure, ayant été privée de mon portable qui me donne l'heure habituellement. Il est 19h00. Sœur Marie ne me donne pas le détail des horaires du couvent mais m'indique qu'il est l'heure d'aller dîner. Avant que nous ne quittions la pièce, elle poursuit en me disant que je dois exclure toute idée de m'échapper du couvent car il n'existe qu'elle porte d'entrée et donc de sortie et que celle-ci est fermée à clef et sous bonne garde. Autre précision, je vais prendre mes repas dans une salle à manger particulière et donc je ne mangerai pas en compagnie des autres sœurs, ceci pour "échapper" aux prières et aux lectures rituelles qui allonge la durée du service, je suis ici pour optimiser mon temps de révision me rappelle-t-elle. Par contre, je mangerai en compagnie de Lucie ce qui est un soulagement pour moi, vite douché par la précision que le repas doit être pris en silence et qu'il nous sera interdit de communiquer. Sœur Marie précise que si l'une ou l'autre de nous deux ne respecte pas cette règle absolue, nous devrions ensuite prendre nos repas dans notre cellule. Elle poursuit en me disant qu'à partir de demain, j'aurai une interrogation écrite sur mes révisions du jour à 18h30 précise préparée par madame Poux. Ceci fait je pars vers le dîner en suivant sœur Marie, sœur Aline fermant la marche. Je tente de me concentrer durant le trajet pour mémoriser par où nous passons et me disant que cela me permettra peut-être à terme de m'orienter dans ce vaste couvent. J'ai un peu de mal à marcher normalement, gênée par l'épaisseur de la couche que je porte. Nous arrivons dans une large salle à manger ou deux couverts ont été préparés. J'arrive la première mais quelques instants après notre entrée, sœurs Anne et Aude arrivent en compagnie de mon amie Lucie. A sa démarche hésitante, je comprends sans mal qu'elle porte le même type de couche que moi avec sûrement la même ceinture de chasteté. Nous échangeons un long regard mais n'échangeons pas un mot comme cela nous a été ordonné. Nous sommes maintenant assises face à face et commençant notre repas dans un silence uniquement troublé par les bruits de vaisselle. Impossible de se parler car nous sommes en permanence surveillées par au moins deux sœurs, pendant que les deux autres apportent les plats et débarrassent les assiettes vides. Le repas est très bon comme celui qui nous a été servis ce midi mais la frustration en grande de ne pas pouvoir échanger avec Lucie. A son regard, je comprends bien qu'elle partage aussi cette envie mais qu'elle ne veut pas transgresser la règle de silence qui nous est imposée au risque de ne plus pourvoir quitter sa cellule. Au milieu du repas, j'ai une autre préoccupation. Ma vessie me rappelle ce que j'avais déjà ressenti depuis quelques temps, à savoir l'envie pressante de faire pipi. J'ai réussi à me contenir jusqu'à présent mais je commence à douter de pouvoir tenir jusqu'au pot qui devrait m'être proposé avant de me coucher si j'ai bien compris. C'est assurément le thé du goûter qui fait son effet.

