Mon but, écrire des histoires sur les couches les plus qualitatives possibles.

Le principe du blog, la première partie de chaque histoire peut être lue gratuitement (voir dans les historiques), la seconde partie est payante (cliquer dans les liens histoires ci-contre).



Bonne lecture,



Etienne



lundi 12 novembre 2012

Les infirmières de Purpan

Bonjour je m'appelle Sylvie, j'ai 23 ans et je viens juste d'obtenir mon DE (Diplôme d'Etat) d'infirmière. J'ai fait mes études à Rennes mais j'ai choisi de quitter ma Bretagne natale pour vivre ma vie un peu plus loin de ma famille pour plus d'indépendance même si nos relations sont excellentes. Avantage du métier que j'ai choisi, il y a aujourd'hui une telle pénurie d'infirmières partout en France que l'on peut exercer à peu près dans toutes les villes, que ce soit au sein des hôpitaux publics ou bien en cliniques privées. Ayant été contactée dès ma dernière année d'école, je décide de rejoindre le CHU de Toulouse Purpan qui m'avait fait une proposition d'embauche. En plus le Sud-Ouest de la France est une région qui m'attire et lors des entretiens d'embauche, j'ai trouvé la ville de Toulouse très sympathique et très vivante comme peut l'être Rennes, ville aussi très étudiante. Le problème principal est le logement, étant en ce mois de Septembre en concurrence avec tous les étudiants souhaitant louer une chambre ou un studio, ce que je recherche également. Heureusement, l'hôpital faisant de gros efforts sur le recrutement, propose à ces nouvelles infirmières de disposer d'une chambre dans l'enceinte de l'hôpital dans l'attente de trouver un logement en ville. C'est ainsi que je m'installe avec un minimum d'affaire que m'ont descendus mes parents dans une vaste chambre qui a l'inconvénient d'être, comme l'hôpital, un peu éloignée du centre-ville, mais a contrario l'immense avantage d'être à deux minutes à pied de mon poste. J'ai été affecté d'emblée au bloc opératoire digestif, poste en général inaccessible à une débutante, il s'agit d'une spécialité, mais qui manquant cruellement d'effectif, m'a été proposé. C'est un travail qui me demandera du temps pour le maîtriser mais qui m'intéresse et qui présente des horaires plus réguliers qu'un poste en service. Autre avantage, on ne travaille que très peu de nuit ou le week-end sauf les inévitables gardes mais c'est un rythme plus acceptable si on veut avoir une vie en dehors du boulot.
Ces débuts dans la vie professionnelle sont une grande aventure pour moi ayant toujours habité chez mes parents et ayant fait la totalité de mes stages dans ma région d'origine. Je me retrouve volontairement parachutée dans une ville que je ne connais pas en n'ayant pas spécialement de contacts ni de famille sur place. L'intégration au sein de l'hôpital se passe très bien, j'ai été chaleureusement accueillie dans une équipe en sous-effectif mais très soudée, d'autant plus que les infirmières et aides-soignantes font corps pour résister aux caractères pas toujours évidents des chirurgiens et anesthésistes promptes à nous traiter comme de vulgaires portes outils. Le premier mois passe, pendant lequel j'observe plus que je ne travaille étant en binôme avec, Murielle, une infirmière plus expérimentée qui me montre petit à petit le travail à effectuer. Je profite de ma première paye pour m'offrir quelques habits chics qui me faisaient envie mais dont je n'avais pas les moyens jusqu’à présents. Je suis également en chasse d'un studio à louer mais là les recherches s'avèrent difficiles et pour l'instant vaines. Je ne dispose pas de voiture et cela m'oblige à prendre les transports en communs, qui bien que assez denses, rallongent assez vite les temps de parcours car la ville est non seulement grande mais la circulation peut y être assez forte également. Le bâtiment où se trouve ma chambre est assez fonctionnel et dispose d'une vaste cuisine commune avec salle à manger ainsi que d'une large pièce salon, salle de télé. J'y retrouve un certain nombre de consœurs infirmières avec lesquelles je sympathise. Assez rapidement un petit problème d'intendance se pose à moi car je dois vous confier un petit secret, je suis encore victime à mon âge d'accidents nocturnes qui m'obligent à porter des couches. Hors j'ai vécu jusqu'à présent sur le stock amené de Rennes, mais il me faut rapidement en acheter de nouvelles avant d'être à cours. Impossible d'en commander par correspondance comme je le faisais à Rennes et me les faire livrer, ici cela ne serait absolument pas discret. Je dois donc consulter les pages jaunes afin de trouver un magasin de matériel médical. Je décide de ne pas aller à celui se trouvant tout près de l'hôpital de peur d'y croiser quelqu'un de mon service éventuellement, du coup je prends le bus à la fin de mon service de 16H00 pour un magasin repérer à Blagnac. Je prends soin de me munir d'un large sac afin de pouvoir ramener mon paquet de couches le plus anonymement possible jusqu'à ma chambre. Lorsque j'arrive dans le magasin celui-ci est vide de client et je demande à la vendeuse un paquet de Molicare super plus en taille M. Celle-ci me rapporte le paquet demandé et après avoir payé et glisser les couches dans mon large sac, je quitte le magasin