Mon but, écrire des histoires sur les couches les plus qualitatives possibles.

Le principe du blog, la première partie de chaque histoire peut être lue gratuitement (voir dans les historiques), la seconde partie est payante (cliquer dans les liens histoires ci-contre).



Bonne lecture,



Etienne



vendredi 22 juillet 2011

Retraite particulière (suite 2)

La porte de ma cellule s'ouvre de nouveau et sœurs Marie et Aline entrent dans ma chambre. Sœur Alice apporte un réveil afin, me dit-elle, que je puisse savoir l'heure, ayant été privée de mon portable qui me donne l'heure habituellement. Il est 19h00. Sœur Marie ne me donne pas le détail des horaires du couvent mais m'indique qu'il est l'heure d'aller dîner. Avant que nous ne quittions la pièce, elle poursuit en me disant que je dois exclure toute idée de m'échapper du couvent car il n'existe qu'elle porte d'entrée et donc de sortie et que celle-ci est fermée à clef et sous bonne garde. Autre précision, je vais prendre mes repas dans une salle à manger particulière et donc je ne mangerai pas en compagnie des autres sœurs, ceci pour "échapper" aux prières et aux lectures rituelles qui allonge la durée du service, je suis ici pour optimiser mon temps de révision me rappelle-t-elle. Par contre, je mangerai en compagnie de Lucie ce qui est un soulagement pour moi, vite douché par la précision que le repas doit être pris en silence et qu'il nous sera interdit de communiquer. Sœur Marie précise que si l'une ou l'autre de nous deux ne respecte pas cette règle absolue, nous devrions ensuite prendre nos repas dans notre cellule. Elle poursuit en me disant qu'à partir de demain, j'aurai une interrogation écrite sur mes révisions du jour à 18h30 précise préparée par madame Poux. Ceci fait je pars vers le dîner en suivant sœur Marie, sœur Aline fermant la marche. Je tente de me concentrer durant le trajet pour mémoriser par où nous passons et me disant que cela me permettra peut-être à terme de m'orienter dans ce vaste couvent. J'ai un peu de mal à marcher normalement, gênée par l'épaisseur de la couche que je porte. Nous arrivons dans une large salle à manger ou deux couverts ont été préparés. J'arrive la première mais quelques instants après notre entrée, sœurs Anne et Aude arrivent en compagnie de mon amie Lucie. A sa démarche hésitante, je comprends sans mal qu'elle porte le même type de couche que moi avec sûrement la même ceinture de chasteté. Nous échangeons un long regard mais n'échangeons pas un mot comme cela nous a été ordonné. Nous sommes maintenant assises face à face et commençant notre repas dans un silence uniquement troublé par les bruits de vaisselle. Impossible de se parler car nous sommes en permanence surveillées par au moins deux sœurs, pendant que les deux autres apportent les plats et débarrassent les assiettes vides. Le repas est très bon comme celui qui nous a été servis ce midi mais la frustration en grande de ne pas pouvoir échanger avec Lucie. A son regard, je comprends bien qu'elle partage aussi cette envie mais qu'elle ne veut pas transgresser la règle de silence qui nous est imposée au risque de ne plus pourvoir quitter sa cellule. Au milieu du repas, j'ai une autre préoccupation. Ma vessie me rappelle ce que j'avais déjà ressenti depuis quelques temps, à savoir l'envie pressante de faire pipi. J'ai réussi à me contenir jusqu'à présent mais je commence à douter de pouvoir tenir jusqu'au pot qui devrait m'être proposé avant de me coucher si j'ai bien compris. C'est assurément le thé du goûter qui fait son effet.