Le repas n'est pas achevé que je dois me résoudre à faire pipi dans ma couche. J'enrage de cette situation mais l'envie était trop forte. Je perçois le changement au niveau de la couche que je ressens un peu humide au niveau de mon sexe mais l'épaisse couche semble avoir absorbé sans difficulté mon large pipi très longtemps retenu. Le repas terminé j'échange un dernier regard que je veux encourageant à l'adresse de Lucie qui déjà repart vers sa cellule avec Sœur Anne et sœur Aude, pendant que sœur Marie me fait signe de son côté de la suivre pour regagner ma propre cellule, sœur Aline toujours sur mes talons. Lorsque nous entrons dans ma cellule, sœur Alice derrière moi me prend par les épaules et me pousse doucement mais fermement vers mon lit. Elle m'y allonge sur le dos et déjà, prenant les chaînes restées accrochées aux anneaux, me les verrouille sur les poignets pour m'immobiliser sur mon lit. Les gestes sont précis fruit d'une pratique régulière certainement ce qui me trouble encore un peu plus. Elle rabat maintenant ma robe pour découvrir ma ceinture et ma couche. Elle n'a pas besoin de commenter manifestement car sœur Marie et elle ont bien remarqué cette fois-ci que ma couche est mouillée. Je ne peux, pour ma part, rien voir dans ma position et par rapport à ma robe retroussée au niveau de mes seins. Sœur Aline attrape la clef de ma ceinture de chasteté, accroché à une chaine qu'elle porte à son cou. Elle déverrouille le cadenas puis écarte les branches de métal avant de retirer complément la ceinture. Elle la pose sur la table, à côté de mon lit. Elle détache maintenant les adhésifs de ma couche et l'ouvre mais sans la retirer, découvrant ainsi mon pubis au regard des deux sœurs. Sœur Marie glisse quelques mots à l'oreille de sœur Aline qui quitte maintenant la cellule. Sœur Marie vient s'assoir sur le lit à côté de moi. Elle me demande si je veux passer sur le pot avant d'être changée pour la nuit. Venant juste de faire pipi dans ma couche je réponds par la négative et enchaîne en demandant ce qui me vaut ce traitement n'étant pas membre de ce couvent. Sœur Marie me rappelle que j'ai signé le règlement intérieur et qu'elle ne fait que le respecter. Elle poursuit en me disant que je suis ici dans la perspective de mes examens de fin d'année et que tout sera fait pour que je puisse réviser dans les meilleures conditions, à savoir calme, nourriture de qualité, sommeil réparateur et pas de distractions parasites. Je lui indique que tout cela serait également possible sans forcément porter ni couches ni ceinture de chasteté. Sœur Marie s'amuse de ma remarque et sans répondre directement me demande si je connais l'origine de la ceinture de chasteté. Sans être spécialiste de la question, j'ai lu des romans ou des récits historiques qui décrivent cet objet destiné à s'assurer de la fidélité des épouses des seigneurs partant à la guerre pour de longues campagnes. Ma définition de l'origine de la ceinture de chasteté ne semble pas convaincre sœur Marie mais elle n'en dit pas plus pour l'instant, tandis que sœur Aline refait son entrée dans la chambre. Elle pousse devant elle une desserte sur laquelle j'aperçois de ma position une bassine. Sœur Marie, toujours assise sur le lit à côté de moi, pose sa main droite sur mon pubis tout en me fixant du regard et m'informe que pour mon confort, sœur Aline allait devoir me raser ma toison intime. Je proteste et replis instinctivement mes jambes en les serrant pour tenter de protéger mon intimité. Sœur Marie en profite tout en se levant du lit pour retirer la couche restée sous mes fesses. Elle me présente l'intérieur de la couche sur lequel ressort la large tache jaune faite par mon pipi. Elle m'explique posément que mes poils vont gênés l'application de la crème et du talc qui me protègerons des irritations. Sans cela la couche n'assurerait pas son rôle de protection par rapport à la ceinture de chasteté poursuit-elle. Déjà, sœur Aline a pris sur la desserte une cordelette. Avec l'aide de sœur Marie, elle l'attache à ma cheville gauche puis au pied du lit. Elles font de même avec ma deuxième cheville