pour retourner directement à ma chambre. Je suis soulagée d'avoir regagné ma chambre sans encombre. Cependant, je réalise que je devrai renouveler l'opération régulièrement temps que je n'aurai pas trouvé mon propre logement et que je puisse me faire livrer mes couches à domicile sous paquet discrets comme le font les marques spécialisées. Le fait de porter des couches n'a par contre jamais été vraiment une contrainte pour moi, habituée il est vrai depuis mon enfance à en mettre chaque nuit. C'est infiniment plus confortable que de se réveiller dans un lit trempé! Il m'arrive même d'en porter parfois en certaines circonstances notamment lorsque je dois faire des courses assez longues en ville car j'ai une sainte horreur de faire pipi dans des toilettes publiques ou certaines toilettes de magasins à l'hygiène assez improbable. Les changes complets sont aujourd'hui relativement fins et discrets tout en étant sûrs, il est assez aisé de les dissimulés sous les vêtements et de pouvoir les porter de façon très facile sans que cela ne se remarque. C'est ce que je choisi de faire en ce Samedi après-midi consacré au shoping. Je mets une couche puis enfile ma culotte de coton par-dessus. Je passe ensuite un panta court pas trop ajuster pour ne pas souligner la forme de la couche, seule susceptible de me trahir. Un tee-shirt et des nu-pieds complètent mon habillage du jour. Je prends le bus pour me rendre dans le centre-ville commerçant de Toulouse. Les boutiques y sont nombreuses et très attirantes, les tentations sont partout. Après deux bonnes heures de lèche-vitrines et quelques menus achats, je cherche des yeux une terrasse de café où me posé pour prendre un verre. C'est à ce moment que l'on m'appelle dans mon dos. C'est Murielle ma collègue qui vient de me reconnaître. Toulouse est une grande ville mais j'arrive quand même à croiser une des rares personnes qui j'y connaisse. Je lui fais la bise et elle me propose que nous prenions un pot ensemble. J'accepte avec plaisir lui expliquant que c'était justement mon intention. Elle me propose de faire quelques centaines de mètres supplémentaires pour aller jusqu'à la place St George où nous devrions trouver notre bonheur. Je la suis avec plaisir et effectivement nous nous attablons à la terrasse d'un café donnant sur cette jolie place. Murielle est donc en quelque sorte ma tutrice dans le service, c'est une fille d'une trentaine d'année qui exerce depuis maintenant 6 ans au bloc et qui connait du coup bien le métier. Une certaine inquiétude m'a étreint en la voyant sachant que justement aujourd'hui je porte une couche sous mon panta court mais ce sentiment c'est vite dissiper Murielle n'ayant rien remarqué de particulier dans mon allure manifestement. Il faut dire qu'elle ne me voit au bloc qu'en blouse et qu'elle ne saurait dire si j'ai des fesses légèrement plus rebondies que d'habitude. Murielle m'a très bien accueilli, c'est une grande fille brune aux cheveux longs légèrement bouclés, très douce dans ces gestes et très posée ce qui ne fait pas de mal dans le stress qui est le quotidien de notre travail. Je la détaille car c'est la première fois que je la voie dans des vêtements de ville, ne la croisons au boulot qu'en blouse ou en vêtements de blocs qui ne sont pas très seyants il faut bien le dire. Nous discutons devant un thé du boulot un peu et de mes impressions concernant ma nouvelle vie toulousaine. Je lui indique que tout se passe pour le mieux et que je suis ravie de mon choix si ce n'est la difficulté de trouver un logement. Murielle m'indique qu'elle a fait le choix d'être en colocation et qu'elle partage son appartement avec des infirmières venant faire des stages de longue durée sur Toulouse. Sa colocataire actuelle partant le mois prochain, elle me propose de prendre sa place si j'en ai envie. Je la remercie chaleureusement pour sa proposition et lui demande quelques jours de réflexion en sachant que mon idéal serait d'avoir mon propre appartement, par indépendance d'une part mais surtout à cause de mes petits soucis nocturnes qui seraient difficiles à cacher à une colocataire. Au moment de quitter notre table, je fais malencontreusement tomber mes lunettes de soleil que je m'empresse de ramasser avant que quelqu'un ne marche dessus. Je quitte Murielle et lui souhaite un bon week-end après qu'elle m'ait indiqué le chemin pour retrouver le bus qui me ramènera vers l'hôpital. Le thé a chez moi un effet diurétique assez rapide et dès que je suis montée dans le bus une envie de faire pipi pointe le bout de son nez. Malgré la présence de la couche je décide de me retenir jusqu'à mon arrivée afin de ne courir aucun risque d'une éventuelle fuite toujours possible lorsque l'on s'est retenue assez longtemps et que l'on s'abandonne brutalement dans un jet puissant que la couche pourra avoir du mal à absorber. Une fois en sécurité dans ma chambre, je pose mes courses sur mon lit et je fais pipi longuement dans ma couche qui, j'ai été médisante, absorbe parfaitement mon flux. Elle est cependant alourdie par mon large pipi ce qui me conforte dans le fait qu'il était sans doute plus prudent de me retenir plutôt que de mouiller ma couche en extérieur. Le Lundi suivant, Murielle me