Le repas n'est pas achevé que je dois me résoudre à faire pipi dans ma couche. J'enrage de cette situation mais l'envie était trop forte. Je perçois le changement au niveau de la couche que je ressens un peu humide au niveau de mon sexe mais l'épaisse couche semble avoir absorbé sans difficulté mon large pipi très longtemps retenu. Le repas terminé j'échange un dernier regard que je veux encourageant à l'adresse de Lucie qui déjà repart vers sa cellule avec Sœur Anne et sœur Aude, pendant que sœur Marie me fait signe de son côté de la suivre pour regagner ma propre cellule, sœur Aline toujours sur mes talons. Lorsque nous entrons dans ma cellule, sœur Alice derrière moi me prend par les épaules et me pousse doucement mais fermement vers mon lit. Elle m'y allonge sur le dos et déjà, prenant les chaînes restées accrochées aux anneaux, me les verrouille sur les poignets pour m'immobiliser sur mon lit. Les gestes sont précis fruit d'une pratique régulière certainement ce qui me trouble encore un peu plus. Elle rabat maintenant ma robe pour découvrir ma ceinture et ma couche. Elle n'a pas besoin de commenter manifestement car sœur Marie et elle ont bien remarqué cette fois-ci que ma couche est mouillée. Je ne peux, pour ma part, rien voir dans ma position et par rapport à ma robe retroussée au niveau de mes seins. Sœur Aline attrape la clef de ma ceinture de chasteté, accroché à une chaine qu'elle porte à son cou. Elle déverrouille le cadenas puis écarte les branches de métal avant de retirer complément la ceinture. Elle la pose sur la table, à côté de mon lit. Elle détache maintenant les adhésifs de ma couche et l'ouvre mais sans la retirer, découvrant ainsi mon pubis au regard des deux sœurs. Sœur Marie glisse quelques mots à l'oreille de sœur Aline qui quitte maintenant la cellule. Sœur Marie vient s'assoir sur le lit à côté de moi. Elle me demande si je veux passer sur le pot avant d'être changée pour la nuit. Venant juste de faire pipi dans ma couche je réponds par la négative et enchaîne en demandant ce qui me vaut ce traitement n'étant pas membre de ce couvent. Sœur Marie me rappelle que j'ai signé le règlement intérieur et qu'elle ne fait que le respecter. Elle poursuit en me disant que je suis ici dans la perspective de mes examens de fin d'année et que tout sera fait pour que je puisse réviser dans les meilleures conditions, à savoir calme, nourriture de qualité, sommeil réparateur et pas de distractions parasites. Je lui indique que tout cela serait également possible sans forcément porter ni couches ni ceinture de chasteté. Sœur Marie s'amuse de ma remarque et sans répondre directement me demande si je connais l'origine de la ceinture de chasteté. Sans être spécialiste de la question, j'ai lu des romans ou des récits historiques qui décrivent cet objet destiné à s'assurer de la fidélité des épouses des seigneurs partant à la guerre pour de longues campagnes. Ma définition de l'origine de la ceinture de chasteté ne semble pas convaincre sœur Marie mais elle n'en dit pas plus pour l'instant, tandis que sœur Aline refait son entrée dans la chambre. Elle pousse devant elle une desserte sur laquelle j'aperçois de ma position une bassine. Sœur Marie, toujours assise sur le lit à côté de moi, pose sa main droite sur mon pubis tout en me fixant du regard et m'informe que pour mon confort, sœur Aline allait devoir me raser ma toison intime. Je proteste et replis instinctivement mes jambes en les serrant pour tenter de protéger mon intimité. Sœur Marie en profite tout en se levant du lit pour retirer la couche restée sous mes fesses. Elle me présente l'intérieur de la couche sur lequel ressort la large tache jaune faite par mon pipi. Elle m'explique posément que mes poils vont gênés l'application de la crème et du talc qui me protègerons des irritations. Sans cela la couche n'assurerait pas son rôle de protection par rapport à la ceinture de chasteté poursuit-elle. Déjà, sœur Aline a pris sur la desserte une cordelette. Avec l'aide de sœur Marie, elle l'attache à ma cheville gauche puis au pied du lit. Elles font de même avec ma deuxième cheville pour que mes deux jambes soient largement écartées et immobilisées. Sœur Aline positionnée au pied du lit approche la desserte. Elle prend un gant, le trempe dans la bassine d'eau et le passe sur mon pubis pour le nettoyer et l'humidifié. Elle se saisit maintenant d'une bombe de gel à raser. Elle pose une noisette de gel sur ces doigts et entreprend de l'appliqué sur ma toison en massant pour en faire de la mousse. La sensation est froide et peu agréable. Ceci fait, elle prend un rasoir et commence à le passer sur mon pubis. Je retiens mon souffle et me fige de peur qu'elle ne me coupe si je venais à bouger. A chaque passage, elle rince le rasoir dans la bassine et sans le voir, je sens que mes poils sont rasés lentement mais sûrement. Son travail terminé, elle prend une lingette et me la passe pour essayer les dernières traces de mousse je pense. Elle se dirige maintenant vers l'armoire et prend une nouvelle couche-culotte ainsi que deux couches droites. Elle me fait lever les fesses d'une petite tape et me glisse le change-complet garni des deux couches droites. Sœur Marie m'explique que c'est nécessaire la nuit d'augmenter la capacité d'absorbtion pour éviter toute fuite. Pendant ces explications, sœur Aline me talc largement l'entrejambe, rabat la couche et fixe les adhésifs de façon très ajustés. Etonnamment, la ceinture de chasteté ne m'est pas remise ce qui est plutôt une bonne nouvelle. Les jambes toujours attachées, les deux sœurs me détachent les bras et me font asseoir dans le lit. Elles me retirent ma robe de sœur et m'enfilent une chemise de nuit. Immédiatement après, mes poignets sont à nouveau attachés par les chaînes aux anneaux et pour finir, les cordelettes sont dénouées, libérant mes jambes. Je comprends maintenant pourquoi je ne porterai pas de ceinture cette nuit, tout simplement parce que je resterai attachée à mon lit par les bras. La chemise de nuit est très courte et ne couvre que mon ventre mais pas la grosse couche que j'aperçois en relevant la tête. Sœur Alice se rassoit sur le lit à mes côtés et posant sa main sur ma couche, me souhaite une bonne nuit en me rappelant ironiquement que grâce à ma couche je n’aurai même pas à me lever en cas d’envie pressante durant la nuit. Elle quitte ensuite ma chambre en compagnie de sœur Aline qui pousse la desserte vers la sortie. La porte fermée j’entends encore le bruit de la clef actionnant le verrou.

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