pour que mes deux jambes soient largement écartées et immobilisées. Sœur Aline positionnée au pied du lit approche la desserte. Elle prend un gant, le trempe dans la bassine d'eau et le passe sur mon pubis pour le nettoyer et l'humidifié. Elle se saisit maintenant d'une bombe de gel à raser. Elle pose une noisette de gel sur ces doigts et entreprend de l'appliqué sur ma toison en massant pour en faire de la mousse. La sensation est froide et peu agréable. Ceci fait, elle prend un rasoir et commence à le passer sur mon pubis. Je retiens mon souffle et me fige de peur qu'elle ne me coupe si je venais à bouger. A chaque passage, elle rince le rasoir dans la bassine et sans le voir, je sens que mes poils sont rasés lentement mais sûrement. Son travail terminé, elle prend une lingette et me la passe pour essayer les dernières traces de mousse je pense. Elle se dirige maintenant vers l'armoire et prend une nouvelle couche-culotte ainsi que deux couches droites. Elle me fait lever les fesses d'une petite tape et me glisse le change-complet garni des deux couches droites. Sœur Marie m'explique que c'est nécessaire la nuit d'augmenter la capacité d'absorbtion pour éviter toute fuite. Pendant ces explications, sœur Aline me talc largement l'entrejambe, rabat la couche et fixe les adhésifs de façon très ajustés. Etonnamment, la ceinture de chasteté ne m'est pas remise ce qui est plutôt une bonne nouvelle. Les jambes toujours attachées, les deux sœurs me détachent les bras et me font asseoir dans le lit. Elles me retirent ma robe de sœur et m'enfilent une chemise de nuit. Immédiatement après, mes poignets sont à nouveau attachés par les chaînes aux anneaux et pour finir, les cordelettes sont dénouées, libérant mes jambes. Je comprends maintenant pourquoi je ne porterai pas de ceinture cette nuit, tout simplement parce que je resterai attachée à mon lit par les bras. La chemise de nuit est très courte et ne couvre que mon ventre mais pas la grosse couche que j'aperçois en relevant la tête. Sœur Alice se rassoit sur le lit à mes côtés et posant sa main sur ma couche, me souhaite une bonne nuit en me rappelant ironiquement que grâce à ma couche je n’aurai même pas à me lever en cas d’envie pressante durant la nuit. Elle quitte ensuite ma chambre en compagnie de sœur Aline qui pousse la desserte vers la sortie. La porte fermée j’entends encore le bruit de la clef actionnant le verrou.

jeudi 21 juillet 2011

Retraite particulière (suite)

Sa mission sans doute accomplie, la deuxième sœur sort de la pièce me laissant en tête à tête avec sœur Marie. Celle-ci m'observe en silence s'amusant manifestement de la mine dépitée que je dois lui renvoyer. Elle teste une dernière fois le bon ajustement de la ceinture de chasteté avant de rabattre ma robe restée largement retroussée sur ma poitrine. La ceinture est particulièrement serrée et plaque littéralement la couche sur mes fesses. Je profite aussi de la situation pour détailler cette jeune sœur. Elle ne me semble pas être âgée de plus de 30 ans, grande fille brune aux yeux bleus. Je suis d'ailleurs étonnée de constater qu’à l'exception de la mère supérieure, les sœurs que j'ai pour l'instant croisées sont plutôt jeunes, toute dans la trentaine environ. Je suis tirée de mes réflexions par sœur Marie qui m'expose le programme. Prenant le pot de chambre, elle m'indique que je serai autorisée à l'utiliser deux fois par jour, matin et soir. Elle ajoute très sérieusement que pour le reste ma couche est là pour cela. C'est une chose à laquelle je n'avais pas pensé ou voulu pensé, mais sœur Marie par ses propos m'indique clairement qu'à défaut de pouvoir me retenir pendant 12 heures environs, je vais devoir faire dans ma couche. J'ai à peine le temps d'imaginer cette situation aussi inattendue qu'inconfortable que sœur Marie enchaîne. Je serai changée le matin au lever, avant le déjeuner, après la sieste et le soir avant de me coucher. Madame Poux à ma grande surprise à adresser notre programme de révisions au couvent et sœur Marie m'indique que je serai interrogée chaque soir sur le programme de révision du jour. Elle