reparle de sa proposition. Elle me propose de venir dîner chez elle un soir de la semaine pour que je puisse me faire une idée de l'appartement qu'elle occupe. J'accepte l'invitation avec plaisir, cela me changera des plats surgelés que je me fais réchauffer dans la salle à manger de mon bâtiment. Disposant d'une voiture, elle me propose de passer me prendre après le boulot et de me raccompagner ensuite ce que j'accepte avec plaisir. A la fin du service, je me change donc et je rejoins Murielle qui m’attend. Une dizaine de minutes nous sont nécessaire pour rejoindre son appartement. Il est situé dans un bel immeuble donnant sur la Garonne et donc un peu à l'écart du cœur de ville que je soupçonne un peu bruyant. Là au contraire c'est calme. Elle dispose d'une place de parking sous l'immeuble ce qui est fort pratique. Nous prenons l'ascenseur et rejoignons le 4Eme et dernier étage où se situe le grand T4 qu'elle habite. L'appartement est composé de trois belles chambres et d'un vaste salon avec une cuisine américaine, salon se prolongeant par une large terrasse donnant sur le fleuve. Anne, l'actuelle colocataire de Murielle n'est pas là car elle travaille de nuit. Murielle m'explique qu'elle est propriétaire de l'appartement que ses parents l'ont aidé à acheter lorsqu'elle est arrivée sur Toulouse, constatant la rareté et les prix des appartements en location sur la ville. Je lui indique que j'ai peu de recul mais que mes recherches immobilières sont pour l'instant restées vaines. En plus, je n'ai pas d'apport, donc difficile d'imaginer de me lancer directement dans un achat. Pendant que j'admire la décoration de l'appartement, Murielle c'est mise en cuisine, mais étant ouverte sur le salon nous pouvons continuer à papoter. Nous échangeons surtout sur nos vies respectives, Murielle me posant pas mal de questions sur ma famille, mes études, la Bretagne etc...
Nous passons à table, et Murielle s'avère très bonne cuisinière, en très peu de temps de préparation elle nous régale. Nous passons ensuite au salon autour d'une tisane. Murielle revenant à la raison de ma présence ici me demande si l'appartement me plait. Je lui réponds sincèrement qu'il est magnifique et que ce serait avec plaisir mais que je privilégiais encore la piste d'un appartement pour moi seule. Murielle assise dans le fauteuil en face du mien me demande si c'est à cause des couches que je privilégie cette indépendance. A ces mots, je suis complètement décontenancée et cela doit se lire sur mon visage. Murielle d'un sourire me dit chaleureusement que cela restera entre nous mais que l'autre jour elle a aperçu le haut de mon change dépassé de mon panta court lorsque je me suis baissée pour ramasser mes lunettes. Je me souviens parfaitement de la scène et je n'ai pas réalisé sur le moment que ce mouvement avait pu dévoiler à ses yeux la couche que je portais ce jour-là. Je dois rougir encore plus, ce qui amuse manifestement Murielle. Elle enchaîne en me demandant si j'en porte une en ce moment ce en quoi je réponds immédiatement que non. Sincèrement curieuse, Murielle du coup m'interroge pour savoir pourquoi je n'en porte pas ce soir alors que j'en portais Samedi après-midi. Dans la précipitation de ma réponse je n'ai pas réalisé qu'effectivement cela n'était pas vraiment cohérent. Soit j'ai besoin d'en porter dans la journée et j'en porte tout le temps soit je n'en ai pas besoin auquel cas le fait d'en porter Samedi dernier est logiquement inexplicable. Murielle perçoit parfaitement mon trouble grandissant. Charitablement elle me propose de lui expliquer la situation sachant que je pouvais évidement compter sur sa discrétion. Pas très à l'aise mais rassurée par la gentillesse de Murielle, je lui explique donc que je porte des couches la nuit par nécessité et parfois dans la journée par confort. Cela ne semble pas la surprendre ni la choquer plus que cela et son attitude me rassure énormément. Du coup Murielle me conforte et me confirme que cela ne lui cause aucun problème et que si c'est juste cela ma réticence à devenir sa colocataire, il ne fallait pas que je m'arrête à cette considération. Je la remercie pour son attitude si compréhensive et la générosité de sa proposition renouvelée. Il a pour moi beaucoup d'avantage à louer une chambre dans l'appartement de Murielle. D'une part financièrement c'est beaucoup moins onéreux qu'un appartement, en plus elle pourra m'emmener avec elle à l'hôpital ayant les mêmes horaires. Elle dispose même d'une chambre supplémentaire permettant d'accueillir qui mes parents de passage qui une amie. Regardant autour de moi, je réalise que je disposerai jamais seule dans mon budget ne serai ce que la moitié des avantages de cet appartement et puis la perspective d'être en compagnie de Murielle avec qui je travaille et qui est toulousaine n'est pas pour me déplaire. Je lui confirme donc mon accord et nous terminons la soirée en papotant comme seule savent le faire les filles mais sans revenir sur le sujet "surprise" du début de soirée à savoir les couches. Mon emménagement est prévu pour fin Octobre et ma complicité avec Murielle est renforcée par le fait que je vais bientôt venir vivre chez elle. La semaine précédant mon emménagement, Murielle me réinvite à dîner pour que nous puissions prévoir les détails matériels de mon installation. Beaucoup de choses sont déjà prévues, comme une ligne téléphonique indépendante dans la chambre que je vais occuper. Murielle très prévenante me demande comment je gère la logistique couches, quel type de changes j'utilise, comment je me les procure etc... Pas encore complètement à l'aise sur le sujet avec elle je bafouille un peu ma réponse et lui indique que j'achète des Molicare en magasin de matériel médical. Murielle très "professionnelle" trouve que ce ni une solution pratique ni une solution économique, se souciant de mon budget. A ma grande surprise, elle m'indique qu'elle a des connaissances dans les fournisseurs médicaux et qu'elle va pouvoir arranger cela au mieux. Je suis un peu surprise de cette prise en main mais je la laisse faire. Poursuivant sur le sujet, elle me demande de façon un peu perfide que je lui retrace un peu l'historique de ce port des couches. Je lui indique qu'ayant toujours fait pipi au lit, je n'avais quasiment jamais pu, depuis mon enfance me passer de couches la nuit. Je pensais que l'explication lui suffirait mais Murielle me pose quantité de questions autour de ce sujet qui visiblement l'intéressait au plus haut point. Je suis partagée entre le côté intime du sujet qui me gêne et de l'autre l'opportunité de partager ce problème épineux avec une personne en mesure de comprendre ce que je vis sans porter de jugement. Je réponds donc avec de moins en moins de réticences à ses questions. Oui je porte des couches toutes les nuits, langée tous les soirs par ma Maman et je dois l'avouer temps que j'ai vécu chez mes parents. Par contre sur le fait d'en porter aussi en journée, j'étais définitivement beaucoup moins à l'aise. Murielle très empathique me demanda ce que je ressentais lorsque je portais des couches, qu'elles ont été ou sont encore les incidences sur ma vie, mon comportement, mon caractère etc... Bref elle voulait tout savoir sur le sujet, visiblement très intéressée. La soirée avançant, je pris congés et Murielle, très gentiment me raccompagna en voiture jusqu'à l'hôpital. Le Samedi suivant j'emménage chez Murielle. Elle vient jusqu'à ma chambre pour m'aider à porter mes affaires et les mettre dans la voiture. Apercevant le paquet de couches entamé dans mon armoire, elle me fait un petit clin d'œil qui me fait rougir. Me détaillant soigneusement, elle du conclure que je ne portais pas de couches à l'instant et elle me dit qu'il ne fallait absolument pas que je me retienne d'en porter en sa présence, spécialement maintenant que nous allions habiter ensemble. Je lui réponds que non et continue à charger les affaires pour les amener jusqu'à la voiture qui nous attend en bas.
Une fois arrivées chez Murielle nous montons mes affaires dans l'appartement jusqu'à ma chambre. Celle-ci est vaste et dispose de deux grands placards avec penderie. Lorsque j'ouvre le premier il est vide et je commence à y ranger mes habits. Murielle m'aide dans cette tâche. Ouvrant le second qu'elle n'est pas ma surprise de constater que la moitié des rayonnages est occupés par différents paquets de couches, de toutes les formes et de toutes les marques. J'ai presque un mouvement de recul et je me retourne vers Murielle tout sourire qui m'explique très posément qu'elle s’est permis de faire appels à ses connaissances pour constituer un petit stock. Petit stock n'est pas vraiment la perception que j'en ai tellement il y a de couches dans ce placard mais je remercie Murielle de sa prévenance. Je range mes dernières affaires dans le peu de place qu'il reste, la quasi-totalité du placard étant occupé par les couches. Une fois mes affaires rangées, nous passons au salon où toujours très prévenante, Murielle a préparé un apéritif dinatoire. Elle ouvre une bouteille de champagne en l'honneur de mon arrivée et nous trinquons. Tout en refaisant le monde nous picorons les divers toasts que Murielle a confectionnés. La fatigue de la journée se faisant sentir plus le champagne, j'ai vite un coup de barre vers les 23H00 et Murielle le remarquant, me propose que nous allions nous coucher. Elle me laisse la salle de bain en premier où je me déshabille, enfile une chemise de nuit et ou je fais un brin de toilette. Lorsque je regagne ma chambre, j'y trouve Murielle qui semble m'attendre, derrière elle, une large couche-culotte est étalée sur mon lit. Je t'ai choisi un modèle de couche qui devrait convenir me dit Murielle. Un peu surprise je l'en remercie et lui dit que je saurai m'en débrouiller mais à mon grand étonnement, elle ne semble pas vouloir quitter la chambre. Elle me dit que je ne suis pas sans savoir qu'il n'est pas aisé de mettre soi-même une couche. Comme le faisait encore il y a peu Maman, elle va se charger de moi et me mettre la couche pour cette nuit. La fatigue et l'alcool aidant je n'ai pas vraiment l'esprit clair mais il me semble vraiment que la situation est incongrue mais Murielle tout à fait décidée me prends par les épaules et me fait allonger sur le lit à côté de la couche. Elle retrousse ma chemise de nuit et pour se faire me demande de lever les fesses ce que je fais presque mécaniquement. L'opération