me conseille de travailler sérieusement car sinon je serai punie. C'est décidément de mieux en mieux, je n'avais pourtant pas du tout imaginé mon séjour comme cela et si j'en avais eu connaissance, je n'aurai jamais accepté de venir. Je maudis madame Poux de nous avoir conseillé ce lieu. Dans mes pensées, j'ai complètement oublié mon amie Lucie et naïvement je demande de ces nouvelles à sœur Marie. Celle-ci m'indique que sœur Anne assistée de sœur Aude ont déjà dû lui mettre, comme à moi, sa couche et sa ceinture de chasteté. Elle me laisse ainsi pour le temps de la sieste me promettant de revenir m'apporter mon goûter. Lorsqu'elle quitte la pièce et referme la porte j'entends très distinctement le bruit d'une clef dans la serrure. En plus d'être attachée aux anneaux de la tête de lit, me voilà en plus enfermée dans ma cellule. Je suis dans une drôle de situation. Je teste à nouveau les chaînes de mes poignets mais je réalise d'après les propos de sœur Marie que je ne suis sûrement pas la première novice à être attachée ainsi et que les anneaux et les chaînes sont solides. Je bouge maintenant les jambes et je mesure maintenant l'épaisseur de la couche qui m'a été mise. Entre la couche et la ceinture qui passe entre mes jambes, impossible de joindre mes cuisses. Outre le côté peu confortable c'est surtout le sentiment d'être enfermée et privée de mon intimité qui me pèse dans cette situation. Je n'ai pas trop la notion du temps ne portant pas de montre mais j'estime qu'il doit être 14H00 environ. Les idées se bousculent dans ma tête, impossible de me reposer malgré une certaine fatigue due au levé matinal et au voyage. Je me demande surtout quel peut bien être la motivation de notre prof de droit de nous avoir envoyé dans un tel endroit. Impossible de croire qu'elle ne connaît pas ces pratiques du moyen âge que Lucie et moi subissons et cela ne semble être qu'un début. Au bout d'une éternité me semble-t-il les deux sœurs font leur retour dans la chambre. Celle que j'appelle la deuxième sœur et dont je ne connais ni le nom ni le son de sa voix, porte un plateau avec un bol et des biscuits. Elle le pose sur la table puis sans un mot s'approche du lit et retrousse ma robe sur ma poitrine. Elle se penche sur mon entrejambe et inspecte ma couche. J'entends pour la première fois sa voix lorsqu'elle annonce à sœur Marie que je n'ai pas mouillée ma couche et donc que ne n'ai pas besoin d'être changée. Celle-ci m'indique que je vais donc être détachée et que je dois me mettre au travail après avoir goûté, selon le plan de révision posée sur ma table de travail. Sœur Aline va maintenant te libérer. Je sais enfin comment se nomme la sœur qui me libère de mes chaînes. Je me frotte les poignets puis me redresse. Debout, je sens encore plus la double pression exercée par la couche et la ceinture sur mes fesses et mon entrejambe. Alors que les sœurs se retirent, j'entends à nouveau le verrou de la porte m'indiquant que je suis enfermée. Par acquis de conscience j'essaie cependant d'actionner la poignée de la porte mais en vain. Je retourne à la table pour découvrir le goûter. Il s'agit d'un bol de thé et de biscuits. Ayant un petit creux, j'attaque le goûter. Ceci fait, et maintenant que je ne suis plus immobilisée sur le lit, j'inspecte l'ensemble de la chambre dont je n'ai un peu vu que le plafond lors des dernières heures. La seule fenêtre est placée haut et est relativement étroite. Elle est décorée de vitraux. En l'ouvrant je découvre derrière des barreaux de fer interdisant toute fuite par cette voie. De plus, la fenêtre donne sur le piton rocheux et il doit bien y avoir une dizaine de mètres de hauteur par rapport au sol. Le coffre contenant mes affaires est fermé à clef et donc inaccessible par contre l'armoire, elle, n'est pas fermée à clef. Ouvrant la porte droite, je découvre sur les différents rayonnages des chaînes et des fers. Ouvrant la porte droite, je constate que toute cette partie de l'armoire est garnie de nombreux paquets de couches, de lingettes, d'alaises. Il y a des couches de tailles et de formes différentes, des changes-complets, des couches droites. Je n'arrive toujours pas  réaliser ce qui m'attends sur ces trois prochaines semaines mais en tout cas, les sœurs ne risquent pas de manquer de couches à me mettre. Je referme l'armoire un peu plus dépitée et mon regard tombe sur le pot de chambre au pied du lit. J'imagine bien qu'il me va falloir l'utiliser en présence des sœurs mais je pense que c'est de toute façon moins pire que de devoir faire dans ma couche. Finalement n'ayant rien d'autre à faire je me plonge dans mes révisions, le but de mon séjour ici même si cela me parait loin en raison des évènements inattendus depuis mon arrivée.