se répète maintenant pour qu'elle puisse positionner la couche-culotte sous mes fesses. Celle-ci me parait bien plus épaisse que mes Molicare habituelles. Murielle comme par communion de pensée m'indique qu'il s'agit de modèles de changes "traditionnels" que certains fabricants produisent encore pour des maisons de retraites notamment qui n'ont que faire de changes modernes et discrets, étant donné qu'il s'agit de changes pour la nuit. J'ai pensé à toi me dit-elle car tu retrouveras les sensations que tu as pu avoir avec les couches que tu portais petite fille et qui sont proches en volume et en texture de celle-ci. Je comprends mieux ce qu'elle veut dire lorsqu'elle rabat la couche et fixe les 6 adhésifs prévus pour la maintenir fermée. L'épaisseur à l'entrejambe n'a rien à voir avec les Molicare !! Murielle est très méticuleuse et ajuste les adhésifs au millimètre après avoir parfaitement fermée et serrée la couche. Je ne voudrai pas que tu inaugures ta nouvelle chambre par une malencontreuse fuite à ta couche me fait-elle. La couche mise, elle me bise et me souhaite une bonne nuit. Quelle situation ! Je viens d'être mise en couche par ma colocataire, qui est aussi ma tutrice au bloc et cela comme si de rien n'était, en tout cas pour elle manifestement car moi je n'en mène pas large. Une petite exploration tactile sous ma chemise de nuit me confirme les caractéristiques de cette couche-culotte. Elle a une enveloppe extérieure dans un plastique plus épais que les changes actuels et une garniture douce au contact mais assez épaisse et manifestement renforcée à l'entrejambe ce qui provoque une légère bosse sur le devant du change. Par contre je ne sais pas d'où Murielle tient cette expertise mais elle a très bien positionné et serré la couche (presque trop d'ailleurs !). Dans le noir et sans les voir je parierai que les 6 adhésifs sont positionnés de façons quasi symétriques de part et d'autre du change. Les paroles de Murielle me reviennent à l'esprit et c'est vrai que ce change me rappelle ceux que je portai  entre 10 et 13 ans, soit il y a plus de 10 ans en arrière. C'est sur ces douces pensées que je m'endors, la fatigue et la boisson m'ayant achevée. Je me réveille le lendemain matin un peu perdue, les excès de boissons et d'émotions de la veille ainsi que de dormir pour la première fois dans cette chambre font que je mets quelques instant à retrouver mes esprits. Mes pensées remises à l'endroit, mes premiers mouvements me rappellent que je porte une large couche que j'ai mouillée durant la nuit. Aucune fuite à déplorer mais le contraire aurait été étonnant vu la capacité d'absorbsion que doit avoir un tel change. J'allume la lumière et je m'apprête à enlever ma couche mais dès le premier adhésif je sens quelque chose d'inhabituel. En effet celui-ci est très fortement fixé sur la plastique de la couche et impossible de le décoller. J'essaie de défaire les autres sans plus de succès. On est loin des adhésifs repositionnables actuels !!J'entends du bruit venant de la cuisine et j'en conclu que Murielle est réveillée, je me lève donc et décide de lui demander de l'aide pour retirer la couche. Je la retrouve affairée dans la cuisine. Elle a du se lever depuis quelques temps car elle est passée chez le boulanger pour prendre du pain frais et des chocolatines. Thé ou café me demande-t-elle? Je lui réponds que je prends du thé. Elle me demande si j'ai passé une bonne nuit et tout en me posant la question son regard se pose au niveau de ma couche cachée par ma chemise de nuit. Instinctivement je baisse aussi le regard vers ma couche et je suis réponds timidement que oui, lui expliquant que je n'arrive pas à défaire ma couche. Murielle visiblement pas surprise de cet état de fait me propose de commencer par petit déjeuner et m'indique qu'elle s'occupera de moi ensuite. Cette réponse pourrait être anodine mais me rappelle étrangement la situation d'hier soir que je n'ai pas complètement envie de se voir reproduire ce matin. Je dois pouvoir seule enlever ma couche. Murielle m'éclaire maintenant sur ces fameux adhésifs en m'expliquant qu'ils sont spécialement étudiés pour ne pas s'enlever car dans les maisons de retraites les personnes âgées n'ayant parfois plus toute leur tête peuvent avoir tendance à défaire leur couche et donc se mouiller, enlevant toute utilité à cette dernière. J'ai donc l'explication. Nous commençons notre petit déjeuner et Murielle me propose de faire le marché en ce Dimanche matin. J'accepte avec plaisir. C'est moi par contre cette fois-ci qui revient sur le sujet des couches en demandant à Murielle où elle a appris à mettre des couches de façon si professionnelle, n'ayant pas à en utiliser au bloc opératoire où nous travaillons toutes les deux. Toujours souriante, elle me révèle qu'elle a une formation d'éducatrice de jeunes enfants avant d'avoir passé le concours d'infirmière. C'est dans ce cadre qu'elle a acquis cette expérience de change qu'elle a poursuivi en travaillant quelques mois en pédiatrie. Murielle poursuit que la pédiatrie accueillant aussi des adolescents et adolescentes jusqu'à 16 ans, elle avait eu plus d'une fois l'occasion de mettre des couches à de "grands" bébés. Selon elle il existe du coup deux catégories bien distinctes : les adolescents devant pour des questions de santé porter des couches et qui en général les détestent et la deuxième catégorie de ceux et aussi celles qui doivent aussi en porter mais plus souvent pour des raisons plus psychologiques que physique et qui aiment, souvent sans l'avouer, cette forme de régression et la recherche des sensations enfantines perdues. Je suis, je dois le dire étonnée par sa connaissance du sujet et je sais de mon côté exactement de quel côté je me situe. Murielle toujours aussi perspicace poursuit en me disant qu'elle avait, dès la première fois où elle m'avait vu porter une couche, su que je faisais partie de la seconde catégorie. Même physiquement j'ai remarqué une certaine uniformité de morphologie chez les rares filles à partager cette situation me dit-elle. En général, un physique assez menu, un corps d'adolescente qui prend peu de formes, beaucoup plus jeune fille que jeune femme, comme toi ma chère Sylvie conclue-t-elle. Décidemment cette discussion prends une étrange tournure et dire que c'est moi qui l'ai initiée ! La suite n'allait pas me décevoir : Murielle enchaîne en me disant qu'elle aime de son côté s'occuper de jeunes filles ne voulant pas grandir et qu'elle sait recréer les conditions de cette recherche de douceur, de confort et d'insouciance. Les candidates étant rares, c'est pour cela qu'elle m'a si rapidement proposé de la rejoindre dans son appartement. Au réveil, pareil déclaration est un peu difficile à assimiler. Même si je dois bien m'avouer se penchant pour les couches et ce que cela procure, je ne suis pas sûre du tout d'apprécier temps que cela que Murielle s'occupe de moi et surtout j'aimerai savoir à quel point ce qui est loin d'être clair pour moi mais ce qui semble très établi dans son esprit. Murielle me voyant perdue dans mes pensées se garde bien de m'éclairer plus avant quant à ses intentions à mon égard. Elle m'indique cependant que nous ne devons pas trop tarder si nous voulons encore trouver quelques fruits et légumes au marché. Sachant qu'elle est déjà prête et habillée, c'est plus à moi que s'adresse la remarque. Elle m'accompagne jusqu'à ma chambre afin me dit-elle de s'occuper de ma couche. Murielle me fait allonger sur le lit et retrousse largement ma chemise de nuit sur ma poitrine afin d'atteindre facilement ma couche. Elle ouvre maintenant le large placard et prends dans les rayonnages un paquet de lingettes, un pot de talc ainsi qu'une nouvelle couche. Allongée sur le lit je l'observe et la voyant prendre une nouvelle couche, je me redresse sur les coudes et lui indique que je ne souhaite pas porter une nouvelle couche pour aller au marché. Murielle d'un geste calme mais ferme me repousse à nouveau en position allongée. Debout au pied du lit elle me dit qu'il est normal que je cherche ainsi à me priver d'un plaisir que je sais socialement interdit pour mon âge mais que je ne devais pas refreiner mes envies et qu'elle était justement là pour m'aider à les satisfaire. Ces paroles lui paraissent vraiment une évidence et sans attendre une quelconque réaction de ma part, elle coupe grâce à une sorte de petit cutter les adhésifs de ma couche. Celle-ci est lourde et bien trempée, je détourne la tête, ne pouvant de toute façon pas voir l'état de ma couche dans cette position allongée. Murielle la retire puis me passe une lingette fraiche sur l'entrejambe et les fesses. Profitant de mes fesses levées, elle glisse le nouveau change. Ceci fait elle me talque le minou et referme le change avec la même minutie qu'hier soir. Cette nouvelle couche n'est pas aussi épaisse que celle de cette nuit mais elle me semble cependant plus importante que mes Molicare Habituelles. Lorsque je me lève du lit et que mon regard croise la glace de ma chambre l'impression est confirmée et il va me falloir choisir soit une jupe soit un pantalon vraiment pas trop ajusté. Murielle ramasse la couche de nuit, la lingette et me laisse finir de m'habiller. C'est finalement vêtue d'une jupe mi longue que je rejoins Murielle pour partir au marché. Nous achetons fruits et légumes et vers midi, Murielle décide que nous déjeunerons dans un petit café proche du marché. Cette décision me gêne car, avec le temps, mon thé de ce matin à eu le temps de distiller et j'ai une sérieuse envie de faire pipi. Murielle lisant vraiment dans mes pensées ou plus certainement sur mon visage, m'indique une fois attablée qu'il est inutile pour moi de me rendre aux toilettes car ma couche dispose des mêmes adhésifs que celle que j'ai porté hier soir. En clair, soit j'arrive à me retenir, soit je vais devoir faire pipi dans ma couche en extérieur. Nous commandons chacune une assiette du Sud-ouest et commençons notre repas. Au milieu de celui-ci je ne peux vraiment plus me retenir et Murielle, qui elle est allée aux toilettes, me fait un clin d'œil complice lorsqu'elle voit que je suis en train de me libérer dans ma couche. Le repas terminé nous rentrons à l'appartement, moi avec un soulagement certain maintenant que cela fait plus d'une heure que j'ai mouillé ma couche. Dans l'ascenseur, Murielle glisse incidemment sa main droite sous ma jupe afin de constater l'état de