(en cours)

mercredi 20 juillet 2011

Retraite particulière (première partie)

Je m'appelle Alice, j'ai 20 ans et je suis étudiante en droit. Avec Lucie, une amie de droit, nous avons décidé sur les conseils de madame Poux, notre professeur de droit du travail, de réviser nos partiels de fin d'année dans un couvent qu'elle nous a recommandée dans le Sud de la France. Lucie et moi sommes bonnes élèves mais nous visons une mention pour se donner toutes les chances d'avoir un bon dossier pour pouvoir intégrer la maîtrise de droit privé que nous visons. Madame Poux nous a prévenues que l'abbaye reculée et le style de vie austère seraient parfaits pour se concentrer sur notre travail. Pas de distractions pour ces 3 semaines de Juin qui précèdent les partiels.
Partant en train de Paris à l'aube, nous arrivons en fin de matinée dans une petite gare perdue des Alpes Maritimes. Une sœur nous attend sur le quai de la gare comme indiquée par courrier par la mère supérieure du couvent. Malgré la chaleur bien présente déjà en ce printemps, la sœur Marie porte une large aube qui nous semble bien chaude pour la saison. Elle nous explique que le couvent est situé dans la montagne à 10 kms de là et qu'avec l'altitude il fait quelques degrés de moins que dans la plaine. Comme dans les films, nous montons à bord d'une antique 2CV dont sœur Marie prend le volant. Il nous faut une bonne demi-heure de routes en lacets bien pentues pour atteindre enfin le couvent perché sur un piton rocheux. L'endroit est effectivement isolé et semble propice au recueillement ou au travail ce qui est notre programme.

Nous pénétrons à l'intérieur du couvent qui ressemble plus à une place forte qu'à un couvent traditionnel. Sœur Marie nous éclaire sur ce sujet en nous précisant que sa congrégation avait repris cet ancien château fort au début du siècle dernier. Nous déposons nos affaires dans une pièce à l'entrée et nous suivons sœur Marie dans un dédale de couloirs et d'escaliers, le bâtiment est immense. Nous arrivons devant une porte. Sœur Marie toque et à l'invitation d'une voix féminine nous entrons dans le bureau de la mère supérieure. La mère supérieure est elle aussi en habit traditionnel, et comme tout le décor de la pièce, donne l'impression que l'on se trouve quelques siècles plus tôt. Aucun objet actuel dans cette pièce, meublée comme au moyen âge, pas de téléphone, encore moins d'ordinateur. Elle nous demande de nous asseoir et nous indique que nous allons devoir respecter le règlement de la congrégation durant notre séjour. Cela nous semble une évidence à Lucie et moi donc nous approuvons sans restrictions. La mère supérieure sort donc deux documents, l'un pour Lucie, l'autre pour moi. Les deux documents sont magnifiques, écrits en pleins et en déliés sur des parchemins. En me penchant sur celui qui m'est destiné, à part mon nom et mon prénom qui figurent en haut, le reste est écrit en latin, langue que je ne maîtrise pas du tout. Les règles sont manifestement nombreuses car le document fait trois pages, mais impossible pour moi, comme pour Lucie de le comprendre. Nous ne nous voyons pas demander la traduction à la mère supérieure et décidons de le signer toutes les deux. Cette formalité faite la mère supérieure nous indique que nous allons être conduites au réfectoire pour prendre notre repas avant d'être conduites à nos cellules respectives. On est tout de suite plongées dans l'ambiance mais nous sommes curieuses de voir comment vivent ces sœurs à "l'ancienne".