ma couche. Cela me surprend et même me choque mais dans sa logique je n'ai pas les 23 ans de mon état civil mais je suis une petite fille qui se mouille encore. Une fois les courses posées et rangées Murielle m'entraine vers ma chambre pour s'occuper de ma couche. Je ne suis presque pas surprise comme ce matin de la voir préparer une nouvelle couche, il est dit que je n’aurais pas de répit de toute la journée manifestement. Par contre c'est le modèle choisi qui m'interpelle, car Murielle prépare la même couche que celle que je portais cette nuit. Même si il ne semble pas prévues de sorties cet après-midi cela me paraît excessif. Je lui en fais la remarque mais pour toute réponse, elle prend, toujours dans le placard, une couche droite qu'elle dispose au fond du change. Murielle m'indique très sérieuse tout à coup qu'elle sait ce qui est bon pour moi. Je suis à la fois surprise et vexée, a peu près certaine aussi que c'est ma remarque qui me vaut cette couche droite supplémentaire. Murielle poursuit imperturbable et concentrée en ajustant un à un les fameux adhésifs indécollables. En me relavant du lit je m'aperçois que ma jupe a du mal à masquer la grosse couche que je porte, impossible de sortir comme cela mais fort heureusement ce n'est pas prévu. Je rejoins Murielle au salon et nous regardons ensemble du patinage artistique à la télévision. La grâce des patineuses contraste avec la lourdeur de ma silhouette et mes déplacements en "canard" du fait de cette épaisseur entre mes jambes. L'après-midi se passe, après la télé, je bouquine un peu pendant que Murielle échange sur MSN avec des connaissances. Nous dînons légèrement ayant bien mangé à midi. J'ai entre temps à nouveau mouillé ma couche, "victime" du petit thé de 17hOO. Après le dîner Murielle me demande si je compte faire popo dans ma couche, ce qui ne la dérange pas, ou si comme une grande fille je saurai faire au pot. Je ne m’étais absolument pas préoccupé de cela je dois dire mais maintenant qu'elle en parle je réalise vraiment ma nouvelle situation. Faire dans ma couche me dégouterai mais j’espérais pouvoir accéder aux toilettes ce qui ne semble pas le cas. Pour m'éclairer définitivement, Murielle m'apporte le fameux pot, identique à celui qu'utilise les enfants mais de taille adulte. Je ne savais pas que cela existait, cela me semble profondément humiliant de devoir faire dedans mais à choisir je préfère cela au fait de faire dans ma couche. Murielle m'indique que le pot me sera proposé le matin et le soir uniquement, à moi de gérer. Du coup le fameux pot trône au pied de mon lit avant que ne débute le change du soir. En plus je ne vais disposer d'aucune intimité car Murielle se trouve dans la pièce, préparant la couche que je vais porter cette nuit. Toute honte bue je fais dans le pot puis m'allonge à nouveau sur le lit afin que Murielle me mette ma couche pour la nuit. C'est déjà le quatrième change et je commence à comprendre les stocks de couche que Murielle a constitué, et dire que selon toute vraisemblance je vais de voir porter tout ça !! Elle me souhaite une bonne nuit et quitte la chambre. Cette fois si je n'ai pas plus sommeil que cela et j'ai un peu le temps de réfléchir à la situation. Tout s’est enchaîné très vite depuis mon arrivée hier. La couche est à nouveau très serrée autour de ma taille et de mes cuisses. J'essaie de tirer dessus pour desserrer un peu l'étreinte mais le plastique de la couche n'offre pas de prise. Bref toutes mes tentatives sont vaines et seul le fait de me mouiller me donnera un tout petit peu de mou, je le sais maintenant par expérience. Ce qui me préoccupe le plus à vrai dire c'est la reprise du travail demain. Je ne vois pas comment je vais pouvoir échapper au fait d'aller travailler en couche. J'ai dans l'idée que c'est une suite tout à fait logique pour Murielle même si cette pensée m'effraie, j'ai une peur bleue que quelqu'un dans le service puisse le découvrir. Le lendemain matin comme je le prévoyais, il n'est pas question pour Murielle que je ne sois pas langer malgré mes protestations. Elle stoppe net la discussion en me disant que si j'insiste je me verrai garnir mon change d'une couche droite, voire plus. La sachant tout à fait capable de le faire j'hésite à résister d'autant plus que Murielle peut me laisser là en plan et que si je le profite pas de sa voiture je vais être tout à fait en retard au boulot. De guerre lasse je la laisse me mettre une nouvelle fois en couche. Je m'habille ensuite rapidement pour la rejoindre sur le pas de la porte. Je porte à nouveau la jupe de la veille, Murielle me fait la remarque qu'il me faudra aussi porter des pantalons, sinon on risque de ne pas comprendre, dans le service, ce brusque changement de look. Ce n'est pas faux mais pour ma première expérience de travail en couche je joue surtout la sécurité "visuelle". La chance de notre métier c'est de travailler en blouse une fois nos vêtements civils enlevés et pour masquer les couches c'est un atout précieux. La matinée se passe très tranquillement, comme depuis le début je suis Murielle et j'observe ce qu'elle fait. A midi, celle-ci, avant de prendre la pause déjeuner me demande de la suivre. Nous allons vers une partie de notre bâtiment que je ne connais pas et Murielle ouvre une porte fermée à clefs avant que nous ne rentrions toutes les deux dans une pièce aveugle, sorte grande de remise. Un lit est placé au fond de la pièce qui dispose de nombreuses armoires. Murielle me demande d'aller m'allonger sur le lit pendant qu'ouvrant une armoire elle en sort un kit de change complet, du talc, des lingettes ainsi qu'un change-complet identique à celui que je porte. Rapidement, avec ces gestes précis et rapides, elle remonte ma blouse puis prenant dans sa poche le fameux petit cutter, coupe les adhésif de mon change que malgré ma résistance fait fini par mouillé en fin de matinée. Elle dégage la couche mouillée, me nettoie avec une lingette avant de repositionner le nouveau change, me talquer et refermer le tout. Pendant que je rajuste ma blouse, Murielle met la couche salle dans la poubelle au pied du lit et au bout de quelques minutes, nous ressortons en direction du réfectoire. Après le déjeuner nous reprenons notre travail. Murielle instrumente en stérile sur une coloscopie, je reste un peu en retrait mais ne manque rien de l'opération qui se déroule sous mes yeux. Après le service nous restons avec quelques collègues en salle de repos pour prendre un verre et papoter. Ma couche est mouillée depuis le milieu de l'après-midi et j'ai à nouveau envie mais je me retiens ne sachant pas si ma couche est suffisamment absorbante pour contenir ce deuxième pipi. Murielle à du déceler ma gêne car elle me propose maintenant de rentrer ce que j'accepte avec soulagement. Je fais à nouveau dans ma couche une fois arrivée à l'appartement maintenant que tout risque est écarté et c'est une couche largement mouillée que Murielle ouvre quelques minutes plus tard. Le constatant elle s'interroge à haute voix sur la nécessité de mettre dorénavant une couche plus absorbante dans la journée ce en quoi je lui demande de n'en rien faire pensant tout de suite à l'épaisseur supplémentaire. Murielle du tac au tac me répond que c'est à elle d'évaluer ce dont j'ai besoin et certainement pas à moi. Je ne bronche pas la sachant dorénavant capable de tout en ce domaine. Une fois changée, c'est moi ce soir qui m'attaque à la cuisine pendant que Murielle est au téléphone. Une fois qu'elle a raccrochée, elle m'indique que nous sommes invitées toutes les deux le week-end prochain chez une collègue infirmière dont les parents possèdent un chalet dans les Pyrénées. L'idée est séduisante mais je pense immédiatement couches et j'en ai déjà des sueurs froides. J'en fait pars à Murielle qui élude puis le dîner étant prêt nous mangeons. Malgré une couche sèche, je suis à nouveau changée avant d'aller me coucher afin de "disposer" d'une couche nuit. Avant de me la mettre, Murielle à procéder, à ma grande honte, au rasage des poils de mon pubis, jugés dorénavant incompatible avec mon âge. L'impression est étrange et du coup la couche me parait encore plus présente et pressante sur mon sexe. Ma situation empire et autant j'ai toujours trouvé plaisant de porter des couches, autant cette succession de changes ininterrompus commence à me peser. J'en fait pars à Murielle en lui expliquant que je ne suis pas sûre de vouloir poursuivre dans cette voie malgré sa prévenance à mon égard. Celle-ci ne semble pas surprise mais elle m'indique que c'est tout à fait normal de passer par cette phase, qu'il me faut juste pour mon bien persévérer et que le plaisir va vite revenir faisant passer les quelques menus contraintes au deuxième plan. Menues contraintes, on voit bien que ce n'est pas elle qui est en couches !! C’est sur cette pensée que je m'endors me demandant quand même jusqu'où tout cela va me mener. La semaine s'écoule sur le même rythme jusqu'au Samedi matin où nous préparons nos sacs pour partir dans les Pyrénées rejoindre Laure que Murielle m'a présentée dans la semaine à l'hôpital et quelques autres infirmières que je ne connais pas. J'observe Murielle faire sa valise et il me semble bien qu'elle n'a pas pris de couches à mon intention dans ses affaires. Je me garde bien de lui en faire la remarque et j'en viens à espérer avoir l'occasion de faire un break avec les couches durant le week-end. Pourtant, comme de coutume, je suis à nouveau changée avant que nous ne prenions la route, étrange.
Le trajet pour rejoindre Luchon n'excède pas 2 heures, quasiment que de l'autoroute, nous grimpons maintenant dans la montagne sur une petite route puis prenons à gauche un chemin de terre. Je réalise qu'en hivers l'accès au chalet doit être particulièrement difficile. Nous arrivons finalement devant un grand et beau chalet de bois. Trois voitures sont déjà garées devant, nous ne serons pas seules. Laure nous attends sur le pas de la porte, nous fait la bise et nous invite à entrer je passe la première et sur les indications de Laure je prends le couloir en direction du salon. Lorsque j'arrive à l'entrée du vaste salon le spectacle qui s'offre à moi est saisissant. Dans un réflexe je fais demi-tour pour regagner l'entrée mais la porte c'est refermée sur Laure et Murielle toutes heureuses de lire sur mon visage que leur surprise a parfaitement fonctionnée.

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