Toujours sous la conduite de sœur Marie, nous nous dirigeons vers le réfectoire au rez de chaussé. Deux couverts nous attendent, avec de la vaisselle qui elle aussi semble venir tout droit du moyen-âge. Sœur Marie nous indique que nous serons les seules retraitantes au couvent et que les autres sœurs avaient déjà déjeuné. Deux autres sœurs font leur apparition et sans un mot nous servent un repas très savoureux. J'indique à Lucie que c'est plutôt une agréable surprise car les couvents ne sont pas toujours réputés pour leur gastronomie. Gourmande comme moi elle approuve. Le repas fini, sœur Marie nous indique que nous serons dans deux cellules séparées pour l'efficacité de nos révisions et que nous nous retrouverions pour les prières et les repas. Lucie part avec une des deux sœurs qui nous ont servis notre repas pendant que je suis sœur Marie. Je la suis de prêt pour ne pas me perdre dans cette immense forteresse faite de dédales, de petites portes et d'escaliers étroits. Nous arrivons enfin devant une porte de bois munie d'une petite grille. On dirait une porte de prison et le terme cellule prend ici tout son sens. Nous rentrons dans la pièce et contrairement à ce que j'aurai pensé, celle-ci est plutôt grande, la pièce dois bien faire une trentaine de mètres carrés. Une autre sœur nous y attend en silence ce qui semble aussi être une des règles du couvent. La pièce comprend un lit assez large sans être double, une grande armoire ancienne, un coffre, une table de travail et une chaise. Le mobilier est d'époque et spartiate.
Mon sac se trouve sur la table à côté de la sœur. Sur le lit est posé une tenue identique à celle que porte les sœurs, au pied du lit, une paire de sabot de bois eux aussi identiques à ceux portés par les sœurs du couvent. Sœur Marie malicieusement me demande si je parle bien le latin. Je lui avoue que non. Elle m'indique donc les principales règles du couvent que je vais devoir respecter. Elle m'énumère des règles classiques de silence et recueillement que j'imaginais, le fait que j'allais devoir porter également leur habit et que les objets non essentiels à mon séjour me serait retirés et rendus à mon départ. Joignant le geste à la parole, elle ouvre mon sac posé sur la table et commence à en détailler le contenu. L'autre sœur grâce à une clef a ouvert la serrure du coffre en bois et sœur Marie commence à triller mes affaires, mettant dans le coffre ce qu'elle juge inutile. A part mes cours, toutes mes affaires finissent dans le coffre. Je ne suis pas surprise de ne pas voir le droit à mon I pod ni à mon téléphone portable, n'étant pas sûr que de toutes façons je puisse capter dans ce coin reculé. Par contre tous mes vêtements me sont aussi confisqués, dessous compris ce qui m'inquiète un peu plus. Viens le tour de ma trousse de toilette. Je ne peux conserver que ma brosse à dent et mon dentifrice, tout le reste part dans le coffre. Le tri fait, sœur Marie m'indique de me déshabiller afin d'enfiler ma tenue. Je commence à trouver la situation peu confortable mais je m'exécute. J'ôte mon pull, mon chemisier et mon pantalon, mes chaussures et mes chaussettes. Je suis maintenant uniquement vêtue de ma culotte et mon soutien-gorge devant ses deux sœurs. Sœur Marie sourie de ma gêne et me demande si de tels dessous existaient au moyen-âge. Devant mon ignorance, elle me fait un geste négatif de la tête et me demande de les enlever. Je commence à ne plus sourire de ce folklore médiéval mais je m'exécute. Mes dessous rejoignent le reste de mes affaires dans le coffre que la deuxième sœur dont j'ignore le nom referme à clef. J'enfile avec un certain soulagement ma robe de sœur qui cache enfin ma nudité aux yeux de ses deux jeunes sœurs. Sœur Marie me demande de m'asseoir sur le lit et me fait un petit rappel historique. Elle m'explique que de tous temps les sœurs de sa congrégation ont accueillis de nombreuses novices, mon statut pour les trois semaines à venir. La plupart étaient issues de bonnes familles afin de pouvoir apporter une dotation financière, source de revenus pour l'ordre. Sœur Marie malicieusement poursuit en m'expliquant que toutes n'étaient pas forcément enchantées à l'idée de cette vie de solitude et de prière. Je ne comprends pas vraiment où elle veut en venir puisque pour ma part je suis "volontaire" pour cette retraite de travail.

 Pendant qu'elle me parle, la deuxième sœur a ouvert l'armoire et semble chercher quelque chose. Sœur Marie détourne mon attention en me montrant un anneau d'acier scellé dans le mur à la tête de mon lit. Elle m'interroge en me demandant à quoi sert cet anneau? Ne voyant pas l'usage de cet anneau je donne ma langue au chat et sœur Marie m'indique qu'il servait à attacher les novices à leur lit lorsque celle-ci étaient intégrées au couvent contre leur volonté. Au moment où elle me donne cette réponse, la deuxième sœur, dans mon dos, referme sur mon poignet gauche une sorte de menotte médiévale reliée à une chaîne qu'elle accroche prestement à un deuxième anneau placé de façon symétrique, en tête de lit, à celui que venait de me montrer sœur Marie. Je suis surprise par cette manœuvre mais déjà sœur Marie m'immobile l'autre poignet et sa consœur place une chaine identique qu'elle attache à l'autre anneau. Les deux chaînes sont courtes et tiennent mes bras écartées et je suis maintenant allongée sur le lit. Je proteste contre ce traitement et rappelle à sœur Marie que je suis ici de mon plein gré et qu'un tel traitement n'est vraiment pas nécessaire me concernant. Sœur Marie m'indique que j'aurai dû être plus assidue aux cours de latin car dans le règlement il est précisé plusieurs règles dont je n'ai pas forcément mesuré la portée. Interloquée par cette remarque j'observe que la deuxième sœur farfouille à nouveau dans l'armoire. Elle en ressort un objet que je n'ai aucun mal à identifier : une ceinture de chasteté. Elle sort également un pot de chambre qu'elle dépose au pied du lit. Sœur Marie m'indique que la ceinture est portée par les novices jusqu'à ce qu'elles prononcent leurs vœux définitifs, soit pendant une bonne dizaine d'année. Elle me rappelle les règles de l'ordre : travail, prière, silence et chasteté. La ceinture qu'elle me présente sous les yeux semble d'époque et je n'ose imaginer devoir porter un tel objet. Sœur Marie m'indique que le couvent a ces dernières années fait deux concessions à la modernité. Il dispose aujourd'hui de l'électricité et les novices portent désormais des couches sous leur ceinture de chasteté pour éviter les infections très fréquences lors du port permanent de cet accessoire. Dans un synchronisme parfait, la deuxième sœur sort de l'armoire une large couche-culotte. Cet objet est doublement incongru, de par sa nature en ce lieu d'abord et par sa modernité qui tranche avec l'environnement entièrement médiéval. Sœur Marie sans perdre de temps retrousse largement ma robe. Elle détaille longuement mon entrejambe en passant son doigt dans la toison de mon pubis. Elle glisse maintenant l'épaisse couche sous mes fesses et avec précision et dextérité rabat cette dernière avant de fixer les adhésifs. Déjà les deux sœurs s'activent afin de placer sur ma couche la ceinture de chasteté avant de la verrouiller par un cadenas au niveau de mon nombril. Les mains attachées, je ne peux rien faire pour les empêcher de me faire subir cette double humiliation de devoir porter une couche et une ceinture de chasteté.
A suivre...